Deux jeunes malfaiteurs viennent d'êtres interpellés par les gendarmes d'Oran, suite à une enquête diligentée par les éléments de la section de recherches qui ont réussi à saisir des documents administratifs falsifiés dont sont victimes Sonatrach et la daira d'Oran. Deux jeunes malfaiteurs viennent d'êtres interpellés par les gendarmes d'Oran, suite à une enquête diligentée par les éléments de la section de recherches qui ont réussi à saisir des documents administratifs falsifiés dont sont victimes Sonatrach et la daira d'Oran. En effet, l'affaire remonte à jeudi passé suite à l'arrestation des deux malfaiteurs en possession de 1090 comprimés de psychotropes de différentes marques ainsi que quatre cartes d'identité nationale et huit certificats médicaux falsifiés. Poursuivant l'enquête et en vertu d'un mandat de perquisition exécuté à travers les deux domiciles des deux malfaiteurs, les gendarmes ont découvert une autre quantité de stupéfiants estimée par les gendarmes à 1150 comprimés de psychotropes, des certificats médicaux, des attestations de bénéficiaires de logements sociaux falsifiés, un cachet contrefait de la daira d'Oran, un autre de la Sonatrach d'Oran ainsi que treize cachets de médecins psychiatres connus à travers la wilaya d'Oran. En effet, les deux malfaiteurs avaient utilisé au cours de leur triste parcours les noms de grands médecins connus dans la ville d'Oran. C'est à partir des certificats truqués qu'ils arrivaient très facilement à les vendre Selon les enquêteurs qui ont mené cette investigation ces dangereux malfaiteurs ont pu, surtout, tromper la vigilance de leurs victimes en arrivant à leur vendre des attestations de logements sociaux falsifiés en contrepartie de grosses sommes payées par des citoyens. Cela sans compter l'utilisation frauduleuse des cachets de la première société d'hydrocarbures en Algérie et ceux de la daira d'Oran, avec dont l'utilisation avaient permis aux deux malfaiteurs de récolter, également, d'importantes sommes d'argent. Par ailleurs, l'enquête sur ce réseau se poursuit toujours au niveau de la section de recherches en vue de dénombrer le nombre des victimes et les sommes d'argent soutirées par les deux malfaiteurs. Ces derniers ont été présentés devant le procureur de la République près la cour d'Oran, ils ont été placés souis mandat de dépôt en attendant leur jugement. En effet, l'affaire remonte à jeudi passé suite à l'arrestation des deux malfaiteurs en possession de 1090 comprimés de psychotropes de différentes marques ainsi que quatre cartes d'identité nationale et huit certificats médicaux falsifiés. Poursuivant l'enquête et en vertu d'un mandat de perquisition exécuté à travers les deux domiciles des deux malfaiteurs, les gendarmes ont découvert une autre quantité de stupéfiants estimée par les gendarmes à 1150 comprimés de psychotropes, des certificats médicaux, des attestations de bénéficiaires de logements sociaux falsifiés, un cachet contrefait de la daira d'Oran, un autre de la Sonatrach d'Oran ainsi que treize cachets de médecins psychiatres connus à travers la wilaya d'Oran. En effet, les deux malfaiteurs avaient utilisé au cours de leur triste parcours les noms de grands médecins connus dans la ville d'Oran. C'est à partir des certificats truqués qu'ils arrivaient très facilement à les vendre Selon les enquêteurs qui ont mené cette investigation ces dangereux malfaiteurs ont pu, surtout, tromper la vigilance de leurs victimes en arrivant à leur vendre des attestations de logements sociaux falsifiés en contrepartie de grosses sommes payées par des citoyens. Cela sans compter l'utilisation frauduleuse des cachets de la première société d'hydrocarbures en Algérie et ceux de la daira d'Oran, avec dont l'utilisation avaient permis aux deux malfaiteurs de récolter, également, d'importantes sommes d'argent. Par ailleurs, l'enquête sur ce réseau se poursuit toujours au niveau de la section de recherches en vue de dénombrer le nombre des victimes et les sommes d'argent soutirées par les deux malfaiteurs. Ces derniers ont été présentés devant le procureur de la République près la cour d'Oran, ils ont été placés souis mandat de dépôt en attendant leur jugement.