Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a donné lundi à Médéa, le coup d'envoi des travaux de modernisation du tronçon routier "Chiffa-Berrouaghia ", en présence des ambassadeurs de la République populaire de Chine et du Canada. M. Ghoul a qualifié ce projet autoroutier de "défi technique majeur" que l'Etat algérien compte concrétiser et qui s'ajoute aux autres acquis réalisés sur le plan de l'infrastructure routière. "En dépit de sa complexité, ce projet titanesque sera mené à terme, grâce à la conjugaison des efforts de l'ensemble des parties impliquées dans sa réalisation", a précisé le ministre . Le projet de modernisation de ce tronçon de la route nationale numéro 1, sur un linéaire de 53 km, "va apporter une plus-value, aussi bien économique et environnementale que touristique pour la région, outre son impact sur la circulation automobile entre les régions du nord et du sud du pays", a encore indiqué M. Goul. Le tronçon autoroutier "Chiffa-Berrouaghia", constitue le segment le plus complexe de ce projet, qui s'étendra jusqu'à la wilaya de Ghardaïa, soit un linéaire de plus de 500 km. Outre la jonction entre les grandes agglomérations urbaines situées sur l'axe de la route nationale numéro 1, la nouvelle voie express qui sera réalisée permettra de relier, dans un futur proche, les nouvelles villes de Boughezoul (Médéa) et El-Menaa (Ghardaia). Des extensions de ce projets sont également programmées, pour les prochaines années, et devant s'étendre jusqu'aux frontières sud du pays, a ajouté le ministre. La réalisation de ce projet est confiée au groupement d'entreprises mixtes sino-algérien, représenté en l'occurrence par l'entreprise chinoise CSCEC et l'ENGOA et la Sapta, pour la partie algérienne. Le délai contractuel de ce projet est fixé à 36 mois. Un autre groupement mixte, algéro-canadien, constitué des entreprises Saeti, LTCP et SNC Lavalin, a été désigné pour assurer le contrôle et le suivi technique de ce chantier. Des travaux "titanesques", seront réalisés le long de cette section de la Route nationale numéro 1. Outre la réalisation de deux nouvelles voies express, entre la Chiffa et Berrouaghia, il est prévu la construction de six tunnels, à double voie, trente-cinq viaducs, onze échangeurs et une quinzaine d'ouvrages d'art. L'autoroute Chiffa-Berrouaghia sera réalisée en parallèle à l'ancien tracé, en vue d'éviter toute perturbation dans le trafic routier sur cet axe stratégique, et passera au milieu d'un relief très accidenté, d'où le "défi technique" souligné par le ministre des Travaux publics, lors du lancement de ces travaux. Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a donné lundi à Médéa, le coup d'envoi des travaux de modernisation du tronçon routier "Chiffa-Berrouaghia ", en présence des ambassadeurs de la République populaire de Chine et du Canada. M. Ghoul a qualifié ce projet autoroutier de "défi technique majeur" que l'Etat algérien compte concrétiser et qui s'ajoute aux autres acquis réalisés sur le plan de l'infrastructure routière. "En dépit de sa complexité, ce projet titanesque sera mené à terme, grâce à la conjugaison des efforts de l'ensemble des parties impliquées dans sa réalisation", a précisé le ministre . Le projet de modernisation de ce tronçon de la route nationale numéro 1, sur un linéaire de 53 km, "va apporter une plus-value, aussi bien économique et environnementale que touristique pour la région, outre son impact sur la circulation automobile entre les régions du nord et du sud du pays", a encore indiqué M. Goul. Le tronçon autoroutier "Chiffa-Berrouaghia", constitue le segment le plus complexe de ce projet, qui s'étendra jusqu'à la wilaya de Ghardaïa, soit un linéaire de plus de 500 km. Outre la jonction entre les grandes agglomérations urbaines situées sur l'axe de la route nationale numéro 1, la nouvelle voie express qui sera réalisée permettra de relier, dans un futur proche, les nouvelles villes de Boughezoul (Médéa) et El-Menaa (Ghardaia). Des extensions de ce projets sont également programmées, pour les prochaines années, et devant s'étendre jusqu'aux frontières sud du pays, a ajouté le ministre. La réalisation de ce projet est confiée au groupement d'entreprises mixtes sino-algérien, représenté en l'occurrence par l'entreprise chinoise CSCEC et l'ENGOA et la Sapta, pour la partie algérienne. Le délai contractuel de ce projet est fixé à 36 mois. Un autre groupement mixte, algéro-canadien, constitué des entreprises Saeti, LTCP et SNC Lavalin, a été désigné pour assurer le contrôle et le suivi technique de ce chantier. Des travaux "titanesques", seront réalisés le long de cette section de la Route nationale numéro 1. Outre la réalisation de deux nouvelles voies express, entre la Chiffa et Berrouaghia, il est prévu la construction de six tunnels, à double voie, trente-cinq viaducs, onze échangeurs et une quinzaine d'ouvrages d'art. L'autoroute Chiffa-Berrouaghia sera réalisée en parallèle à l'ancien tracé, en vue d'éviter toute perturbation dans le trafic routier sur cet axe stratégique, et passera au milieu d'un relief très accidenté, d'où le "défi technique" souligné par le ministre des Travaux publics, lors du lancement de ces travaux.