C'est aujourd'hui que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, présentera le plan d'action du gouvernement qui a été approuvé en Conseil des ministres le 17 septembre dernier. C'est aujourd'hui que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, présentera le plan d'action du gouvernement qui a été approuvé en Conseil des ministres le 17 septembre dernier. Les députés de l'Assemblée populaire nationale seront toute ouïe pour dénicher une nouveauté qui ne serait pas inscrite dans le plan d'action présenté par l'ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia. Et pour cause, le Premier ministre est chargé, selon les nouvelles dispositions de la Constitution, d'appliquer expressément le programme du président de la République. D'ailleurs, le jour de sa nomination, le Premier ministre avait indiqué que son action obéira dans son ensemble au programme du président Abdelaziz Bouteflika. Cela suppose que les grandes lignes déclinées dans le programme du chef de l'Etat seront maintenues, hormis quelques correctifs rendus nécessaires par l'évolution économique et politico-sociale. Le plan d'action du gouvernement est scindé en six chapitres. L'amélioration du service public, la lutte contre le chômage, le dialogue, la promotion des investissements et la lutte contre la corruption constituent les axes essentiels du plan. Sur un plan plus détaillé, le plan d'action du gouvernement compte faire de l'amélioration de la gouvernance un axe prioritaire. Ainsi le chapitre premier évoque la consolidation de l'Etat de droit et la modernisation de l'administration publique. Dans le chapitre II, il s'agit de consolidation de la sphère économique et financière, notamment, la promotion de l'investissement, la revalorisation des ressources en hydrocarbures, la promotion de la PME et l'organisation des activités commerciales et lutte contre le marché informel. Il est prévu tout un programme dans le chapitre troisième du plan d'action du gouvernement Sellal. Ce sont les chantiers intéressants le développement des infrastructures socio-économiques et l'amélioration du cadre de vie de la population qui sont développés, notamment a travers la promotion de la ville, la poursuite du développement agricole et le relèvement du niveau de la sécurité alimentaire du pays. Il est évoqué aussi, le développement des infrastructures de base dans le domaine des travaux publics, la politique de l'eau (infrastructures et ressources), la promotion du logement et la politique des transports. Dans la promotion du logement, on apprend que le gouvernement poursuivra ses efforts visant à intensifier la production de logement et inscrira le cas échéant de nouveaux programmes de logements publics locatifs. Il est également prévu de lancer un programme additionnel type AADL pour la satisfaction de la demande actuelle. Des mesures incitatives pour encourager l'investissement public et privé sont prévues dans ce secteur. Pour ce qui est du chapitre quatrième, l'accent est mis sur la promotion de l'emploi, la lutte contre le chômage et la poursuite de l'amélioration de l'environnement du système national d'enseignement et de formation. Enfin les chapitre cinq et six sont consacrés respectivement à la politique étrangère, la communauté nationale établie à l'étranger et la défense nationale. Ce plan d'action, qui sera examiné aujourd'hui, devra passer le test des deux chambres du Parlement. Les élus de la nation pourront apporter des correctifs ou suggérer des propositions au texte du gouvernement pour améliorer son efficience. Les députés de l'Assemblée populaire nationale seront toute ouïe pour dénicher une nouveauté qui ne serait pas inscrite dans le plan d'action présenté par l'ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia. Et pour cause, le Premier ministre est chargé, selon les nouvelles dispositions de la Constitution, d'appliquer expressément le programme du président de la République. D'ailleurs, le jour de sa nomination, le Premier ministre avait indiqué que son action obéira dans son ensemble au programme du président Abdelaziz Bouteflika. Cela suppose que les grandes lignes déclinées dans le programme du chef de l'Etat seront maintenues, hormis quelques correctifs rendus nécessaires par l'évolution économique et politico-sociale. Le plan d'action du gouvernement est scindé en six chapitres. L'amélioration du service public, la lutte contre le chômage, le dialogue, la promotion des investissements et la lutte contre la corruption constituent les axes essentiels du plan. Sur un plan plus détaillé, le plan d'action du gouvernement compte faire de l'amélioration de la gouvernance un axe prioritaire. Ainsi le chapitre premier évoque la consolidation de l'Etat de droit et la modernisation de l'administration publique. Dans le chapitre II, il s'agit de consolidation de la sphère économique et financière, notamment, la promotion de l'investissement, la revalorisation des ressources en hydrocarbures, la promotion de la PME et l'organisation des activités commerciales et lutte contre le marché informel. Il est prévu tout un programme dans le chapitre troisième du plan d'action du gouvernement Sellal. Ce sont les chantiers intéressants le développement des infrastructures socio-économiques et l'amélioration du cadre de vie de la population qui sont développés, notamment a travers la promotion de la ville, la poursuite du développement agricole et le relèvement du niveau de la sécurité alimentaire du pays. Il est évoqué aussi, le développement des infrastructures de base dans le domaine des travaux publics, la politique de l'eau (infrastructures et ressources), la promotion du logement et la politique des transports. Dans la promotion du logement, on apprend que le gouvernement poursuivra ses efforts visant à intensifier la production de logement et inscrira le cas échéant de nouveaux programmes de logements publics locatifs. Il est également prévu de lancer un programme additionnel type AADL pour la satisfaction de la demande actuelle. Des mesures incitatives pour encourager l'investissement public et privé sont prévues dans ce secteur. Pour ce qui est du chapitre quatrième, l'accent est mis sur la promotion de l'emploi, la lutte contre le chômage et la poursuite de l'amélioration de l'environnement du système national d'enseignement et de formation. Enfin les chapitre cinq et six sont consacrés respectivement à la politique étrangère, la communauté nationale établie à l'étranger et la défense nationale. Ce plan d'action, qui sera examiné aujourd'hui, devra passer le test des deux chambres du Parlement. Les élus de la nation pourront apporter des correctifs ou suggérer des propositions au texte du gouvernement pour améliorer son efficience.