Les services de la wilaya de Tlemcen ont indiqué que les cinq barrages répartis à travers la wilaya sont remplis à des taux "satisfaisants", à la faveur des dernières précipitations qui se sont abattues sur la région et de la neige sur les reliefs. Les services de la wilaya de Tlemcen ont indiqué que les cinq barrages répartis à travers la wilaya sont remplis à des taux "satisfaisants", à la faveur des dernières précipitations qui se sont abattues sur la région et de la neige sur les reliefs. Le bilan établi mercredi dernier précise que le barrage de Beni Bahdel, d'une capacité théorique de 56 millions m3, emmagasine plus de 33 millions m3, alors que celui de Sidi Abdelli 67.541.000 m3. Quant au barrage de Hammam Boughrara d'une capacité de 177 millions m3, il emmagasine actuellement plus de 63 millions m3, alors que le nouveau barrage de Sekkak, à Aïn Youcef, compte 25.508.000 m3, soit un taux de remplissage de 100%, ce qui a nécessité un lâcher des eaux de cet ouvrage vers Oued Tafna. C'est le cas aussi du barrage de Mefrouche, d'une capacité de 14 millions m3, qui stocke plus de 13 millions m3 et qui a fait l'objet d'un lâcher d'eau lors des dernières intempéries. Par ailleurs, les dernières pluies ont eu un "impact positif" sur les nappes souterraines qui renforceront les réserves d'irrigation agricole dans la wilaya, en plus de la mobilisation des eaux de barrages après l'entrée en service des deux stations de dessalement d'eau de mer (Souk Tleta et Honaïne), selon le responsable de la Direction des ressources en eau. L'exploitation de ces deux infrastructures a comblé le déficit enregistré depuis deux ans et a permis de fournir de l'eau potable en quantité suffisante, ce qui a placé la wilaya dans une position confortable transférant progressivement les eaux des barrages vers l'irrigation. L'opération de transfert des eaux lancée en juin dernier a consacré environ 3 millions m3 d'eau par an des eaux du barrage de Sekkak pour l'irrigation de 1.000 ha de terres agricoles réparties entre les communes de Fehoul, Remchi et Aïn Youcef. Le bilan établi mercredi dernier précise que le barrage de Beni Bahdel, d'une capacité théorique de 56 millions m3, emmagasine plus de 33 millions m3, alors que celui de Sidi Abdelli 67.541.000 m3. Quant au barrage de Hammam Boughrara d'une capacité de 177 millions m3, il emmagasine actuellement plus de 63 millions m3, alors que le nouveau barrage de Sekkak, à Aïn Youcef, compte 25.508.000 m3, soit un taux de remplissage de 100%, ce qui a nécessité un lâcher des eaux de cet ouvrage vers Oued Tafna. C'est le cas aussi du barrage de Mefrouche, d'une capacité de 14 millions m3, qui stocke plus de 13 millions m3 et qui a fait l'objet d'un lâcher d'eau lors des dernières intempéries. Par ailleurs, les dernières pluies ont eu un "impact positif" sur les nappes souterraines qui renforceront les réserves d'irrigation agricole dans la wilaya, en plus de la mobilisation des eaux de barrages après l'entrée en service des deux stations de dessalement d'eau de mer (Souk Tleta et Honaïne), selon le responsable de la Direction des ressources en eau. L'exploitation de ces deux infrastructures a comblé le déficit enregistré depuis deux ans et a permis de fournir de l'eau potable en quantité suffisante, ce qui a placé la wilaya dans une position confortable transférant progressivement les eaux des barrages vers l'irrigation. L'opération de transfert des eaux lancée en juin dernier a consacré environ 3 millions m3 d'eau par an des eaux du barrage de Sekkak pour l'irrigation de 1.000 ha de terres agricoles réparties entre les communes de Fehoul, Remchi et Aïn Youcef.