Le discours politique des animateurs de la campagne électorale reste marqué par les généralités. Le discours politique des animateurs de la campagne électorale reste marqué par les généralités. Hormis les ténors, la majorité des partis en lice, n'arrive pas à dresser un état des lieux de la municipalité à laquelle ils rendent visite. Faute peut-être d'ancrage, ils préfèrent proposer une alternative à l'échelle nationale alors qu'ils ont une audience qui dépasse à peine le quartier où est implanté le siège national de leur formation. Hier, à partir d'Oum El-Bouaghi, le premier secrétaire du FFS, Ali Laskri, a appelé les autorités à "la mise en place des financements nécessaires devant permettre de répondre aux besoins de la population dans un cadre transparent". Animant un meeting à la maison de la culture Nouar- Boubaker, Ali Laskri a demandé aux candidats locaux du FFS de "faire pression" sur l'administration, seul moyen à ses yeux de mener à leurs termes "des projets structurants" dans toutes les communes. Le responsable du FFS devait déplorer du reste le caractère "colossal" des programmes sectoriels alors que les PCD (Programmes communaux développement) sont "dérisoires". Laskri a dénoncé en outre la "gestion catastrophique du pays" en estimant que le projet de l'autoroute Est-Ouest et le terrain du stade 5-Juillet (Alger), sont des "symboles d'une gestion chaotique". Le responsable du FFS a recommandé aux citoyens d'être "prudents et vigilants pour dissuader toutes tentatives d'intimidation ou de fraude". De son côté, à partir de Constantine, le SG du RND, Ahmed Ouyahia, a exhorté samedi, ses futurs élus à "respecter le citoyen, bien l'accueillir, lui dire la vérité sur tout et l'écouter". Ouyahia s'exprimait ainsi lors d'un meeting au palais de la culture Malek-Haddad. Pour l'ancien Premier ministre "la situation économique du pays est prometteuse". Et de souligner que "le devoir de l'élu d'encourager le développement d'autres sources de richesses autres que les hydrocarbures et d'axer davantage ses effort sur la maintenance, la gestion rationnelle et la préservation des nombreuses réalisations locales au cours des cinquante années d'indépendance". La veille (vendredi), le SG du RND, mettait en exergue depuis Merouana (Batna) le rôle joué par l'Etat dans le développement du pays. "L'Etat a mis en place a-t-il indiqué les lois, a accordé des facilités à l'investissement et a mobilisé des montants considérables pour le développement global de toutes les régions du pays". Ceci, le président du Rassemblement patriotique républicain (RPR), Abdelkader Merbah, a plaidé vendredi depuis Aïn Temouchent pour un nouveau découpage administratif. Merbah veut une "Algérie décentralisée, politiquement et économiquement, afin qu'elle puisse réellement se développer". Le président du RPR a appelé en outre à la libéralisation du secteur agricole et à la promotion du secteur touristique. Le même jour, depuis Mila, le coordinateur général du Parti des jeunes (PJ), Hamana Boucherma, invitait, lors d'une tournée de proximité, les citoyens à "œuvrer pour l'amélioration de la gestion des communes et des wilayas au lieu de parler de changer de régime". Selon lui, le PJ est présent dans 96 communes et 10 wilayas et présente des "candidats jeunes aux mains propres". C'est sous la casquette de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) que Bouguerra Soltani, Fateh Rebiai, Hamlaoui Akkouchi, respectivement, président du MSP, SG d'Ennahda et SG d'El Islah, se sont présentés, en ce début de week-end à Constantine. Lors d'un meeting populaire organisé au palais de la culture Malek-Haddad, les trois leaders ont appelé les électeurs à se rendre massivement aux urnes. L'AAV promet en cas de victoire de "réhabiliter la ville de Constantine et de travailler à la restitution de ses valeurs et de son rayonnement culturel et scientifique". Quant au Parti socialiste des travailleurs (PST), son SG, Mahmoud Rachedi, était ce vendredi à Mostaganem où il a animé un meeting populaire. Rachedi a plaidé pour "une économie nationale forte soutenant l'industrialisation" ainsi que pour la "réouverture des entreprises fermées au niveau local pour créer des emplois et combattre le chômage". De son côté le président du parti d'El Fadjr El Djadid, Tahar Benbaïbeche, qui se trouvait à Souk Naâmane (Oum El-Bouaghi), a soutenu que le prochain scrutin "sera plutôt une opportunité pour reconstruire les institutions de base de l'Etat que sont les assemblées locales, par le biais desquelles le peuple exerce sa souveraineté". Pour Benbaïbeche, l'abstention "offrira une occasion à tous ceux qui se nourrissent du sang des Algériens". Quant au SG du Mouvement de l'Entente nationale (MEN), Ali Boukhezna, il a promis lors d'un meeting qu'il a animé à la maison de la culture Moufdi-Zakaria à Ouargla, "la création de l'e-commune et la prise en charge des attentes des jeunes en matière de santé et d'emploi". Et Boukhezna d'ajouter "le succès du prochain scrutin constituera aussi une gifle à tous ceux qui pensent que l'Algérie demeurera prisonnière de sa situation actuelle". De son côté, le SG du parti Ennour El Djazaïri, Badreddine Belbaz, a lors d'un meeting qu'il a animé à la salle de cinéma El Afrah à M'sila, promis, si les candidats de son parti, venaient à être élus, de "recourir à la concertation avec les comités de quartiers, les associations, et les notables locaux ". Ennour El Djazaïri s'engage à faire "appel aux compétences avérées, pour servir l'intérêt général". En outre Badreddine Belbaz saluera l'action du président Bouteflika, pour "tout ce qu'il a fait pour le pays" tout en l'exhortant à "investir davantage dans les jeunes". Ceci, c'est dans la wilaya de Tizi-Ouzou que le SG du parti du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a passé sa journée de vendredi. S'exprimant lors d'une rencontre avec les citoyens massés devant la permanence électorale du FLN, au centre-ville de Draâ Ben-Khedda, Belkhadem, a appelé ses militants à "bien écouter les doléances de la population, et surtout de se faire un devoir de s'en souvenir au lendemain des élections, afin de leur donner une suite concrète". Hormis les ténors, la majorité des partis en lice, n'arrive pas à dresser un état des lieux de la municipalité à laquelle ils rendent visite. Faute peut-être d'ancrage, ils préfèrent proposer une alternative à l'échelle nationale alors qu'ils ont une audience qui dépasse à peine le quartier où est implanté le siège national de leur formation. Hier, à partir d'Oum El-Bouaghi, le premier secrétaire du FFS, Ali Laskri, a appelé les autorités à "la mise en place des financements nécessaires devant permettre de répondre aux besoins de la population dans un cadre transparent". Animant un meeting à la maison de la culture Nouar- Boubaker, Ali Laskri a demandé aux candidats locaux du FFS de "faire pression" sur l'administration, seul moyen à ses yeux de mener à leurs termes "des projets structurants" dans toutes les communes. Le responsable du FFS devait déplorer du reste le caractère "colossal" des programmes sectoriels alors que les PCD (Programmes communaux développement) sont "dérisoires". Laskri a dénoncé en outre la "gestion catastrophique du pays" en estimant que le projet de l'autoroute Est-Ouest et le terrain du stade 5-Juillet (Alger), sont des "symboles d'une gestion chaotique". Le responsable du FFS a recommandé aux citoyens d'être "prudents et vigilants pour dissuader toutes tentatives d'intimidation ou de fraude". De son côté, à partir de Constantine, le SG du RND, Ahmed Ouyahia, a exhorté samedi, ses futurs élus à "respecter le citoyen, bien l'accueillir, lui dire la vérité sur tout et l'écouter". Ouyahia s'exprimait ainsi lors d'un meeting au palais de la culture Malek-Haddad. Pour l'ancien Premier ministre "la situation économique du pays est prometteuse". Et de souligner que "le devoir de l'élu d'encourager le développement d'autres sources de richesses autres que les hydrocarbures et d'axer davantage ses effort sur la maintenance, la gestion rationnelle et la préservation des nombreuses