La première quinzaine post-électorale refait parler de politique. Dans sa dernière sortie médiatique le Front El Moustakbal a accordé sa primeur à notre rédaction. Le parti qui prône une gestion économique sous le pouvoir central et le pouvoir parlementaire est revenu sur l'essentiel de sa vision. Pour lui, plusieurs chantiers ont été menés mais n'ont pas abouti Pour fouetter l'économie, le numéro un du parti, en l'occurrence, le Dr Belaid est pour le retour de l'agriculture et le tourisme au devant de la scène économique. Le but étant de limiter les dépenses nationales. S'agissant du premier volet, il est pour une politique de satisfaction nationale tout en tenant compte de la demande réelle du citoyen. En illustrant ses propos , le Dr Belaiz a cité le cas de la banane qui, même si elle n'est pas locale suscite l'engouement de l'Algérien. En bref, il est pour une satisfaction de la demande agricole nationale .Pour y arriver, il demande entre autres d'aller vers un développement durable des zones Sud dont les potentialités agricoles sont énormes. Il a cité le cas de la région d'Illizi où les ressources sont opulentes .Pour les rentabiliser il propose de rendre au goût du jour le débat sur le foncier agricole : plutôt que de laisser les terres en jachère il demande qu'elles soient travaillées en les concédant aux particuliers notamment aux diplômés du secteur avec au préalable un suivi de la tutelle. Avec la même optique, le Dr Belaiz compte booster le secteur du tourisme .Dans le sillage de ses propos, il a clairement dénoncé les projets touristiques des zones d'expansion touristique (ZET). Ces derniers appuyés par le Schéma directeur d'aménagement touristique (Sdat) et adoptés en 2008 pour diversifier l'économie nationale et la désintoxiquer du fioul en promouvant les IDE et le tourisme local .Pour le Dr Belaid l'impératif est de remettre sur les rails le tourisme local d'abord pour peu que la sécurité et le service soient présents ,singulièrement au Sud qui est prisé des nôtres .Autant rentabiliser le tourisme local en attendant les IDE du secteur. La transition a été toute faite pour aborder la règle des 49/51%. Pour le patron du Front la règle est aléatoire dans la mesure où les lois ne sont pas assez fortes pour protéger nos richesses La première quinzaine post-électorale refait parler de politique. Dans sa dernière sortie médiatique le Front El Moustakbal a accordé sa primeur à notre rédaction. Le parti qui prône une gestion économique sous le pouvoir central et le pouvoir parlementaire est revenu sur l'essentiel de sa vision. Pour lui, plusieurs chantiers ont été menés mais n'ont pas abouti Pour fouetter l'économie, le numéro un du parti, en l'occurrence, le Dr Belaid est pour le retour de l'agriculture et le tourisme au devant de la scène économique. Le but étant de limiter les dépenses nationales. S'agissant du premier volet, il est pour une politique de satisfaction nationale tout en tenant compte de la demande réelle du citoyen. En illustrant ses propos , le Dr Belaiz a cité le cas de la banane qui, même si elle n'est pas locale suscite l'engouement de l'Algérien. En bref, il est pour une satisfaction de la demande agricole nationale .Pour y arriver, il demande entre autres d'aller vers un développement durable des zones Sud dont les potentialités agricoles sont énormes. Il a cité le cas de la région d'Illizi où les ressources sont opulentes .Pour les rentabiliser il propose de rendre au goût du jour le débat sur le foncier agricole : plutôt que de laisser les terres en jachère il demande qu'elles soient travaillées en les concédant aux particuliers notamment aux diplômés du secteur avec au préalable un suivi de la tutelle. Avec la même optique, le Dr Belaiz compte booster le secteur du tourisme .Dans le sillage de ses propos, il a clairement dénoncé les projets touristiques des zones d'expansion touristique (ZET). Ces derniers appuyés par le Schéma directeur d'aménagement touristique (Sdat) et adoptés en 2008 pour diversifier l'économie nationale et la désintoxiquer du fioul en promouvant les IDE et le tourisme local .Pour le Dr Belaid l'impératif est de remettre sur les rails le tourisme local d'abord pour peu que la sécurité et le service soient présents ,singulièrement au Sud qui est prisé des nôtres .Autant rentabiliser le tourisme local en attendant les IDE du secteur. La transition a été toute faite pour aborder la règle des 49/51%. Pour le patron du Front la règle est aléatoire dans la mesure où les lois ne sont pas assez fortes pour protéger nos richesses