Les autorités libyennes négocient un compromis avec les chefs tribaux et militaires de Bani Walid afin de permettre une entrée pacifique des forces régulières dans la ville, a indiqué le porte-parole de la plus haute autorité politique libyenne. "Une force militaire va entrer dans la ville de Bani Walid avec l‘accord des tribus locales", a indiqué le porte-parole du Congrès général national (CGN), Omar Hmidan. Selon Salem el Aouaer, le chef militaire de cette ville, un bastion de fidèles de l‘ancien régime déchu recherchés par la justice, Mohamed Megaryef, président du CGN, la plus haurte autorité politique du pays, devait se rendre jeudi à Bani Walid. "Nous attendons aujourd‘hui la visite du président du Congrès. Mais je ne sais pas comment il va rentrer dans la ville, au moment où les milices de Misrata continuent à nous bombarder", a déclaré le chef militaire. Ces groupes d‘ex-rebelles, désormais sous le contrôle de l‘armée, originaires de Misrata, ville voisine de Bani Walid, assiègent depuis plus de deux semaines cet oasis aux portes du sésert. Ils ont lancé hier une nouvelle offensive , sous la bannière de l‘"armée nationale", au lendemain d‘une attaque contre Bani Walid qui avait fait au moins des dizaines de blessés. Le porte-parole du CGN, Omar Hmidan, a confirmé à des médias une visite prévue de M. Megaryef à Bani Walid pour "appliquer la décision n°7 du CGN". Les autorités libyennes négocient un compromis avec les chefs tribaux et militaires de Bani Walid afin de permettre une entrée pacifique des forces régulières dans la ville, a indiqué le porte-parole de la plus haute autorité politique libyenne. "Une force militaire va entrer dans la ville de Bani Walid avec l‘accord des tribus locales", a indiqué le porte-parole du Congrès général national (CGN), Omar Hmidan. Selon Salem el Aouaer, le chef militaire de cette ville, un bastion de fidèles de l‘ancien régime déchu recherchés par la justice, Mohamed Megaryef, président du CGN, la plus haurte autorité politique du pays, devait se rendre jeudi à Bani Walid. "Nous attendons aujourd‘hui la visite du président du Congrès. Mais je ne sais pas comment il va rentrer dans la ville, au moment où les milices de Misrata continuent à nous bombarder", a déclaré le chef militaire. Ces groupes d‘ex-rebelles, désormais sous le contrôle de l‘armée, originaires de Misrata, ville voisine de Bani Walid, assiègent depuis plus de deux semaines cet oasis aux portes du sésert. Ils ont lancé hier une nouvelle offensive , sous la bannière de l‘"armée nationale", au lendemain d‘une attaque contre Bani Walid qui avait fait au moins des dizaines de blessés. Le porte-parole du CGN, Omar Hmidan, a confirmé à des médias une visite prévue de M. Megaryef à Bani Walid pour "appliquer la décision n°7 du CGN".