Le gaz continue de provoquer des incidents au sein des différentes cités universitaires «Mouloud Mammeri» de Tizi Ouzou. Après la cité Bastos (Hasnaoua II), il y a une semaine, c'est la résidence universitaire de jeune filles de Mdouha, sise en plein centre de la ville de Tizi Ouzou qui a vécu un autre incident de la même origine avant-hier samedi en début de soirée. Il était environ dix neuf heures quand un feu s'est déclenché dans l'enceinte de la chambre d'étudiantes au moment où l'une d'elles tentait de mettre en marche un réchaud à gaz qui leur sert à préparer les repas. Une fausse manipulation, et le feu a pris, ravageant toute la chambre et causant des blessures à deux étudiantes qui n'ont pas réussi à prendre la fuite à temps. D'autres étudiantes ont été prises de panique à la vue de l'incendie gigantesque. Quatre parmi les filles qui ont été choquées suite à l'accident ont nécessité une prise en charge psychologique au CHU Nedir Mohamed de la même ville tandis que les deux jeunes filles blessées ont été soignées dans le service des urgences. Avec la multiplication de ce genre d'incidents, la sonnette d'alarme est désormais tirée. Il est peut-être temps d'interdire formellement la préparation des repas à l'intérieur des chambres et à l'introduction des bonbonnes de gaz dans les résidences universitaires. Ceci avant que le pire n'arrive. Le triste souvenir du drame de Tlemcen est encore vivace dans les mémoires. Le gaz continue de provoquer des incidents au sein des différentes cités universitaires «Mouloud Mammeri» de Tizi Ouzou. Après la cité Bastos (Hasnaoua II), il y a une semaine, c'est la résidence universitaire de jeune filles de Mdouha, sise en plein centre de la ville de Tizi Ouzou qui a vécu un autre incident de la même origine avant-hier samedi en début de soirée. Il était environ dix neuf heures quand un feu s'est déclenché dans l'enceinte de la chambre d'étudiantes au moment où l'une d'elles tentait de mettre en marche un réchaud à gaz qui leur sert à préparer les repas. Une fausse manipulation, et le feu a pris, ravageant toute la chambre et causant des blessures à deux étudiantes qui n'ont pas réussi à prendre la fuite à temps. D'autres étudiantes ont été prises de panique à la vue de l'incendie gigantesque. Quatre parmi les filles qui ont été choquées suite à l'accident ont nécessité une prise en charge psychologique au CHU Nedir Mohamed de la même ville tandis que les deux jeunes filles blessées ont été soignées dans le service des urgences. Avec la multiplication de ce genre d'incidents, la sonnette d'alarme est désormais tirée. Il est peut-être temps d'interdire formellement la préparation des repas à l'intérieur des chambres et à l'introduction des bonbonnes de gaz dans les résidences universitaires. Ceci avant que le pire n'arrive. Le triste souvenir du drame de Tlemcen est encore vivace dans les mémoires.