Le président de l'USM El Harrach, Mohamed Laib, a appelé dimanche la commission de discipline de la Ligue du football professionnel (LFP) à l'application stricte de la réglementation, en donnant à son équipe le gain du match arrêté sur le terrain de la JS Saoura, alors qu'elle menait au score (2-1) samedi pour le compte de la 9e journée du championnat de Ligue 1 algérienne. "La commission de discipline est censée appliquer la réglementation, en déclarant notre équipe vainqueur sur tapis vert du match face à la JSS. Notre équipe menait au score, avant que l'arbitre n'interrompe le match en raison de l'insécurité régnant dans le stade de Béchar", a déclaré à l'APS le premier responsable de l'USMH. On jouait la 69e minute de la partie, quand l'arbitre de la rencontre JSS-USMH, Abid Charef, a mis un terme aux débats, après l'envahissement du terrain par les supporters visiteurs. "Si nos supporters, qui n'étaient pas en nombre, avaient pénétré sur le terrain, c'est parce qu'ils étaient menacés dans leur vie. Ils ont été victimes de violentes agressions, ne trouvant d'autres moyens pour s'en sortir que se réfugier sur le terrain puis aux vestiaires", a expliqué Laib. "Je rends d'ailleurs un vibrant hommage aux services de sécurité qui ont ouvert le portail de la tribune où prenaient place nos supporters afin de leur permettre de fuir la furia des pseudo-fans de l'équipe locale. N'était cette réaction, le nombre des victimes aurait été plus élevé", a t-il ajouté. Le président du club banlieusard de la capitale a rejeté, en outre, les accusations de son homologue de la JSS, Mohamed Zerouati, par lesquelles il a fait endosser aux supporters harrachis la responsabilité de l'arrêt de la partie, ajoutant que "le rapport des services de l'ordre prouve bien que les fans de l'USMH étaient les victimes, et non pas les coupables". Laib a regretté, au passage, "le mauvais accueil" des dirigeants de la JSS, informant que ces derniers n'ont même pas daigné mettre à la disposition de son équipe des bus pour transporter les effectifs séniors et espoirs au stade pour effectuer leurs séances d'entraînement la veille de leurs rencontres respectives. Par ailleurs, le responsable de l'ex-co-leader du championnat a rassuré, à propos de l'état de santé de ses joueurs, indiquant que les blessures dont ont été victimes le défenseur Belkaroui et l'attaquant El Amali, "n'étaient pas méchantes". Enfin, et selon Laib, la délégation harrachie a regagné Alger vers 4h30 du matin de dimanche, poursuivant que les supporters touchés assez sérieusement lors des incidents en question, ont été transportés par avion avec la délégation, de leur équipe, alors que les autres fans ont quitté Béchar à bord du train ou de taxis. En attendant que la LFP tranche cette affaire, l'USMH régresse à la 2e place avec 17 points, soit à trois longueur de l'ES Sétif, seul aux commandes à l'issue de la 9e journée. Le président de l'USM El Harrach, Mohamed Laib, a appelé dimanche la commission de discipline de la Ligue du football professionnel (LFP) à l'application stricte de la réglementation, en donnant à son équipe le gain du match arrêté sur le terrain de la JS Saoura, alors qu'elle menait au score (2-1) samedi pour le compte de la 9e journée du championnat de Ligue 1 algérienne. "La commission de discipline est censée appliquer la réglementation, en déclarant notre équipe vainqueur sur tapis vert du match face à la JSS. Notre équipe menait au score, avant que l'arbitre n'interrompe le match en raison de l'insécurité régnant dans le stade de Béchar", a déclaré à l'APS le premier responsable de l'USMH. On jouait la 69e minute de la partie, quand l'arbitre de la rencontre JSS-USMH, Abid Charef, a mis un terme aux débats, après l'envahissement du terrain par les supporters visiteurs. "Si nos supporters, qui n'étaient pas en nombre, avaient pénétré sur le terrain, c'est parce qu'ils étaient menacés dans leur vie. Ils ont été victimes de violentes agressions, ne trouvant d'autres moyens pour s'en sortir que se réfugier sur le terrain puis aux vestiaires", a expliqué Laib. "Je rends d'ailleurs un vibrant hommage aux services de sécurité qui ont ouvert le portail de la tribune où prenaient place nos supporters afin de leur permettre de fuir la furia des pseudo-fans de l'équipe locale. N'était cette réaction, le nombre des victimes aurait été plus élevé", a t-il ajouté. Le président du club banlieusard de la capitale a rejeté, en outre, les accusations de son homologue de la JSS, Mohamed Zerouati, par lesquelles il a fait endosser aux supporters harrachis la responsabilité de l'arrêt de la partie, ajoutant que "le rapport des services de l'ordre prouve bien que les fans de l'USMH étaient les victimes, et non pas les coupables". Laib a regretté, au passage, "le mauvais accueil" des dirigeants de la JSS, informant que ces derniers n'ont même pas daigné mettre à la disposition de son équipe des bus pour transporter les effectifs séniors et espoirs au stade pour effectuer leurs séances d'entraînement la veille de leurs rencontres respectives. Par ailleurs, le responsable de l'ex-co-leader du championnat a rassuré, à propos de l'état de santé de ses joueurs, indiquant que les blessures dont ont été victimes le défenseur Belkaroui et l'attaquant El Amali, "n'étaient pas méchantes". Enfin, et selon Laib, la délégation harrachie a regagné Alger vers 4h30 du matin de dimanche, poursuivant que les supporters touchés assez sérieusement lors des incidents en question, ont été transportés par avion avec la délégation, de leur équipe, alors que les autres fans ont quitté Béchar à bord du train ou de taxis. En attendant que la LFP tranche cette affaire, l'USMH régresse à la 2e place avec 17 points, soit à trois longueur de l'ES Sétif, seul aux commandes à l'issue de la 9e journée.