Un demi-siècle après, Le premier congrès de la Société algérienne de la médecine générale à enfin vu le jour à Mostaganem suite à une course d'une longue haleine. L'objectif majeur de ce séminaire scientifique qui s'est tenu du 7 au 8 décembre 2012 est de redorer le blason du médecin généraliste, optimiser la formation continue et la formation initiales de ces praticiens. «Le médecin généraliste est le pivot du système de santé dans les pays modernes», ont tenu à rappeler les conférenciers. «Chez nous, le médecin généraliste est à la traîne et reste toujours le maillon faible de la médecine et nous espérons qu'a l'avenir cela va changer», réclament- ils. Et de continuer : «Sous d'autres cieux, Il est considéré comme médecin de famille ; il prend en charge les soins primaires du patient et l'accompagne durant toute sa vie. Mais malheureusement dans notre pays on fait appel au généraliste que lorsqu'il y a un «vide» ou un manque en consultation spécialisée (endocrinologie, cardiologie, gynécologie)», déplorent-ils. Dans cette perspective donc, les médecin généralistes revendiquent la reconnaissance et la revalorisation de leur profession dans notre société. Ils demandent notamment l'accès à la formation médicale continue et la formation médicale initiale. «Ces formations sont actuellement menées et financées par des laboratoires médicaux. Ces derniers nous mettent la pression, ainsi nous voulons que le financement de ces formations s'effectue par le biais du ministère de la Santé ou par les caisses de sécurité sociales pour ne pas être influencé par le pouvoir des labos», indiquent -ils. Tenant compte que c'est eux qui reçoivent le patient dans les pavillons d'urgence, l'orientent vers la consultation idoine, ces médecins , confrontés à différentes pathologies souhaitent participer à tous les congrés des sociétés savantes spécialisées afin d'optimiser leur connaissances. L'objectif de cette rencontre est également l'occasion de signer des partenariats avec ces différentes sociétés pour réaliser un travail en commun. Ceci pour travailler dans l'intérêt du patient et d'optimiser les soins qu'on lui prodigue. «Toutes les études doivent être faites en faisant collaborer les médecins généralistes et spécialistes », et d'ajouter : «On ne peut pas faire de la médecine sans les généralistes, cela peut avoir des retombées mêmes sur le plan économique». Il est à noter que plus de 800 praticiens de santé publique et privée, les sociétés savantes médicales algériennes venues des quatre coins du pays, Est, Ouest, Sud, Centre, ainsi que des médecins du Maroc, de Tunisie, de Suisse, de France ont pris part à ce séminaire qui se veut de grande envergure. Un demi-siècle après, Le premier congrès de la Société algérienne de la médecine générale à enfin vu le jour à Mostaganem suite à une course d'une longue haleine. L'objectif majeur de ce séminaire scientifique qui s'est tenu du 7 au 8 décembre 2012 est de redorer le blason du médecin généraliste, optimiser la formation continue et la formation initiales de ces praticiens. «Le médecin généraliste est le pivot du système de santé dans les pays modernes», ont tenu à rappeler les conférenciers. «Chez nous, le médecin généraliste est à la traîne et reste toujours le maillon faible de la médecine et nous espérons qu'a l'avenir cela va changer», réclament- ils. Et de continuer : «Sous d'autres cieux, Il est considéré comme médecin de famille ; il prend en charge les soins primaires du patient et l'accompagne durant toute sa vie. Mais malheureusement dans notre pays on fait appel au généraliste que lorsqu'il y a un «vide» ou un manque en consultation spécialisée (endocrinologie, cardiologie, gynécologie)», déplorent-ils. Dans cette perspective donc, les médecin généralistes revendiquent la reconnaissance et la revalorisation de leur profession dans notre société. Ils demandent notamment l'accès à la formation médicale continue et la formation médicale initiale. «Ces formations sont actuellement menées et financées par des laboratoires médicaux. Ces derniers nous mettent la pression, ainsi nous voulons que le financement de ces formations s'effectue par le biais du ministère de la Santé ou par les caisses de sécurité sociales pour ne pas être influencé par le pouvoir des labos», indiquent -ils. Tenant compte que c'est eux qui reçoivent le patient dans les pavillons d'urgence, l'orientent vers la consultation idoine, ces médecins , confrontés à différentes pathologies souhaitent participer à tous les congrés des sociétés savantes spécialisées afin d'optimiser leur connaissances. L'objectif de cette rencontre est également l'occasion de signer des partenariats avec ces différentes sociétés pour réaliser un travail en commun. Ceci pour travailler dans l'intérêt du patient et d'optimiser les soins qu'on lui prodigue. «Toutes les études doivent être faites en faisant collaborer les médecins généralistes et spécialistes », et d'ajouter : «On ne peut pas faire de la médecine sans les généralistes, cela peut avoir des retombées mêmes sur le plan économique». Il est à noter que plus de 800 praticiens de santé publique et privée, les sociétés savantes médicales algériennes venues des quatre coins du pays, Est, Ouest, Sud, Centre, ainsi que des médecins du Maroc, de Tunisie, de Suisse, de France ont pris part à ce séminaire qui se veut de grande envergure.