L'immigration clandestine et le trafic de drogue, voilà deux volets importants auxquels le Maroc tente de faire pression sur l'Algérie afin qu'Alger finisse par ouvrir ses frontières terrestres fermées depuis l'année 1994. Manipulation marocaine devant nos frontières. L'immigration clandestine et le trafic de drogue, voilà deux volets importants auxquels le Maroc tente de faire pression sur l'Algérie afin qu'Alger finisse par ouvrir ses frontières terrestres fermées depuis l'année 1994. Manipulation marocaine devant nos frontières. Mille immigrants marocains ont été interceptés aux frontières Ouest et Sud-Ouest par les services de sécurité depuis le début de l‘année en cours. Plus de 110 tonnes de kif traités ont été saisies durant la même période. Voilà ce que le Maroc nous «offre» en contrepartie de la politique algérienne. Une pression sur Alger pas plus que ça. Les autorités marocaines se disent prêtes à collaborer avec leurs homologues algériens, mais en réalité ce ne sont là que des discours faits pour êtres consommés ailleurs. Avec sa politique malsaine, double-tranchante si nous osons le dire, le Maroc est en train d‘enfoncer ses relations avec son voisin algérien. En encourageant ses compatriotes à se rendre en masse vers l‘Algérie, le Royaume chérifien tente, de cette manière, d‘exercer des pressions sur Alger. Les chiffres sont alarmants. Depuis le début de l‘année en cours nous y sommes déjà à plus de 1.000 Marocains ayant foulé les pieds sur le sol algérien, cela d‘une manière illégale. Ces Marocains, tous des jeunes, mais parfois en famille, arrivent à regagner le territoire algérien via les frontières Ouest et Sud-Ouest du pays, à la recherche d‘une terre salutaire, surtout que les conditions sociales ne sont pas clémentes au Maroc. La preuve est reflétée par les communiqués quotidiens des services de sécurité (Gendarmerie et Police), où on indique, à chaque fois, l‘arrestation d‘immigrants clandestins marocains dans plusieurs villes algériennes. Rien qu‘au mois de novembre en cours, nous sommes déjà à plus de 50 immigrants marocains interceptés en Algérie. Ces derniers souvent des maçons, agriculteurs et sculpteurs de métiers, choisissent de tenter l‘aventure en Algérie. Ils arrivent à passer les frontières algériennes avant de se rendre dans les villes de l‘ouest du pays, et cela dans des taxis, bus et trains. Leur seul souci c‘est d‘avoir de l‘argent, par n‘importe quel moyen et au détriment de leur famille. Mais une fois en Algérie, ces immigrants marocains arrivent à trouver un «job» à raison d‘une moyenne de 2.000 DA par jour, nous expliquent différentes sources sécuritaires ayant déjà traité plusieurs affaires en liaison avec le fléau de l‘immigration clandestine en Algérie. D‘après ces mêmes sources, les immigrants marocains établissent, auparavant, des contacts avec leurs compatriotes, déjà présents et installés en Algérie. Grâce à ces contacts, les nouveaux débarqués marocains arrivent, très facilement, à trouver une emploi, même dans n‘importe quelle ville algérienne. Les employeurs sont souvent des particuliers ayant besoin d‘un très bon maçon pour rénover leur domicile ou carrément pour bâtir leurs nouvelles maisons. Human Rights Watch critique le Maroc Dans un rapport récent publié par Human Rights Watch, le Maroc est sévèrement critiqué pour sa politique d‘immigration clandestine, après que les autorités marocaines aient procédé et continuent toujours à le faire, aux refoulements massifs et injustes des migrants africains hors de ses frontières. En effet, les autorités marocaines ont trouvé, durant ces deux dernières années, une autre pression pour taquiner l‘Algérie. Cette pression consiste en le refoulement massif d‘immigrants clandestins africains vers les frontières algériennes et du coup ce sont les autorités algériennes qui prennent en charge le rapatriement des milliers d‘Africains vers les frontières du Sud ou vers leur pays d‘origine. Une prise en charge qui coûte trop cher financièrement pour Alger. Ce comportement injuste et cette