La formation médicale continue va jouer un rôle primordial dans l'amélioration et l'organisation des soins médicaux en Algérie, a estimé le Dr Nibouche Djamaleddine, professeur en cardiologie à la faculté de médecine d'Alger. "La formation médicale continue est d'une nécessité vitale pour les médecins généralistes, eu égard à l'évolution des sciences médicales et l'émergence de nouveaux protocoles et méthodes diagnostiques ou thérapeutiques dans le domaine des pathologies cardiovasculaires", a indiqué le professeur en marge d'un cycle de formation sur la prise en charge des maladies cardiovasculaires, organisé depuis dimanche à l'école paramédicale de Médéa au profit d'une quarantaine de médecins généralistes issus des structures sanitaires du sud et de l'extrême sud du pays. Il a mis l'accent sur le côté "obligatoire" et "validant" du système de formation, initié par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, en vue de "recycler" et "préparer" les médecins généralistes à mieux gérer les cas d'urgence auxquels ils seront confrontés dans leur exercice. Ce cycle de formation médicale continue, d'une durée de trois jours, vise, selon le professeur Nibouche, à "parfaire les connaissances médicales des médecins généralistes pour qu'ils puissent assurer une meilleure prise en charge des malades et acquérir de nouvelles notions thérapeutiques". Il a, en outre, indiqué que ces cours de perfectionnement donnent la possibilité aux médecins concernés de se "familiariser" avec les nouvelles thérapies introduites dans ce domaine, telle que la thrombolyse, un traitement préconisé pour "désobstruer", à l'aide d'un liquide spécial, les veines d'un patient souffrant de problèmes cardiovasculaires. La formation sur les techniques d'utilisation des électrocardiogrammes et l'analyse des diagnostiques figurent aussi parmi les thèmes abordés lors de ce cycle de formation. Le professeur Nibouche a, par ailleurs, fait savoir que la formation médicale continue a "valeur de test et d'évaluation" des compétences médicales nationales. Elle tend, selon lui, à "valoriser davantage" l'acte médical et fait du médecin généraliste "le pivot central du système de santé national". Un cycle de formation consacré à la prise en charge des pathologies post-traumatiques, animé par le professeur Chakali, de l'Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) de Blida, se tient, en parallèle, à l'école paramédicale de Médéa. Quinze psychocliniciens, issus des structures sanitaires de différentes régions du pays, prennent part à ce cycle de formation. La formation médicale continue va jouer un rôle primordial dans l'amélioration et l'organisation des soins médicaux en Algérie, a estimé le Dr Nibouche Djamaleddine, professeur en cardiologie à la faculté de médecine d'Alger. "La formation médicale continue est d'une nécessité vitale pour les médecins généralistes, eu égard à l'évolution des sciences médicales et l'émergence de nouveaux protocoles et méthodes diagnostiques ou thérapeutiques dans le domaine des pathologies cardiovasculaires", a indiqué le professeur en marge d'un cycle de formation sur la prise en charge des maladies cardiovasculaires, organisé depuis dimanche à l'école paramédicale de Médéa au profit d'une quarantaine de médecins généralistes issus des structures sanitaires du sud et de l'extrême sud du pays. Il a mis l'accent sur le côté "obligatoire" et "validant" du système de formation, initié par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, en vue de "recycler" et "préparer" les médecins généralistes à mieux gérer les cas d'urgence auxquels ils seront confrontés dans leur exercice. Ce cycle de formation médicale continue, d'une durée de trois jours, vise, selon le professeur Nibouche, à "parfaire les connaissances médicales des médecins généralistes pour qu'ils puissent assurer une meilleure prise en charge des malades et acquérir de nouvelles notions thérapeutiques". Il a, en outre, indiqué que ces cours de perfectionnement donnent la possibilité aux médecins concernés de se "familiariser" avec les nouvelles thérapies introduites dans ce domaine, telle que la thrombolyse, un traitement préconisé pour "désobstruer", à l'aide d'un liquide spécial, les veines d'un patient souffrant de problèmes cardiovasculaires. La formation sur les techniques d'utilisation des électrocardiogrammes et l'analyse des diagnostiques figurent aussi parmi les thèmes abordés lors de ce cycle de formation. Le professeur Nibouche a, par ailleurs, fait savoir que la formation médicale continue a "valeur de test et d'évaluation" des compétences médicales nationales. Elle tend, selon lui, à "valoriser davantage" l'acte médical et fait du médecin généraliste "le pivot central du système de santé national". Un cycle de formation consacré à la prise en charge des pathologies post-traumatiques, animé par le professeur Chakali, de l'Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) de Blida, se tient, en parallèle, à l'école paramédicale de Médéa. Quinze psychocliniciens, issus des structures sanitaires de différentes régions du pays, prennent part à ce cycle de formation.