A quelques encablures du vote, la campagne bat son plein et les discours restent loin des faits et du rôle des futurs nouveaux élus pour convaincre l'électorat. A quelques encablures du vote, la campagne bat son plein et les discours restent loin des faits et du rôle des futurs nouveaux élus pour convaincre l'électorat. LIa campagne, pour le double scrutin du 29 novembre, est bel et bien partie. En jeu pour ce scrutin le renouvellement des membres des Assemblées populaires communales (1.541 APC) et des 48 Assemblées populaires de wilayas (APW). Selon les chiffres avancés par l'APS, sont en lice 52 partis politiques et des candidats indépendants. En tout et pour tout 8.383 listes ont été déposées par les 52 partis en lice et 179 par les indépendants pour les APC. Du côté des APW les listes sont aussi nombreuses. Elles se comptent par centaines : les partis ont en effet déposé 615 et les indépendants 9. Selon la même source, le 31 mars dernier, 20.673.818 personnes ont été inscrites sur ces listes électorales dont 520.128 nouvellement inscrits. A ces chiffres s'ajoutent les radiés de ces listes dont le chiffre a atteint 230.107 à la même date. La première lecture qu'on est à même de faire est l'importance des nouveaux locataires respectifs des APW et des APC et donc par ricochet de leurs couleurs politiques. De la sorte et pour ce scrutin est attendu du nouvel élu un travail stratégique, certes, avec toutefois un préalable précieux. A savoir le travail de proximité avec le citoyen. Or pour le début de cette campagne rien n'a été déclaré dans ce sens si ce n'est des propos ou des faits déjà mis en route par l'équipe de Sellal, à l'instar de la propreté des villes qui est un projet instruit par le premier magistrat et donc mis en branle par le département de Benyounes. Pour le reste, aucun son de cloche n'est claironné pour améliorer le quotidien du citoyen : il en va de la stratification par âge de la population (pour une meilleure prise en charge du citoyen notamment en matière de services) aux patrimoines et potentialités de la localité pour une meilleure rentabilité d'une part, et d'autre part une bonne réhabilitation du service public et une identification des autres services manquants et pouvant être comblés par le service privé via les petites et moyennes entreprises pourvoyeuses d'emplois. Donc et pour ce début de campagne, il est entendu des langages politico-politiciens dénonçant fraudes et autres ou stratégie en cours ou du rififi au sein d'un parti ou d'un autre, mais qui restent muets sur le rôle des APW et des APC pour les citoyens. Toujours sur ce sujet on ne sait même pas comment comptent agir les partis qui ne sont pas présents à l'APN après l'avoir boudé aux législatives et qui, pour ces locales, ont décidé de sortir de leur mutisme politique pour s'exprimer pour cette joute électorale. Donc, quand on tient compte de la nouvelle configuration du code communal l'on se pose la question sur le poids de ces partis pour faire changer les choses au niveau des communes et de l'engouement suscité auprès du lectorat. A bon entendeur salut ! LIa campagne, pour le double scrutin du 29 novembre, est bel et bien partie. En jeu pour ce scrutin le renouvellement des membres des Assemblées populaires communales (1.541 APC) et des 48 Assemblées populaires de wilayas (APW). Selon les chiffres avancés par l'APS, sont en lice 52 partis politiques et des candidats indépendants. En tout et pour tout 8.383 listes ont été déposées par les 52 partis en lice et 179 par les indépendants pour les APC. Du côté des APW les listes sont aussi nombreuses. Elles se comptent par centaines : les partis ont en effet déposé 615 et les indépendants 9. Selon la même source, le 31 mars dernier, 20.673.818 personnes ont été inscrites sur ces listes électorales dont 520.128 nouvellement inscrits. A ces chiffres s'ajoutent les radiés de ces listes dont le chiffre a atteint 230.107 à la même date. La première lecture qu'on est à même de faire est l'importance des nouveaux locataires respectifs des APW et des APC et donc par ricochet de leurs couleurs politiques. De la sorte et pour ce scrutin est attendu du nouvel élu un travail stratégique, certes, avec toutefois un préalable précieux. A savoir le travail de proximité avec le citoyen. Or pour le début de cette campagne rien n'a été déclaré dans ce sens si ce n'est des propos ou des faits déjà mis en route par l'équipe de Sellal, à l'instar de la propreté des villes qui est un projet instruit par le premier magistrat et donc mis en branle par le département de Benyounes. Pour le reste, aucun son de cloche n'est claironné pour améliorer le quotidien du citoyen : il en va de la stratification par âge de la population (pour une meilleure prise en charge du citoyen notamment en matière de services) aux patrimoines et potentialités de la localité pour une meilleure rentabilité d'une part, et d'autre part une bonne réhabilitation du service public et une identification des autres services manquants et pouvant être comblés par le service privé via les petites et moyennes entreprises pourvoyeuses d'emplois. Donc et pour ce début de campagne, il est entendu des langages politico-politiciens dénonçant fraudes et autres ou stratégie en cours ou du rififi au sein d'un parti ou d'un autre, mais qui restent muets sur le rôle des APW et des APC pour les citoyens. Toujours sur ce sujet on ne sait même pas comment comptent agir les partis qui ne sont pas présents à l'APN après l'avoir boudé aux législatives et qui, pour ces locales, ont décidé de sortir de leur mutisme politique pour s'exprimer pour cette joute électorale. Donc, quand on tient compte de la nouvelle configuration du code communal l'on se pose la question sur le poids de ces partis pour faire changer les choses au niveau des communes et de l'engouement suscité auprès du lectorat. A bon entendeur salut !