politique de fuite en avant d‘un pays voisin reflète bien les enjeux de tels agissements. En plus de cette situation, le Maroc continue sa sale politique d‘introduction massive de drogue en l‘Algérie. Les chiffres parlent d‘eux-mêmes. Nous sommes déjà à plus de 110 tonnes de kif saisies au cours des dix mois passés. Des tonnes de résine de cannabis qui, si par malheur, avaient réussi de débarquer vers les villes algériennes, auraient causé une véritable catastrophe pour la société algérienne, surtout pour sa jeunesse. Fort heureusement la vigilance des services de sécurité (Gendarmerie nationale, Douanes et Police) était présente tout au long des dix mois passés. Voilà ce que le Maroc est en train de manigancer aux frontières algériennes, cela pour se venger de la position de l‘Algérie sur le conflit mettant en prise le Maroc et le Front Polisario. En abritant le peuple sahraoui dans les camps de réfugiés à Tindouf, l‘Algérie est doublement ciblée par les autorités marocaines. Un Maroc qui se dit prêt à coopérer avec l‘Algérie dans le cadre de la lutte contre l‘immigration clandestine, la lutte anti-terroriste et la lutte anti-stups, mais derrière la vitrine, il se cache un Maroc veninimeux, haineux à l‘égard l‘Algérie. Le 3 novembre 2012 à Tlemcen 9 Marocains arrêtés dans un taxi interwilayas Lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, dans la circonscription communale de Hennaya, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé neuf immigrants clandestins marocains, voyageant à bord d'un véhicule taxi de Maghnia vers Sidi Bel-Abbès. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade locale pour enquête. Le 6 novembre 2012 à Maghnia 5 Marocains interceptés dans un taxi Lors d'un service de police de la route sur la RN35, reliant Remchi à Maghnia, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé cinq immigrants clandestins marocains voyageant à bord d'un véhicule taxi de Maghnia vers Oran. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Remchi pour enquête. Le 9 novembre 2012 à Maghnia 5 immigrants marocains interceptés dans un bus Par ailleurs, lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-Ouest, dans la circonscription communale de Hennaya, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé, avant-hier, cinq immigrants clandestins marocains, voyageant de Maghnia vers Sidi Bel-Abbès, à bord de deux véhicules. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade d'Aïn Youcef pour enquête. Le 10 novembre 2012 à Sidi Bel-Abbès 8 clandestins marocains en route pour Alger arrêtés A Sidi Bel-Abbés, les gendarmes de la section de sécurité routière en service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, ont interpellé huit immigrants clandestins marocains, voyageant de Maghnia vers Alger, à bord de deux véhicules de marques Chevrolet Aveo et Alto. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Sidi-Ali Boussidi pour enquête. Le 11 novembre 2012 à Ain Temouchent 7 marocains interpellés dans un taxi Durant la journée du 11 novembre passé, les gendarmes de la brigade de sécurité routière de Remchi, en service de police de la route sur la RN22, reliant Tlemcen à Aïn Temouchent, ont interpellé sept immigrants clandestins marocains à bord de deux véhicules taxis se dirigeant de Tlemcen vers Oran. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Remchi pour enquête. Le 12 novembre 2012 à Sidi Bel Abbès Cinq autres clandestins marocains arrêtés Lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, dans la circonscription communale de Sidi Ali Boussidi, les gendarmes de la section de sécurité routière de Sidi Ali Boussidi ont interpellé cinq immigrants clandestins marocains à bord de deux voitures conduites par deux citoyens, se dirigeant de Tlemcen vers Oran. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Sidi Ali Boussidi pour enquête. Le 13 novembre 2012 à Tlemcen 5 Marocains interceptés à bord de deux véhicules Lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, dans la circonscription communale de Hennaya, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé cinq immigrants clandestins marocains et deux citoyens, se dirigeant de Maghnia vers Chlef à bord de deux véhicules. Ils ont été remis à la brigade de Gendarmerie nationale de Hennaya pour enquête. Mille immigrants marocains ont été interceptés aux frontières Ouest et Sud-Ouest par les services de sécurité depuis le début de l‘année en cours. Plus de 110 tonnes de kif traités ont été saisies durant la même période. Voilà ce que le Maroc nous «offre» en contrepartie de la politique algérienne. Une pression sur Alger pas plus que ça. Les autorités marocaines se disent prêtes à collaborer avec leurs homologues algériens, mais en réalité ce ne sont là que des discours faits pour êtres consommés ailleurs. Avec sa politique malsaine, double-tranchante si nous osons le dire, le Maroc est en train d‘enfoncer ses relations avec son voisin algérien. En encourageant ses compatriotes à se rendre en masse vers l‘Algérie, le Royaume chérifien tente, de cette manière, d‘exercer des pressions sur Alger. Les chiffres sont alarmants. Depuis le début de l‘année en cours nous y sommes déjà à plus de 1.000 Marocains ayant foulé les pieds sur le sol algérien, cela d‘une manière illégale. Ces Marocains, tous des jeunes, mais parfois en famille, arrivent à regagner le territoire algérien via les frontières Ouest et Sud-Ouest du pays, à la recherche d‘une terre salutaire, surtout que les conditions sociales ne sont pas clémentes au Maroc. La preuve est reflétée par les communiqués quotidiens des services de sécurité (Gendarmerie et Police), où on indique, à chaque fois, l‘arrestation d‘immigrants clandestins marocains dans plusieurs villes algériennes. Rien qu‘au mois de novembre en cours, nous sommes déjà à plus de 50 immigrants marocains interceptés en Algérie. Ces derniers souvent des maçons, agriculteurs et sculpteurs de métiers, choisissent de tenter l‘aventure en Algérie. Ils arrivent à passer les frontières algériennes avant de se rendre dans les villes de l‘ouest du pays, et cela dans des taxis, bus et trains. Leur seul souci c‘est d‘avoir de l‘argent, par n‘importe quel moyen et au détriment de leur famille. Mais une fois en Algérie, ces immigrants marocains arrivent à trouver un «job» à raison d‘une moyenne de 2.000 DA par jour, nous expliquent différentes sources sécuritaires ayant déjà traité plusieurs affaires en liaison avec le fléau de l‘immigration clandestine en Algérie. D‘après ces mêmes sources, les immigrants marocains établissent, auparavant, des contacts avec leurs compatriotes, déjà présents et installés en Algérie. Grâce à ces contacts, les nouveaux débarqués marocains arrivent, très facilement, à trouver une emploi, même dans n‘importe quelle ville algérienne. Les employeurs sont souvent des particuliers ayant besoin d‘un très bon maçon pour rénover leur domicile ou carrément pour bâtir leurs nouvelles maisons. Human Rights Watch critique le Maroc Dans un rapport récent publié par Human Rights Watch, le Maroc est sévèrement critiqué pour sa politique d‘immigration clandestine, après que les autorités marocaines aient procédé et continuent toujours à le faire, aux refoulements massifs et injustes des migrants africains hors de ses frontières. En effet, les autorités marocaines ont trouvé, durant ces deux dernières années, une autre pression pour taquiner l‘Algérie. Cette pression consiste en le refoulement massif d‘immigrants clandestins africains vers les frontières algériennes et du coup ce sont les autorités algériennes qui prennent en charge le rapatriement des milliers d‘Africains vers les frontières du Sud ou vers leur pays d‘origine. Une prise en charge qui coûte trop cher financièrement pour Alger. Ce comportement injuste et cette politique de fuite en avant d‘un pays voisin reflète bien les enjeux de tels agissements. En plus de cette situation, le Maroc continue sa sale politique d‘introduction massive de drogue en l‘Algérie. Les chiffres parlent d‘eux-mêmes. Nous sommes déjà à plus de 110 tonnes de kif saisies au cours