Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a affirmé dimanche à Aïn Temouchent que l'amélioration du service public dans le domaine de l'eau constitue l'une des "grandes priorités" de son secteur, avant d'annoncer le lancement d'une étude à même de localiser les zones inondables en Algérie et tracer une cartographie. Le ministre a indiqué, lors d'un point de presse, que cet axe prioritaire fera l'objet de mesures et d'une feuille de route portant "sur une amélioration sensible de la qualité du service public à rendre à l'usager", tout en appelant les consommateurs à prendre conscience l'économie de l'eau, "ressource rare et inégalement répartie en Algérie". M. Necib a ajouté, dans ce sens, que son département ministériel est en train de préparer un vaste programme de sensibilisation pour ancrer cette culture. La poursuite des investissements dans le secteur est l'autre axe prioritaire dans le programme d'action du ministère. Ils concerneront les ouvrages de mobilisation de l'eau, les interconnexions et les transferts de l'eau, afin de contribuer à la sécurisation de l'Algérie par rapport au problème de l'eau, a-t-il encore indiqué. Par ailleurs, le ministre a annoncé le lancement, en collaboration avec l'Agence nationale des ressources hydriques (ANRH), d'une grande étude utilisant des moyens technologiques modernes pour localiser avec précision les zones inondables en Algérie et tracer une cartographie. "Cela permettra d'élaborer un plan d'actions prioritaires à mener sur le terrain, notamment en intervenant sur les cours d'eau et curages d'Oueds, afin de prémunir ces zones", a-t-il souligné. Le ministère a, dès à présent, effectué un recensement des zones inondables, en attendant l'aboutissement, dans une année, de cette étude, a signalé M. Necib, déclarant, par ailleurs, que l'augmentation des prix de l'eau "n'est pas à l'ordre du jour. En visite d'inspection et de travail à travers la wilaya d'Ain Témouchent, le ministre a inspecté le chantier de réalisation d'un réservoir de 1.000 m3 d'eau destiné à l'approvisionnement des habitants de la commune d'El Amria estimés à 22.868 âmes.Les travaux de concrétisation de ce projet, qui renforcera les capacités de stockage de la commune, estimées actuellement à 2.000 m3, ont atteint un taux d'avancement de 80 %.Dans la commune de Bouzedjar, le ministre s'est enquis des travaux d'aménagement de l'oued traversant la cité pour la prémunir contre les inondations. Au total, 23 oueds de la wilaya ont été aménagés pour un linéaire de 46 km et une enveloppe financière globale de 3,253 milliards DA.Visitant le projet de réalisation d'une station d'épuration dans la même commune, M. Necib a invité les responsables du secteur à réhabiliter et étendre les réseaux d'assainissement pour réduire les rejets des eaux usées. Cette station, appelée à répondre aux besoins d'une population de 19.000 habitants, renforcera les six stations en service, en attendant la réception de celles d'Aïn Tolba et Aïn Temouchent. Trois autres stations sont à l'étude, a-t-on appris sur place. L'expérience de gestion du petit barrage de Sidi Ameur dans la commune de Ouled Kihal par une association d'irrigants, a intéressé le ministre qui a insisté sur son encadrement et sa généralisation à travers le pays. Après avoir visité la station de dessalement de l'eau de mer de Beni Saf qui a atteint, depuis le 9 novembre 2009 au 30 septembre 2012, un volume cumulé de l'ordre de 150.609.495 mètres cubes, M. Necib s'est rendu à la station de Dzioua par où transite l'eau de la station et des barrages de Tlemcen. L'alimentation en eau potable de la plage de Madagh a été sollicitée à cette occasion par les autorités locales de la wilaya, notamment en prévision de la réalisation d'un abri de pêche et pour répondre aux besoins des nombreux estivants. Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a affirmé dimanche à Aïn Temouchent que l'amélioration du service public dans le domaine de l'eau constitue l'une des "grandes priorités" de son secteur, avant d'annoncer le lancement d'une étude à même de localiser les zones inondables en Algérie et tracer une cartographie. Le ministre a indiqué, lors d'un point de presse, que cet axe prioritaire fera l'objet de mesures et d'une feuille de route portant "sur une amélioration sensible de la qualité du service public à rendre à l'usager", tout en appelant les consommateurs à prendre conscience l'économie de l'eau, "ressource rare et inégalement répartie en Algérie". M. Necib a ajouté, dans ce sens, que son département ministériel est en train de préparer un vaste programme de sensibilisation pour ancrer cette culture. La poursuite des investissements dans le secteur est l'autre axe prioritaire dans le programme d'action du ministère. Ils concerneront les ouvrages de mobilisation de l'eau, les interconnexions et les transferts de l'eau, afin de contribuer à la sécurisation de l'Algérie par rapport au problème de l'eau, a-t-il encore indiqué. Par ailleurs, le ministre a annoncé le lancement, en collaboration avec l'Agence nationale des ressources hydriques (ANRH), d'une grande étude utilisant des moyens technologiques modernes pour localiser avec précision les zones inondables en Algérie et tracer une cartographie. "Cela permettra d'élaborer un plan d'actions prioritaires à mener sur le terrain, notamment en intervenant sur les cours d'eau et curages d'Oueds, afin de prémunir ces zones", a-t-il souligné. Le ministère a, dès à présent, effectué un recensement des zones inondables, en attendant l'aboutissement, dans une année, de cette étude, a signalé M. Necib, déclarant, par ailleurs, que l'augmentation des prix de l'eau "n'est pas à l'ordre du jour. En visite d'inspection et de travail à travers la wilaya d'Ain Témouchent, le ministre a inspecté le chantier de réalisation d'un réservoir de 1.000 m3 d'eau destiné à l'approvisionnement des habitants de la commune d'El Amria estimés à 22.868 âmes.Les travaux de concrétisation de ce projet, qui renforcera les capacités de stockage de la commune, estimées actuellement à 2.000 m3, ont atteint un taux d'avancement de 80 %.Dans la commune de Bouzedjar, le ministre s'est enquis des travaux d'aménagement de l'oued traversant la cité pour la prémunir contre les inondations. Au total, 23 oueds de la wilaya ont été aménagés pour un linéaire de 46 km et une enveloppe financière globale de 3,253 milliards DA.Visitant le projet de réalisation d'une station d'épuration dans la même commune, M. Necib a invité les responsables du secteur à réhabiliter et étendre les réseaux d'assainissement pour réduire les rejets des eaux usées. Cette station, appelée à répondre aux besoins d'une population de 19.000 habitants, renforcera les six stations en service, en attendant la réception de celles d'Aïn Tolba et Aïn Temouchent. Trois autres stations sont à l'étude, a-t-on appris sur place. L'expérience de gestion du petit barrage de Sidi Ameur dans la commune de Ouled Kihal par une association d'irrigants, a intéressé le ministre qui a insisté sur son encadrement et sa généralisation à travers le pays. Après avoir visité la station de dessalement de l'eau de mer de Beni Saf qui a atteint, depuis le 9 novembre 2009 au 30 septembre 2012, un volume cumulé de l'ordre de 150.609.495 mètres cubes, M. Necib s'est rendu à la station de Dzioua par où transite l'eau de la station et des barrages de Tlemcen. L'alimentation en eau potable de la plage de Madagh a été sollicitée à cette occasion par les autorités locales de la wilaya, notamment en prévision de la réalisation d'un abri de pêche et pour répondre aux besoins des nombreux estivants.