Les premières impressions des députés ayant pris part, hier, aux travaux de la séance plénière de l'APN consacrée au projet du plan d'action qu'a présenté le Premier ministre à l'Assemblée populaire, ne se sont pas fait attendre. En effet, les réactions ont été immédiates et très mitigées. Bien que nombreux députés aient fait part de leurs satisfactions quant au dit-projet, plusieurs parlementaires, notamment ceux représentant le camp d'opposition, n'ont pas hésité à faire part de leurs réserves quant au contenu du programme en question. Ainsi, le chef du groupe parlementaire du Front des forces socialistes, Ahmed Battache a estimé, en marge de la séance plénière tenue hier au siège de l'APN, que la présentation du plan d'action effectuée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal est une atteinte aux commandements de la Constitution , du moment, a-t-il expliqué, que le gouvernement d'Ahmed Ouyahia n'a pas présenté son bilan annuel avant sa démission. De ce fait, a indiqué Battache, il n'y a pas lieu de discuter sur le plan d'action élaboré par le nouveau gouvernement. Ce dernier, -t-il ajouté, porte sur des projets dont la faisabilité demeure impossible à réaliser au vu de la conjoncture qui prévaut. Dans ce même sillage, Battache a déploré le fait que le plan de Sellal manque de précision, notamment, en matière de chiffres et de statistiques réelles qui servent de base pour toute étude ou analyse. Faisant part de ses réticences quant au dit-projet du plan d'action, le chef du groupe parlementaire du FFS a soutenu qu'il (le plan d'action) ne correspond pas à la vision de sa formation politique, le FFS en l'occurrence, révélant au passage, que le dit-programme gouvernementale n'est autre qu'une assurance pour la continuité du pouvoir actuel et ne laisse présager aucun changement. Battache a estimé, à ce propos, que le programme soumis au débat à l'APN ne répond pas aux véritables attentes du peuple. Sur un autre plan, ce représentant parlementaire du doyen de l'opposition a révélé l'intention du FFS de participer au prochain rendez vous électoral du 29 novembre 2012. Notre participation aux prochaines élections locales, décidée par le directoire national du FFS, émane de notre conviction sur l'importance de ce genre d'élections qui permettent de rapprocher davantage les élus du peuple, a soutenu Battache. Néanmoins, depuis 1962, jamais les élections qui se sont déroulées chez nous, n'ont été transparentes, a-t-il conclu. député indépendant, mohamed taibi «Il est temps de se référer aux véritables normes de bonne gouvernance» Le pays a besoin d'une nouvelle doctrine sécuritaire pour rétablir la société algérienne et relancer la culture de bonne gouvernance dans le pays, a déclaré hier, le sociologue élu député indépendant, Mohamed Taibi, en marge de la séance plénière consacrée à la présentation du projet de plan d'action du nouveau gouvernement sous l'Egide du Premier ministre Abdelmalek Sellal. Par ailleurs, ce même élu a estimé que le monde média doit être considéré comme étant un segment et facteur indéfectible de la structuration sociale, essentiellement, en ces circonstances qui marquent le grand virage qu'emprunte notre pays à l'ère de la mondialisation et dans la démarche démocratique qui s'opère chez nous. « Les sociétés qui subissent un déficit en matière de communication enregistrent un déficit en matière de développement », a-t-il expliqué. Dans ce même ordre d'idée, et commentant les grandes lignes du projet de plan d'action du gouvernement Sellal, Dr Taibi a soutenu qu'il est important pour nous, aujourd'hui, de savoir poser les bonnes questions pour pouvoir enfin mettre en œuvre les solutions les plus requises et à même de concrétiser le projet de société qui répond aux attentes de tous. Selon le même intervenant, il est question d'étudier au millimètre prés tous les aspects dudit projet afin de s'assurer de son efficacité. Aujourd'hui ont ne peut plus compter sur le volontarisme, a-t-il mentionné, et de poursuivre, les expériences internationales nous ont permis de constater que toute bonne démarche repose sur des études bien fondées et basées sur les évolutions socioéconomiques. Les