La campagne électorale pour les locales du 29 novembre prochain amorce sa dernière semaine. Les partis les plus habiles évitent les promesses et préfèrent mettre à l'index la mauvaise gestion, la corruption et le défaut de démocratie qui caractérise les relations entre l'administration et ses administrés. La campagne électorale pour les locales du 29 novembre prochain amorce sa dernière semaine. Les partis les plus habiles évitent les promesses et préfèrent mettre à l'index la mauvaise gestion, la corruption et le défaut de démocratie qui caractérise les relations entre l'administration et ses administrés. A partir de Bordj Bou-Arreridj où elle animait un meeting électoral, la SG du Parti des travailleurs (PT ), Louisa Hanoune, a dénoncé mardi « les affairistes qui ne veulent qu'une chose, s'enrichir encore sur le dos du peuple ». «Ces gens, a-t-elle martelé, n'ont rien à voir avec la gestion ». Et Hanoune de soutenir que « les candidats de son parti sont des militants de base, choisis selon des critères de probité ». Pour elle le PT est « la première force vive du pays malgré les entraves de l'administration ». Pour sa part, le SG du mouvement El Islah, Hamlaoui Akkouchi, qui animait mardi un meeting à Annaba, pour le compte de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV), s'en est pris au pouvoir lui reprochant d'avoir « échoué dans la bonne conduite des affaires du peuple depuis 50 ans ». Le leader islamiste s'est dit du reste « militer pour mettre le pays à l'abri des fléaux de la corruption et de la gabegie ». Selon lui « la marginalisation des jeunes a généré aujourd'hui l'insécurité et la violence dans toutes les villes du pays ». Abordant la question palestinienne, Akkouchi estime que la position de l'Algérie vis-à-vis de la dernière agression israélienne, est « insuffisante ». Il a souhaité voir l'Algérie aider la Palestine d'une manière « plus prononcée ». Quant au premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS) son premier secrétaire, Ali Laskri, a estimé à partir d'Aïn Defla où il animait un meeting électoral que « la bonne gouvernance et le développement ne peuvent être réalisés si le changement escompté n'est pas concrétisé ». Selon Laskri, les « carences sont légion ». Il a illustré ses propos en évoquant les conditions qui ont prévalu au lendemain des dernières intempéries qui s'étaient abattues sur le pays. « Il aura suffi, a-t-il dit, de quelques gouttes de pluie pour que la chaussée devienne impraticable et que les responsables affichent leur impuissance à assurer la fluidité de la circulation ». Et l'orateur d'ajouter « la manne financière dont dispose l'Etat doit être utilisée dans des investissements et des projets susceptibles de créer des postes d'emploi et, par ricochet, diminuer l'étendue du chômage ». Quant au SG du FLN, Abdelaziz Belkhadem, il s'est essayé mardi à une visite de proximité au niveau des communes d'El Harrach, de Baraki, des Eucalyptus, d'Aïn Taya et de Rouiba. Pour Belkhadem « investir le FLN de sa confiance, c'est garantir paix et stabilité au pays ». Il a soutenu que les Assemblées populaires communales sont la base et la pierre angulaire des institutions de l'Etat. De son côté, le SG du Rassemblement national démocratiques (RND), Ahmed Ouyahia, a recommandé lors d'un meeting qu'il a animé à Annaba de « renforcer la stabilité et de promouvoir les capacités du pays ». « Les besoins des populations dans les domaines du gaz, de l'électricité, de l'amélioration du cadre de vie, de l'eau potable, de l'assainissement, relèvent de la commune » a rappelé l'ancien Premier ministre non sans soutenir que les nouveaux codes de la commune et de la wilaya renforcent les attributions des élus et les protègent du retrait de confiance infondé. Ceci, dans une sortie à Aïn El-Hammam (Tizi-Ouzou), le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, a exigé de « certains partis » sans les nommer de « cesser de verser dans l'insulte et le dénigrement infondé de compétiteurs politiques ne partageant pas leur vision des choses ». « Il faut dépasser les velléités monopolistes incompatibles avec la pluralité car aucun parti ne pourra prétendre construire l'Algérie tout seul » a-t-il déclaré. Benyounès s'est dit en outre « partisan d'une alternance démocratique qui donne la possibilité de gérer mieux et autrement ». Et le président du MPA de recommander « Votez pour qui bon vous semble, mais faites le pour un changement en mieux et par reconnaissance à ceux qui ont lutté pour préserver le Droit de vote ». Benyounes a estimé en outre que les électeurs sont « les seuls habilités, par le biais de leurs voix, à déterminer le poids politique de chaque parti ». En visite de proximité dans la wilaya de Constantine, le SG du parti Ennour El Djazaïri (PED), Badreddine Belbaz, a carrément promis aux habitants d'Aïn Smara au cas où les candidats de son parti sont élus « de se battre pour une extension du tracé du tramway jusqu'à leur ville ». Pour le chef du PED « la prise en charge des préoccupations quotidiennes du citoyen requiert la contribution de tout un chacun au bien-être collectif ». Ceci, le code communal ne trouve pas grâce aux yeux du président du mouvement El Infitah, Omar Bouâcha, qui effectuait une visite de proximité à El Malah (Ain Temouchent). « En dépit de la révision du code communal, cette autorité ne dispose que de prérogatives minimes qui ne lui permettent pas de résoudre les problèmes des citoyens », a-t-il soutenu. Et Bouâcha de critiquer « l'obligation pour les partis de porter sur leurs listes 30 % de femmes ». Selon lui « la femme ne doit pas être obligée de se porter candidate. Cela doit être un geste volontaire et démocratique de sa part ». Agréée récemment, l'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS) de Noureddine Bahbouh, a effectué une sortie dans la capitale. Animant un meeting dans la commune de Rahmania (est d'Alger), le chef de l'UFDS, a estimé que « la mauvaise gestion et l'absence d'un dialogue démocratique entre citoyens et élus sont à l'origine des problèmes auxquels fait face le citoyen ». Il a appelé l'assistance à choisir des représentants intègres capables de prendre en charge les préoccupations des citoyens. « C'est le seul moyen, a-t-il ajouté pour trouver des solutions aux problèmes de la population notamment le logement, l'emploi et les conditions d'une vie digne. » A partir de Bordj Bou-Arreridj où elle animait un meeting électoral, la SG du Parti des travailleurs (PT ), Louisa Hanoune, a dénoncé mardi « les affairistes qui ne veulent qu'une chose, s'enrichir encore sur le dos du peuple ». «Ces gens, a-t-elle martelé, n'ont rien à voir avec la gestion ». Et Hanoune de soutenir que « les candidats de son parti sont des militants de base, choisis selon des critères de probité ». Pour elle le PT est « la première force vive du pays malgré les entraves de l'administration ». Pour sa part, le SG du mouvement El Islah, Hamlaoui Akkouchi, qui animait mardi un meeting à Annaba, pour le compte de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV), s'en est pris au pouvoir lui reprochant d'avoir « échoué dans la bonne conduite des affaires du peuple depuis 50 ans ». Le leader islamiste s'est dit du reste « militer pour mettre le pays à l'abri des fléaux de la corruption et de la gabegie ». Selon lui « la marginalisation des jeunes a généré aujourd'hui l'insécurité et la violence dans toutes les villes du pays ». Abordant la question palestinienne, Akkouchi estime que la position de l'Algérie vis-à-vis de la dernière agression israélienne, est « insuffisante ». Il a souhaité voir l'Algérie aider la Palestine d'une manière « plus prononcée ». Quant au premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS) son premier secrétaire, Ali Laskri, a estimé à partir d'Aïn Defla où il animait un meeting électoral que « la bonne gouvernance et le développement ne peuvent être réalisés si le changement escompté n'est pas concrétisé ». Selon Laskri, les « carences sont légion ». Il a illustré ses propos en évoquant les conditions qui ont prévalu au lendemain des