Depuis la décision du gouvernement d'assainir le commerce national plusieurs tares surgissent des sentiers battus . La plus importante est la nature des produits sur le marché Ceux issus de l'importation sont les plus achetés et à ce jour on ne sait toujours pas ce qu'ils renferment . En cause, la faible place que laissent les pouvoirs publics aux associations de protection du consommateur Depuis la décision du gouvernement d'assainir le commerce national plusieurs tares surgissent des sentiers battus . La plus importante est la nature des produits sur le marché Ceux issus de l'importation sont les plus achetés et à ce jour on ne sait toujours pas ce qu'ils renferment . En cause, la faible place que laissent les pouvoirs publics aux associations de protection du consommateur L‘année 2013 promet du propre et du local ! C‘est qui ressort des discours officiels tenus au boulevard Zighout Youcef .Objectif : mettre à exécution le changement promet par le premier magistrat du pays en Avril dernier .Pour y arriver l‘équipe Sellal, décidée à faire du concret en discute au sein de l‘hémicycle ;La question du coup du projet de loi de fiances 2013 (PLF) est forcément de taille .Quoi de plus évident diriez-vous de comptabiliser ses moyens ,pour appliquer sa politiques .A ces propos l‘un des chantiers qui revient sans cesse est la propreté. Le dossier « noble » au demeurant exige une joint-venture au sein des ministères. C‘est en tout cas ce qui ressort des différentes décisions émises .Ainsi pour ce qui est de redonner à l‘espace urbain ses lettres de noblesse, les départements respectifs de Benyounes, Ould Kablia et de Benbada sont déjà sur un pied de guerre .En témoignes les dernières décisions des uns et des autres : Pour le premier, l‘impératif est de faire accoucher ,même aux forceps s‘il le faut, le concept de « réfléchir ville » avec des engagements stratégiques et opérationnels .Pour le second ,le b.a.-ba étant des mesures ad hoc pour « le redéploiement et l‘encadrement des services publics d‘hygiène du milieu et leur pérennisation » S‘agissant du troisième département, en l‘occurrence, celui du commerce l‘urgence est à l‘éradication du commerce informel non seulement pour se réapproprier de l‘espace public, refaire valoir l‘autorité et ou le savoir faire du commerçant doté du local avec, à l‘appui, ses engagements auprès du fisc. Pour y arriver, il compte mettre les bouchées doubles .L‘opération de Benbada sera effective dès janvier prochain avec l‘entrée en vigueur du décret exécutif définissent et précisant l‘exploitation de l‘assiette foncière commerciale ; l‘opération de Benbada coûtera 40MDS DA .Outre la revalorisation des espaces sus-cités, elle permet aussi de promouvoir la production nationale en la ramenant au devant de la scène commerciale nationale , d‘aider le projet du Forum des Chefs d‘Entreprise à prendre corps ,à savoir le patriotisme économique par ces temps de crise .Si l‘idée est des plus rentables, reste l‘autre question. Celle de savoir ce qui est vendu dans nos espaces commerciaux : pour nombre de spéculateurs le commerce repose sur des produits importés .Les produits sont divers et variés ,ils sont aussi aidés par le tapage médiatique des chaînes satellitaires qui sont omniprésentes dans nos foyers.Résultats des courses, le commerce de ces produits est des plus juteux .Il suffit de voir les prix avec lesquels ils sont proposés et le nombre de clients pour comprendre l‘effet de la publicité de ces chaînes sur le consommateur algérien .Quoi de plus logique et patent pour un pays à culture publicitaire naissante dont le despotisme de l‘image n‘est plus à débattre tant il est criard.Pourtant bon nombre de ces consommateurs des produits d‘ailleurs,restent non informés ou indifférents à la question de l‘impact de ces produits sur l‘environnement et la santé . La question est des plus sérieuses puisqu‘ il y va de notre santé .En effet, nul ne sait s‘il y a respect ou non de la chaîne du froid et des dates de péremption dont certains trafiquants, par appât du gain, n‘hésitent pas à modifier les dates sans génie et ni vergogne d‘une part et de l‘origine du produit de base.Selon des observateurs, ces produits sont majoritairement issus des hard discount étrangers ,dont une marque allemande qui a fait son beurre en Europe mais qui propose des produits quelquefois contestés comme ceux provenant de l‘Est et dont l‘impact de Tchernobyl sur ces