Ignorant totalement le processus de paix avec le Palestiniens, Benjamin Netanyahu a axé, jeudi soir, son allocution devant l'Assemblée générale de l'Onu sur le programme nucléaire de l'Iran. Ignorant totalement le processus de paix avec le Palestiniens, Benjamin Netanyahu a axé, jeudi soir, son allocution devant l'Assemblée générale de l'Onu sur le programme nucléaire de l'Iran. Muni d'un dessin illustrant une bombe prête à exploser, le Premier ministre israélien a réclamé qu'une "ligne rouge" soit fixée à Téhéran pour l'empêcher de se doter de l'arme atomique. Ainsi graphique à l'appui, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a réclamé jeudi aux Nations unies qu'une "ligne rouge" soit fixée à l'Iran pour l'empêcher de se doter de l'arme nucléaire. Téhéran a répondu en affirmant être prêt à "riposter avec toute la force nécessaire à toute attaque". Il a notamment affirmé que le régime islamique serait au seuil de la bombe atomique dans moins d'un an. "Le temps presse, il est très tard. L'avenir du monde est en jeu (...), rien ne peut mettre davantage en péril notre avenir qu'un Iran doté d'armes nucléaires", a-t-il martelé. Pas d'attaque avant l'élection américaine ? Mais en évoquant que ce passage au seuil prendrait encore quelques mois - le "printemps ou l'été prochain"-, Benjamin Netanyahu a semblé suggérer que la menace de frappe préventive brandie par Israël depuis plus d'un an ne serait pas mise à exécution avant l'élection américaine du 6 novembre prochain -Benjamin Netanyahu, ami personnel de Mitt Romney, s'est publiquement opposé à Barack Obama sur l'urgence d'entreprendre une opération militaire contre les installations nucléaires iraniennes. L'Iran a rejeté en bloc les accusations israéliennes. "La République islamique d'Iran est assez forte pour se défendre et se réserve le droit de riposter avec toute la force nécessaire à toute attaque", a répondu e représentant adjoint iranien à l'Onu, Eshagh Al Habib, lors d'un discours non prévu lu à la tribune de l'Assemblée générale. Il a notamment assuré que le dessin brandi par Benjamin Netanyahu était "imaginaire et infondé". Muni d'un dessin illustrant une bombe prête à exploser, le Premier ministre israélien a réclamé qu'une "ligne rouge" soit fixée à Téhéran pour l'empêcher de se doter de l'arme atomique. Ainsi graphique à l'appui, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a réclamé jeudi aux Nations unies qu'une "ligne rouge" soit fixée à l'Iran pour l'empêcher de se doter de l'arme nucléaire. Téhéran a répondu en affirmant être prêt à "riposter avec toute la force nécessaire à toute attaque". Il a notamment affirmé que le régime islamique serait au seuil de la bombe atomique dans moins d'un an. "Le temps presse, il est très tard. L'avenir du monde est en jeu (...), rien ne peut mettre davantage en péril notre avenir qu'un Iran doté d'armes nucléaires", a-t-il martelé. Pas d'attaque avant l'élection américaine ? Mais en évoquant que ce passage au seuil prendrait encore quelques mois - le "printemps ou l'été prochain"-, Benjamin Netanyahu a semblé suggérer que la menace de frappe préventive brandie par Israël depuis plus d'un an ne serait pas mise à exécution avant l'élection américaine du 6 novembre prochain -Benjamin Netanyahu, ami personnel de Mitt Romney, s'est publiquement opposé à Barack Obama sur l'urgence d'entreprendre une opération militaire contre les installations nucléaires iraniennes. L'Iran a rejeté en bloc les accusations israéliennes. "La République islamique d'Iran est assez forte pour se défendre et se réserve le droit de riposter avec toute la force nécessaire à toute attaque", a répondu e représentant adjoint iranien à l'Onu, Eshagh Al Habib, lors d'un discours non prévu lu à la tribune de l'Assemblée générale. Il a notamment assuré que le dessin brandi par Benjamin Netanyahu était "imaginaire et infondé".