Il s'agit d'une prolifération au niveau de la moelle osseuse dont le nom et syndrome myéloprolifératif. La prolifération concerne une cellule souche pluripotente (possédant la capacité de se transformer en n'importe quelle autre cellule sanguine) qui aboutit à la production exagérée de polynucléaires c'est-à-dire de certains globules blancs. On ne connaît pas avec précision la cause de la leucémie myéloïde chronique mais il semble que les radiations ionisantes sont un des facteurs favorisants. Le nombre de nouveaux cas par an et d'environ 600 en France.L'incidence augmente au fur et à mesure que l'âge avance et on constate, d'autre part, une très légère prédominance masculine.La découverte de la leucémie myéloïde chronique est fortuite (quand le patient passe des examens sanguins pour autre chose). Le plus fréquemment les patients se plaignent d'asthénie c'est-à-dire de fatigue, d'amaigrissement et d'une altération de l'état général. L'examen physique du patient met en évidence une splénomégalie c'est-à-dire une rate volumineuse. Les analyses de sang objectif une hyperleucocytose (élévation du nombre de globules blancs) dont la caractéristique majeure et son intensité. En effet celle-ci est le plus souvent supérieur à 50 000 globules blancs par millimètre cube.Le caryotype c'est-à-dire l'étude des chromosomes du patient montre la présence du chromosome Philadelphie (translocation entre le chromosome numéro neuf et le chromosome numéro 22). L'évolution de la leucémie myéloïde chronique se fait en trois phases. La première est une face chronique suivie d'une phase d'accélération et la troisième est une phase de transformation en leucémie aiguë, phase concernant à peu près 90 % des patients en moins de quatre ans. Il existe un score que l'on appelle l'indice de Sokal qui permet d'évaluer la gravité de la maladie. Quand le score est faible la survie globale est d'environ 5 ans. La survie chute quand le score est élevé. Le traitement fait appel à l'interféron alpha qui permet d'obtenir des rémissions durant des périodes relativement longues. La greffe de moelle se pratique chez le sujet jeune en face chronique. Ceci permet d'obtenir à peu près une guérison chez un patient sur deux. Source vulgaris-medical. Il s'agit d'une prolifération au niveau de la moelle osseuse dont le nom et syndrome myéloprolifératif. La prolifération concerne une cellule souche pluripotente (possédant la capacité de se transformer en n'importe quelle autre cellule sanguine) qui aboutit à la production exagérée de polynucléaires c'est-à-dire de certains globules blancs. On ne connaît pas avec précision la cause de la leucémie myéloïde chronique mais il semble que les radiations ionisantes sont un des facteurs favorisants. Le nombre de nouveaux cas par an et d'environ 600 en France.L'incidence augmente au fur et à mesure que l'âge avance et on constate, d'autre part, une très légère prédominance masculine.La découverte de la leucémie myéloïde chronique est fortuite (quand le patient passe des examens sanguins pour autre chose). Le plus fréquemment les patients se plaignent d'asthénie c'est-à-dire de fatigue, d'amaigrissement et d'une altération de l'état général. L'examen physique du patient met en évidence une splénomégalie c'est-à-dire une rate volumineuse. Les analyses de sang objectif une hyperleucocytose (élévation du nombre de globules blancs) dont la caractéristique majeure et son intensité. En effet celle-ci est le plus souvent supérieur à 50 000 globules blancs par millimètre cube.Le caryotype c'est-à-dire l'étude des chromosomes du patient montre la présence du chromosome Philadelphie (translocation entre le chromosome numéro neuf et le chromosome numéro 22). L'évolution de la leucémie myéloïde chronique se fait en trois phases. La première est une face chronique suivie d'une phase d'accélération et la troisième est une phase de transformation en leucémie aiguë, phase concernant à peu près 90 % des patients en moins de quatre ans. Il existe un score que l'on appelle l'indice de Sokal qui permet d'évaluer la gravité de la maladie. Quand le score est faible la survie globale est d'environ 5 ans. La survie chute quand le score est élevé. Le traitement fait appel à l'interféron alpha qui permet d'obtenir des rémissions durant des périodes relativement longues. La greffe de moelle se pratique chez le sujet jeune en face chronique. Ceci permet d'obtenir à peu près une guérison chez un patient sur deux. Source vulgaris-medical.