« L'objectif essentiel du premier salon international des fournisseurs de l'industrie pharmaceutique en Algérie (Algeria Pharma), prévue du 25 au 27 septembre à l'hôtel Hilton, consiste, notamment, à contribuer à la dynamique de croissance, tant sur le plan qualitatif que quantitatif de la production pharmaceutique locale ; Il s'agit également d'offrir aux professionnels de la production pharmaceutique algériens et étrangers un espace de rencontres de haut niveau », a notamment affirmé Olivier Hicham Allard, gérant de ‘'MediTheral'' et organisateur de cet évènement. « L'objectif essentiel du premier salon international des fournisseurs de l'industrie pharmaceutique en Algérie (Algeria Pharma), prévue du 25 au 27 septembre à l'hôtel Hilton, consiste, notamment, à contribuer à la dynamique de croissance, tant sur le plan qualitatif que quantitatif de la production pharmaceutique locale ; Il s'agit également d'offrir aux professionnels de la production pharmaceutique algériens et étrangers un espace de rencontres de haut niveau », a notamment affirmé Olivier Hicham Allard, gérant de ‘'MediTheral'' et organisateur de cet évènement. Pas moins de 80 exposants de 17 pays dont l'Allemagne, l'Autriche, l'Espagne, la France, l'Italie, la Suisse et les Etats-Unis d'Amérique participeront à cette manifestation économique et commerciale où 1.500 visiteurs professionnels sont attendus. Concernant la croissance des dépenses pharmaceutique en Algérie, le conférencier a souligné que « 2 milliards dollars en 2007 ont été déboursés pour l'importation de médicaments en Algérie, soit un taux concurrentiel élevé du marché du médicament tandis qu'en 2016, le chiffre d'importation atteindra 4 milliards dollars ». Abordant la production locale, il a indiqué que « celle-ci est spécifique étant donné qu'elle comporte des spécialités et des génériques à raison de 90 % pour la production nationale de génériques et 10 % pour la spécialité ». Le rapport de la production locale et des importations est de l'ordre respectif de 36 % et de 64 % alors que 55 usines sont validées pour la recherche pharmaceutique en Algérie, sachant que les statistiques relatives au nombre d'études cliniques arabes montrent que l'Algérie occupe la dernière position. Alors qu'un espace de rencontres business to business est prévu lors de ce salon pour les opportunités de partenariat et de coopération entre les entreprises, Allard ajoute que « le gouvernement augmente la part des médicaments produite localement dans la mesure où la production nationale s'intéresse aux bio similaires et aux produits biotechnologiques. Il s'agit de faire de « Algeria Pharma » le troisième événement mondial après les salons se déroulant en Allemagne (équipements) et en Espagne (matières premières). Pour ce qui est des salles blanches, le conférencier a dit que six fournisseurs venant d'Inde, de Tunisie et de l'Espagne seront présents au salon d'où la participation de plusieurs concurrents. Les promoteurs de cet évènement ajoutent que « le secteur de l'industrie pharmaceutique en Algérie qui est encouragé par la volonté du gouvernement de pousser la production locale en atteignant un taux de production local de 70 % d'ici 2014, se développe à une vitesse croissante (croissance annuelle moyenne de 6 % du marché pharmaceutique depuis 2007), tandis que les projets d'extension, de création et d'investissement liés à des unités de fabrication de médicaments se chiffrent, en ce moment, à plusieurs dizaines». Pas moins de 80 exposants de 17 pays dont l'Allemagne, l'Autriche, l'Espagne, la France, l'Italie, la Suisse et les Etats-Unis d'Amérique participeront à cette manifestation économique et commerciale où 1.500 visiteurs professionnels sont attendus. Concernant la croissance des dépenses pharmaceutique en Algérie, le conférencier a souligné que « 2 milliards dollars en 2007 ont été déboursés pour l'importation de médicaments en Algérie, soit un taux concurrentiel élevé du marché du médicament tandis qu'en 2016, le chiffre d'importation atteindra 4 milliards dollars ». Abordant la production locale, il a indiqué que « celle-ci est spécifique étant donné qu'elle comporte des spécialités et des génériques à raison de 90 % pour la production nationale de génériques et 10 % pour la spécialité ». Le rapport de la production locale et des importations est de l'ordre respectif de 36 % et de 64 % alors que 55 usines sont validées pour la recherche pharmaceutique en Algérie, sachant que les statistiques relatives au nombre d'études cliniques arabes montrent que l'Algérie occupe la dernière position. Alors qu'un espace de rencontres business to business est prévu lors de ce salon pour les opportunités de partenariat et de coopération entre les entreprises, Allard ajoute que « le gouvernement augmente la part des médicaments produite localement dans la mesure où la production nationale s'intéresse aux bio similaires et aux produits biotechnologiques. Il s'agit de faire de « Algeria Pharma » le troisième événement mondial après les salons se déroulant en Allemagne (équipements) et en Espagne (matières premières). Pour ce qui est des salles blanches, le conférencier a dit que six fournisseurs venant d'Inde, de Tunisie et de l'Espagne seront présents au salon d'où la participation de plusieurs concurrents. Les promoteurs de cet évènement ajoutent que « le secteur de l'industrie pharmaceutique en Algérie qui est encouragé par la volonté du gouvernement de pousser la production locale en atteignant un taux de production local de 70 % d'ici 2014, se développe à une vitesse croissante (croissance annuelle moyenne de 6 % du marché pharmaceutique depuis 2007), tandis que les projets d'extension, de création et d'investissement liés à des unités de fabrication de médicaments se chiffrent, en ce moment, à plusieurs dizaines».