réalisations locales au cours des cinquante années d'indépendance". La veille (vendredi), le SG du RND, mettait en exergue depuis Merouana (Batna) le rôle joué par l'Etat dans le développement du pays. "L'Etat a mis en place a-t-il indiqué les lois, a accordé des facilités à l'investissement et a mobilisé des montants considérables pour le développement global de toutes les régions du pays". Ceci, le président du Rassemblement patriotique républicain (RPR), Abdelkader Merbah, a plaidé vendredi depuis Aïn Temouchent pour un nouveau découpage administratif. Merbah veut une "Algérie décentralisée, politiquement et économiquement, afin qu'elle puisse réellement se développer". Le président du RPR a appelé en outre à la libéralisation du secteur agricole et à la promotion du secteur touristique. Le même jour, depuis Mila, le coordinateur général du Parti des jeunes (PJ), Hamana Boucherma, invitait, lors d'une tournée de proximité, les citoyens à "œuvrer pour l'amélioration de la gestion des communes et des wilayas au lieu de parler de changer de régime". Selon lui, le PJ est présent dans 96 communes et 10 wilayas et présente des "candidats jeunes aux mains propres". C'est sous la casquette de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) que Bouguerra Soltani, Fateh Rebiai, Hamlaoui Akkouchi, respectivement, président du MSP, SG d'Ennahda et SG d'El Islah, se sont présentés, en ce début de week-end à Constantine. Lors d'un meeting populaire organisé au palais de la culture Malek-Haddad, les trois leaders ont appelé les électeurs à se rendre massivement aux urnes. L'AAV promet en cas de victoire de "réhabiliter la ville de Constantine et de travailler à la restitution de ses valeurs et de son rayonnement culturel et scientifique". Quant au Parti socialiste des travailleurs (PST), son SG, Mahmoud Rachedi, était ce vendredi à Mostaganem où il a animé un meeting populaire. Rachedi a plaidé pour "une économie nationale forte soutenant l'industrialisation" ainsi que pour la "réouverture des entreprises fermées au niveau local pour créer des emplois et combattre le chômage". De son côté le président du parti d'El Fadjr El Djadid, Tahar Benbaïbeche, qui se trouvait à Souk Naâmane (Oum El-Bouaghi), a soutenu que le prochain scrutin "sera plutôt une opportunité pour reconstruire les institutions de base de l'Etat que sont les assemblées locales, par le biais desquelles le peuple exerce sa souveraineté". Pour Benbaïbeche, l'abstention "offrira une occasion à tous ceux qui se nourrissent du sang des Algériens". Quant au SG du Mouvement de l'Entente nationale (MEN), Ali Boukhezna, il a promis lors d'un meeting qu'il a animé à la maison de la culture Moufdi-Zakaria à Ouargla, "la création de l'e-commune et la prise en charge des attentes des jeunes en matière de santé et d'emploi". Et Boukhezna d'ajouter "le succès du prochain scrutin constituera aussi une gifle à tous ceux qui pensent que l'Algérie demeurera prisonnière de sa situation actuelle". De son côté, le SG du parti Ennour El Djazaïri, Badreddine Belbaz, a lors d'un meeting qu'il a animé à la salle de cinéma El Afrah à M'sila, promis, si les candidats de son parti, venaient à être élus, de "recourir à la concertation avec les comités de quartiers, les associations, et les notables locaux ". Ennour El Djazaïri s'engage à faire "appel aux compétences avérées, pour servir l'intérêt général". En outre Badreddine Belbaz saluera l'action du président Bouteflika, pour "tout ce qu'il a fait pour le pays" tout en l'exhortant à "investir davantage dans les jeunes". Ceci, c'est dans la wilaya de Tizi-Ouzou que le SG du parti du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a passé sa journée de vendredi. S'exprimant lors d'une rencontre avec les citoyens massés devant la permanence électorale du FLN, au centre-ville de Draâ Ben-Khedda, Belkhadem, a appelé ses militants à "bien écouter les doléances de la population, et surtout de se faire un devoir de s'en souvenir au lendemain des élections, afin de leur donner une suite concrète".