des dix mois passés. Des tonnes de résine de cannabis qui, si par malheur, avaient réussi de débarquer vers les villes algériennes, auraient causé une véritable catastrophe pour la société algérienne, surtout pour sa jeunesse. Fort heureusement la vigilance des services de sécurité (Gendarmerie nationale, Douanes et Police) était présente tout au long des dix mois passés. Voilà ce que le Maroc est en train de manigancer aux frontières algériennes, cela pour se venger de la position de l‘Algérie sur le conflit mettant en prise le Maroc et le Front Polisario. En abritant le peuple sahraoui dans les camps de réfugiés à Tindouf, l‘Algérie est doublement ciblée par les autorités marocaines. Un Maroc qui se dit prêt à coopérer avec l‘Algérie dans le cadre de la lutte contre l‘immigration clandestine, la lutte anti-terroriste et la lutte anti-stups, mais derrière la vitrine, il se cache un Maroc veninimeux, haineux à l‘égard l‘Algérie. Le 3 novembre 2012 à Tlemcen 9 Marocains arrêtés dans un taxi interwilayas Lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, dans la circonscription communale de Hennaya, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé neuf immigrants clandestins marocains, voyageant à bord d'un véhicule taxi de Maghnia vers Sidi Bel-Abbès. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade locale pour enquête. Le 6 novembre 2012 à Maghnia 5 Marocains interceptés dans un taxi Lors d'un service de police de la route sur la RN35, reliant Remchi à Maghnia, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé cinq immigrants clandestins marocains voyageant à bord d'un véhicule taxi de Maghnia vers Oran. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Remchi pour enquête. Le 9 novembre 2012 à Maghnia 5 immigrants marocains interceptés dans un bus Par ailleurs, lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-Ouest, dans la circonscription communale de Hennaya, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé, avant-hier, cinq immigrants clandestins marocains, voyageant de Maghnia vers Sidi Bel-Abbès, à bord de deux véhicules. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade d'Aïn Youcef pour enquête. Le 10 novembre 2012 à Sidi Bel-Abbès 8 clandestins marocains en route pour Alger arrêtés A Sidi Bel-Abbés, les gendarmes de la section de sécurité routière en service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, ont interpellé huit immigrants clandestins marocains, voyageant de Maghnia vers Alger, à bord de deux véhicules de marques Chevrolet Aveo et Alto. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Sidi-Ali Boussidi pour enquête. Le 11 novembre 2012 à Ain Temouchent 7 marocains interpellés dans un taxi Durant la journée du 11 novembre passé, les gendarmes de la brigade de sécurité routière de Remchi, en service de police de la route sur la RN22, reliant Tlemcen à Aïn Temouchent, ont interpellé sept immigrants clandestins marocains à bord de deux véhicules taxis se dirigeant de Tlemcen vers Oran. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Remchi pour enquête. Le 12 novembre 2012 à Sidi Bel Abbès Cinq autres clandestins marocains arrêtés Lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, dans la circonscription communale de Sidi Ali Boussidi, les gendarmes de la section de sécurité routière de Sidi Ali Boussidi ont interpellé cinq immigrants clandestins marocains à bord de deux voitures conduites par deux citoyens, se dirigeant de Tlemcen vers Oran. Ils ont été remis aux gendarmes de la brigade de Sidi Ali Boussidi pour enquête. Le 13 novembre 2012 à Tlemcen 5 Marocains interceptés à bord de deux véhicules Lors d'un service de police de la route sur le tronçon de l'autoroute Est-ouest, dans la circonscription communale de Hennaya, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière de Tlemcen ont interpellé cinq immigrants clandestins marocains et deux citoyens, se dirigeant de Maghnia vers Chlef à bord de deux véhicules. Ils ont été remis à la brigade de Gendarmerie nationale de Hennaya pour enquête.