terres et sur la santé des gens se ressent à ce jour .Pour pallier ce genre de problème le mouvement associatif pourrait jouer son rôle pleinement .Pourquoi peine-t-il à être efficientes et aussi observantes qu‘ailleurs ? Pour M .Siad Kamel ,patron actif sans le mouvement associatif l‘obstacle est que la prérogative du contrôle soit de la compétence des services des répressions et fraudes L‘année 2013 promet du propre et du local ! C‘est qui ressort des discours officiels tenus au boulevard Zighout Youcef .Objectif : mettre à exécution le changement promet par le premier magistrat du pays en Avril dernier .Pour y arriver l‘équipe Sellal, décidée à faire du concret en discute au sein de l‘hémicycle ;La question du coup du projet de loi de fiances 2013 (PLF) est forcément de taille .Quoi de plus évident diriez-vous de comptabiliser ses moyens ,pour appliquer sa politiques .A ces propos l‘un des chantiers qui revient sans cesse est la propreté. Le dossier « noble » au demeurant exige une joint-venture au sein des ministères. C‘est en tout cas ce qui ressort des différentes décisions émises .Ainsi pour ce qui est de redonner à l‘espace urbain ses lettres de noblesse, les départements respectifs de Benyounes, Ould Kablia et de Benbada sont déjà sur un pied de guerre .En témoignes les dernières décisions des uns et des autres : Pour le premier, l‘impératif est de faire accoucher ,même aux forceps s‘il le faut, le concept de « réfléchir ville » avec des engagements stratégiques et opérationnels .Pour le second ,le b.a.-ba étant des mesures ad hoc pour « le redéploiement et l‘encadrement des services publics d‘hygiène du milieu et leur pérennisation » S‘agissant du troisième département, en l‘occurrence, celui du commerce l‘urgence est à l‘éradication du commerce informel non seulement pour se réapproprier de l‘espace public, refaire valoir l‘autorité et ou le savoir faire du commerçant doté du local avec, à l‘appui, ses engagements auprès du fisc. Pour y arriver, il compte mettre les bouchées doubles .L‘opération de Benbada sera effective dès janvier prochain avec l‘entrée en vigueur du décret exécutif définissent et précisant l‘exploitation de l‘assiette foncière commerciale ; l‘opération de Benbada coûtera 40MDS DA .Outre la revalorisation des espaces sus-cités, elle permet aussi de promouvoir la production nationale en la ramenant au devant de la scène commerciale nationale , d‘aider le projet du Forum des Chefs d‘Entreprise à prendre corps ,à savoir le patriotisme économique par ces temps de crise .Si l‘idée est des plus rentables, reste l‘autre question. Celle de savoir ce qui est vendu dans nos espaces commerciaux : pour nombre de spéculateurs le commerce repose sur des produits importés .Les produits sont divers et variés ,ils sont aussi aidés par le tapage médiatique des chaînes satellitaires qui sont omniprésentes dans nos foyers.Résultats des courses, le commerce de ces produits est des plus juteux .Il suffit de voir les prix avec lesquels ils sont proposés et le nombre de clients pour comprendre l‘effet de la publicité de ces chaînes sur le consommateur algérien .Quoi de plus logique et patent pour un pays à culture publicitaire naissante dont le despotisme de l‘image n‘est plus à débattre tant il est criard.Pourtant bon nombre de ces consommateurs des produits d‘ailleurs,restent non informés ou indifférents à la question de l‘impact de ces produits sur l‘environnement et la santé . La question est des plus sérieuses puisqu‘ il y va de notre santé .En effet, nul ne sait s‘il y a respect ou non de la chaîne du froid et des dates de péremption dont certains trafiquants, par appât du gain, n‘hésitent pas à modifier les dates sans génie et ni vergogne d‘une part et de l‘origine du produit de base.Selon des observateurs, ces produits sont majoritairement issus des hard discount étrangers ,dont une marque allemande qui a fait son beurre en Europe mais qui propose des produits quelquefois contestés comme ceux provenant de l‘Est et dont l‘impact de Tchernobyl sur ces terres et sur la santé des gens se ressent à ce jour .Pour pallier ce genre de problème le mouvement associatif pourrait jouer son rôle pleinement .Pourquoi peine-t-il à être efficientes et aussi observantes qu‘ailleurs ? Pour M .Siad Kamel ,patron actif sans le mouvement associatif l‘obstacle est que la prérogative du contrôle soit de la compétence des services des répressions et fraudes