Les journées culturelles algériennes au Maroc ont été clôturées, vendredi soir à Rabat, par un concert andalou donné au théâtre Mohammed V par l'ensemble national algérien de musique andalouse. L'orchestre mené par le maestro Samir Boukredera et composé de dix-huit musiciens et deux interprètes, Lamia Maadini et Imène Sahir ont exécuté trois noubas représentant les trois écoles : le «saa'naa» (Alger), le «malouf» (Constantine) et le «ghernati» (Tlemcen). Il a, à cette occasion, interprété successivement noubet Ghrib, noubet Meklabet et noubet Hsine devant un public, venu nombreux apprécier cette musique ancestrale, patrimoine commun aux pays du Maghreb, et découvrir les voix enchanteresses des deux chanteuses algériennes maniant parfaitement leurs instruments (oud et violon). La surprise aura été, cependant, la montée sur scène du célèbre, à la fin de la soirée, du chanteur chaabi Abdelkader Chaou pour interpréter quelques-unes de ses chansons à succès tels que Youm El Khamis et Ya El Adraa et chauffer la salle qui l'avait accueilli par des applaudissements et youyous. Les journées culturelles algériennes se sont déroulées du 1er au 7 décembre dans trois villes en l'occurrence Rabat, Casablanca et Marrakech. Le coup d'envoi de cette manifestation culturelle avait été donné samedi dernier au théâtre Mohammed V à Rabat, par la présentation d'une chorégraphie intitulée «Si l'Algérie m'était chantée». Tout au long de cette semaine, la culture algérienne a été représentée dans sa diversité et sa richesse. Le public a pu, ainsi, apprécier, le hawzi, le chaabi, le kabyle, le chaoui, le malouf, le bédoui où le raï, genres musicaux qui étaient représentés par des grands noms de la chanson algérienne tels que: Nadia Benyoucef, Chaou Abdelkader, Cheba Yamina, Ziane Ouissi, Benzina, Nadia Baroud, Amel Zen, Houari Benchenet, Cheb Kader, Kamel El Harrachi ou Hamidou et la voix du «goual» Belkacem Zetout qui a guidé le public lors des soirées données dans les trois villes marocaines. C'était également l'occasion au poète et parolier algérois Yacine Ouabed de déclamer ses vers devant une assistance subjuguée, au comédien Samir Bouanani de montrer son talent dans la pièce Metzeouedj Fi Otla et à Wassiny Laaredj et Zineb Laouedj de rencontrer leur public marocain. Par ailleurs, des films algériens ont été projetés lors de cette semaine, tels que Mascarades (2007) de Lyes Salem, L'envers du miroir (2007) de Nadia Cherabi, La maison jaune (2008) de Amor Hakkar, Arezki l'indigène (2007 de Djamel Bendedouche et La voisine (2003) de Ghaouti Bendedouche. En outre, l'organisation de cette manifestation aura permis de mettre en relief une partie de la culture algérienne, à travers une exposition représentant des tenues traditionnelles, des bijoux, la poterie, la céramique, les livres et les arts plastiques. La cérémonie d'inauguration avait été présidée par la princesse Lalla Meryem en présence du chef de gouvernement marocain Abdelillah Benkirane, des ministres de la culture algérien et marocain respectivement Khalida Toumi et Mohamed-Amine Sbihi, de membres du gouvernement du pays hôte, d'ambassadeurs accrédités à Rabat dont l'ambassadeur d'Algérie, Ahmed Benyamina et de personnalités du monde de la culture. Ces journées ont été parrainées par les ministères de la Culture algérien et marocain. Elles ont été organisées par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel en partenariat avec les institutions culturelles marocaines d'accueil. Les journées culturelles algériennes au Maroc ont été clôturées, vendredi soir à Rabat, par un concert andalou donné au théâtre Mohammed V par l'ensemble national algérien de musique andalouse. L'orchestre mené par le maestro Samir Boukredera et composé de dix-huit musiciens et deux interprètes, Lamia Maadini et Imène Sahir ont exécuté trois noubas représentant les trois écoles : le «saa'naa» (Alger), le «malouf» (Constantine) et le «ghernati» (Tlemcen). Il a, à cette occasion, interprété successivement noubet Ghrib, noubet Meklabet et noubet Hsine devant un public, venu nombreux apprécier cette musique ancestrale, patrimoine commun aux pays du Maghreb, et découvrir les voix enchanteresses des deux chanteuses algériennes maniant parfaitement leurs instruments (oud et violon). La surprise aura été, cependant, la montée sur scène du célèbre, à la fin de la soirée, du chanteur chaabi Abdelkader Chaou pour interpréter quelques-unes de ses chansons à succès tels que Youm El Khamis et Ya El Adraa et chauffer la salle qui l'avait accueilli par des applaudissements et youyous. Les journées culturelles algériennes se sont déroulées du 1er au 7 décembre dans trois villes en l'occurrence Rabat, Casablanca et Marrakech. Le coup d'envoi de cette manifestation culturelle avait été donné samedi dernier au théâtre Mohammed V à Rabat, par la présentation d'une chorégraphie intitulée «Si l'Algérie m'était chantée». Tout au long de cette semaine, la culture algérienne a été représentée dans sa diversité et sa richesse. Le public a pu, ainsi, apprécier, le hawzi, le chaabi, le kabyle, le chaoui, le malouf, le bédoui où le raï, genres musicaux qui étaient représentés par des grands noms de la chanson algérienne tels que: Nadia Benyoucef, Chaou Abdelkader, Cheba Yamina, Ziane Ouissi, Benzina, Nadia Baroud, Amel Zen, Houari Benchenet, Cheb Kader, Kamel El Harrachi ou Hamidou et la voix du «goual» Belkacem Zetout qui a guidé le public lors des soirées données dans les trois villes marocaines. C'était également l'occasion au poète et parolier algérois Yacine Ouabed de déclamer ses vers devant une assistance subjuguée, au comédien Samir Bouanani de montrer son talent dans la pièce Metzeouedj Fi Otla et à Wassiny Laaredj et Zineb Laouedj de rencontrer leur public marocain. Par ailleurs, des films algériens ont été projetés lors de cette semaine, tels que Mascarades (2007) de Lyes Salem, L'envers du miroir (2007) de Nadia Cherabi, La maison jaune (2008) de Amor Hakkar, Arezki l'indigène (2007 de Djamel Bendedouche et La voisine (2003) de Ghaouti Bendedouche. En outre, l'organisation de cette manifestation aura permis de mettre en relief une partie de la culture algérienne, à travers une exposition représentant des tenues traditionnelles, des bijoux, la poterie, la céramique, les livres et les arts plastiques. La cérémonie d'inauguration avait été présidée par la princesse Lalla Meryem en présence du chef de gouvernement marocain Abdelillah Benkirane, des ministres de la culture algérien et marocain respectivement Khalida Toumi et Mohamed-Amine Sbihi, de membres du gouvernement du pays hôte, d'ambassadeurs accrédités à Rabat dont l'ambassadeur d'Algérie, Ahmed Benyamina et de personnalités du monde de la culture. Ces journées ont été parrainées par les ministères de la Culture algérien et marocain. Elles ont été organisées par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel en partenariat avec les institutions culturelles marocaines d'accueil.