premières impressions des députés ayant pris part, hier, aux travaux de la séance plénière de l'APN consacrée au projet du plan d'action qu'a présenté le Premier ministre à l'Assemblée populaire, ne se sont pas fait attendre. En effet, les réactions ont été immédiates et très mitigées. Bien que nombreux députés aient fait part de leurs satisfactions quant au dit-projet, plusieurs parlementaires, notamment ceux représentant le camp d'opposition, n'ont pas hésité à faire part de leurs réserves quant au contenu du programme en question. Ainsi, le chef du groupe parlementaire du Front des forces socialistes, Ahmed Battache a estimé, en marge de la séance plénière tenue hier au siège de l'APN, que la présentation du plan d'action effectuée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal est une atteinte aux commandements de la Constitution , du moment, a-t-il expliqué, que le gouvernement d'Ahmed Ouyahia n'a pas présenté son bilan annuel avant sa démission. De ce fait, a indiqué Battache, il n'y a pas lieu de discuter sur le plan d'action élaboré par le nouveau gouvernement. Ce dernier, -t-il ajouté, porte sur des projets dont la faisabilité demeure impossible à réaliser au vu de la conjoncture qui prévaut. Dans ce même sillage, Battache a déploré le fait que le plan de Sellal manque de précision, notamment, en matière de chiffres et de statistiques réelles qui servent de base pour toute étude ou analyse. Faisant part de ses réticences quant au dit-projet du plan d'action, le chef du groupe parlementaire du FFS a soutenu qu'il (le plan d'action) ne correspond pas à la vision de sa formation politique, le FFS en l'occurrence, révélant au passage, que le dit-programme gouvernementale n'est autre qu'une assurance pour la continuité du pouvoir actuel et ne laisse présager aucun changement. Battache a estimé, à ce propos, que le programme soumis au débat à l'APN ne répond pas aux véritables attentes du peuple. Sur un autre plan, ce représentant parlementaire du doyen de l'opposition a révélé l'intention du FFS de participer au prochain rendez vous électoral du 29 novembre 2012. Notre participation aux prochaines élections locales, décidée par le directoire national du FFS, émane de notre conviction sur l'importance de ce genre d'élections qui permettent de rapprocher davantage les élus du peuple, a soutenu Battache. Néanmoins, depuis 1962, jamais les élections qui se sont déroulées chez nous, n'ont été transparentes, a-t-il conclu. député indépendant, mohamed taibi «Il est temps de se référer aux véritables normes de bonne gouvernance» Le pays a besoin d'une nouvelle doctrine sécuritaire pour rétablir la société algérienne et relancer la culture de bonne gouvernance dans le pays, a déclaré hier, le sociologue élu député indépendant, Mohamed Taibi, en marge de la séance plénière consacrée à la présentation du projet de plan d'action du nouveau gouvernement sous l'Egide du Premier ministre Abdelmalek Sellal. Par ailleurs, ce même élu a estimé que le monde média doit être considéré comme étant un segment et facteur indéfectible de la structuration sociale, essentiellement, en ces circonstances qui marquent le grand virage qu'emprunte notre pays à l'ère de la mondialisation et dans la démarche démocratique qui s'opère chez nous. « Les sociétés qui subissent un déficit en matière de communication enregistrent un déficit en matière de développement », a-t-il expliqué. Dans ce même ordre d'idée, et commentant les grandes lignes du projet de plan d'action du gouvernement Sellal, Dr Taibi a soutenu qu'il est important pour nous, aujourd'hui, de savoir poser les bonnes questions pour pouvoir enfin mettre en œuvre les solutions les plus requises et à même de concrétiser le projet de société qui répond aux attentes de tous. Selon le même intervenant, il est question d'étudier au millimètre prés tous les aspects dudit projet afin de s'assurer de son efficacité. Aujourd'hui ont ne peut plus compter sur le volontarisme, a-t-il mentionné, et de poursuivre, les expériences internationales nous ont permis de constater que toute bonne démarche repose sur des études bien fondées et basées sur les évolutions socioéconomiques.