dernières intempéries qui s'étaient abattues sur le pays. « Il aura suffi, a-t-il dit, de quelques gouttes de pluie pour que la chaussée devienne impraticable et que les responsables affichent leur impuissance à assurer la fluidité de la circulation ». Et l'orateur d'ajouter « la manne financière dont dispose l'Etat doit être utilisée dans des investissements et des projets susceptibles de créer des postes d'emploi et, par ricochet, diminuer l'étendue du chômage ». Quant au SG du FLN, Abdelaziz Belkhadem, il s'est essayé mardi à une visite de proximité au niveau des communes d'El Harrach, de Baraki, des Eucalyptus, d'Aïn Taya et de Rouiba. Pour Belkhadem « investir le FLN de sa confiance, c'est garantir paix et stabilité au pays ». Il a soutenu que les Assemblées populaires communales sont la base et la pierre angulaire des institutions de l'Etat. De son côté, le SG du Rassemblement national démocratiques (RND), Ahmed Ouyahia, a recommandé lors d'un meeting qu'il a animé à Annaba de « renforcer la stabilité et de promouvoir les capacités du pays ». « Les besoins des populations dans les domaines du gaz, de l'électricité, de l'amélioration du cadre de vie, de l'eau potable, de l'assainissement, relèvent de la commune » a rappelé l'ancien Premier ministre non sans soutenir que les nouveaux codes de la commune et de la wilaya renforcent les attributions des élus et les protègent du retrait de confiance infondé. Ceci, dans une sortie à Aïn El-Hammam (Tizi-Ouzou), le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounès, a exigé de « certains partis » sans les nommer de « cesser de verser dans l'insulte et le dénigrement infondé de compétiteurs politiques ne partageant pas leur vision des choses ». « Il faut dépasser les velléités monopolistes incompatibles avec la pluralité car aucun parti ne pourra prétendre construire l'Algérie tout seul » a-t-il déclaré. Benyounès s'est dit en outre « partisan d'une alternance démocratique qui donne la possibilité de gérer mieux et autrement ». Et le président du MPA de recommander « Votez pour qui bon vous semble, mais faites le pour un changement en mieux et par reconnaissance à ceux qui ont lutté pour préserver le Droit de vote ». Benyounes a estimé en outre que les électeurs sont « les seuls habilités, par le biais de leurs voix, à déterminer le poids politique de chaque parti ». En visite de proximité dans la wilaya de Constantine, le SG du parti Ennour El Djazaïri (PED), Badreddine Belbaz, a carrément promis aux habitants d'Aïn Smara au cas où les candidats de son parti sont élus « de se battre pour une extension du tracé du tramway jusqu'à leur ville ». Pour le chef du PED « la prise en charge des préoccupations quotidiennes du citoyen requiert la contribution de tout un chacun au bien-être collectif ». Ceci, le code communal ne trouve pas grâce aux yeux du président du mouvement El Infitah, Omar Bouâcha, qui effectuait une visite de proximité à El Malah (Ain Temouchent). « En dépit de la révision du code communal, cette autorité ne dispose que de prérogatives minimes qui ne lui permettent pas de résoudre les problèmes des citoyens », a-t-il soutenu. Et Bouâcha de critiquer « l'obligation pour les partis de porter sur leurs listes 30 % de femmes ». Selon lui « la femme ne doit pas être obligée de se porter candidate. Cela doit être un geste volontaire et démocratique de sa part ». Agréée récemment, l'Union des forces démocratiques et sociales (UFDS) de Noureddine Bahbouh, a effectué une sortie dans la capitale. Animant un meeting dans la commune de Rahmania (est d'Alger), le chef de l'UFDS, a estimé que « la mauvaise gestion et l'absence d'un dialogue démocratique entre citoyens et élus sont à l'origine des problèmes auxquels fait face le citoyen ». Il a appelé l'assistance à choisir des représentants intègres capables de prendre en charge les préoccupations des citoyens. « C'est le seul moyen, a-t-il ajouté pour trouver des solutions aux problèmes de la population notamment le logement, l'emploi et les conditions d'une vie digne. »