La première analyse financière du Centre national de l'informatique et des statistiques (Cnis) sur les échanges commerciaux de l'Algérie fait ressortir un excédent commercial de 26,3 MDS USD pour l'année 2012. La première analyse financière du Centre national de l'informatique et des statistiques (Cnis) sur les échanges commerciaux de l'Algérie fait ressortir un excédent commercial de 26,3 MDS USD pour l'année 2012. Pour les onze premiers mois de l'année écoulée, les importations étaient en berne de 1.89% et les exportations en hausse de 0.37% Le Cnis fait le premier bilan alimentaire de l'année. Selon la même source relayée par l'APS, la facture alimentaire de l'Algérie pour les onze mois de l'année dernière est en baisse de 10% par rapport à la même période de 2011. Dans une première comparaison financière entre les onze mois des deux années écoulées de la facture alimentaire, il en ressort 8,10 MDS USD pour 2012 contre 8,98 MDS USD pour 2011, soit un recul de 9,77 %. Pour le Cnis, ce recul est la traduction d'une baisse des différents produits importés. En premier, le groupe des céréales qui observe un mouvement de repli des prix totaux à hauteur de 22,19%. Pour les onze mois de 2012, les importations des céréales, dont farine et semoule, ont coûté 2,92 MDS USD contre 3,75 MDS USD pour la même période en 2011. Suit alors le coût d'achat du lait sur l'international, les prix sont de 1.12 MDS USD pour la même période en 2012 contre 1.19 MDS USD pour 2011. Pour ce groupe alimentaire, le coût des importations est en berne de 16,21%. S'agissant du volume financier des légumes secs, le montant est en berne de 13,21% avec des prix passant de 333.9 millions USD en 2011 à 289.8 millions USD en 2012. Même tendance du côté du groupe café et thé pour lequel les prix sont passés de 350.5 millions USD en 2011 à 306.92 millions USD en 2012. Inversement, le groupe des viandes a connu une hausse de 62.61% dans son coût d'importation. En témoigne le montant de la période de référence de 2012 où il était de 247,36 millions USD contre 152,12 millions USD à la même période en 2011. En volume global des importations qui est de 42,52 MSD USD (les onze premier mois de 2012, celui des groupes alimentaires a représenté 19%. Contrebalancé par le volume financier des exportations totales estimées à 66,78 MDS USD, le Cnis déduit un excédent commercial de 24,26 MDS USD pendant les onze premiers mois de 2012. Hausse de 0.37% du volume des exportations Les exportations chiffrées (pour la même période de référence) à 66,78 MDS USD contre 66,53 MDS USD pour la même période de 2011 sont en hausse de 0,37%. Par contre, les importations sont en baisse de 1.89% par rapport à 2011. Pour 2012 (les onze premiers mois), elles se sont établies aux alentours de 42,52 MDS USD contre 43,34 MDS USD en 2011. Quant au mode de paiement, le Cnis rappelle que l'Algérie règle ses factures essentiellement par cash et par lignes de crédits. Pétrole Soumission des compagnies étrangères au contrôle fiscal De nouveaux projets de loi sur les hydrocarbures ont été présentés par le gouvernement à l'endroit des compagnies pétrolières étrangères. Elles seront, désormais, soumises au contrôle fiscal et, éventuellement, en cas de redressements fiscaux, elles doivent s'acquitter de cette redevance. Le texte du gouvernement, amendant la loi 05-07 modifiée en 2006 introduit un article, le ''97 bis'', qui considère, désormais, les partenaires de Sonatrach comme des sujets fiscaux et, donc, soumis au contrôle fiscal comme prévu à l'article 141 bis du code des impôts directs et taxes assimilées et les dispositions prises pour son application. Selon des fiscalistes de la Direction générale des impôts, avant, seule la Sonatrach était passible, au nom de la loi 86-14 de 1984, de redressement fiscal car elle a négocié un partage de production qui est irréversible qui ne permet pas la restitution des quantités de pétrole par le partenaire étranger en cas de redressement fiscal, précise-t-on encore. Cet article met, dorénavant, en conformité les contrats d'association conclus sous l'empire de la loi 05-07 modifiée en 2006, dont aucun n'est entré en production jusqu'à présent. En avril dernier, le directeur général des impôts, Abderrahmane Raouia, a déclaré à l'APS que son administration avait procédé à des ajustements de la fiscalité pétrolière sans en préciser le montant ou la période qu'ils couvraient. En outre, Il avait précisé qu'il ne s'agissait pas «de fausses déclarations» d'impôts mais plutôt «d'erreurs» de calcul que la DGI avait corrigées. Pour les onze premiers mois de l'année écoulée, les importations étaient en berne de 1.89% et les exportations en hausse de 0.37% Le Cnis fait le premier bilan alimentaire de l'année. Selon la même source relayée par l'APS, la facture alimentaire de l'Algérie pour les onze mois de l'année dernière est en baisse de 10% par rapport à la même période de 2011. Dans une première comparaison financière entre les onze mois des deux années écoulées de la facture alimentaire, il en ressort 8,10 MDS USD pour 2012 contre 8,98 MDS USD pour 2011, soit un recul de 9,77 %. Pour le Cnis, ce recul est la traduction d'une baisse des différents produits importés. En premier, le groupe des céréales qui observe un mouvement de repli des prix totaux à hauteur de 22,19%. Pour les onze mois de 2012, les importations des céréales, dont farine et semoule, ont coûté 2,92 MDS USD contre 3,75 MDS USD pour la même période en 2011. Suit alors le coût d'achat du lait sur l'international, les prix sont de 1.12 MDS USD pour la même période en 2012 contre 1.19 MDS USD pour 2011. Pour ce groupe alimentaire, le coût des importations est en berne de 16,21%. S'agissant du volume financier des légumes secs, le montant est en berne de 13,21% avec des prix passant de 333.9 millions USD en 2011 à 289.8 millions USD en 2012. Même tendance du côté du groupe café et thé pour lequel les prix sont passés de 350.5 millions USD en 2011 à 306.92 millions USD en 2012. Inversement, le groupe des viandes a connu une hausse de 62.61% dans son coût d'importation. En témoigne le montant de la période de référence de 2012 où il était de 247,36 millions USD contre 152,12 millions USD à la même période en 2011. En volume global des importations qui est de 42,52 MSD USD (les onze premier mois de 2012, celui des groupes alimentaires a représenté 19%. Contrebalancé par le volume financier des exportations totales estimées à 66,78 MDS USD, le Cnis déduit un excédent commercial de 24,26 MDS USD pendant les onze premiers mois de 2012. Hausse de 0.37% du volume des exportations Les exportations chiffrées (pour la même période de référence) à 66,78 MDS USD contre 66,53 MDS USD pour la même période de 2011 sont en hausse de 0,37%. Par contre, les importations sont en baisse de 1.89% par rapport à 2011. Pour 2012 (les onze premiers mois), elles se sont établies aux alentours de 42,52 MDS USD contre 43,34 MDS USD en 2011. Quant au mode de paiement, le Cnis rappelle que l'Algérie règle ses factures essentiellement par cash et par lignes de crédits. Pétrole Soumission des compagnies étrangères au contrôle fiscal De nouveaux projets de loi sur les hydrocarbures ont été présentés par le gouvernement à l'endroit des compagnies pétrolières étrangères. Elles seront, désormais, soumises au contrôle fiscal et, éventuellement, en cas de redressements fiscaux, elles doivent s'acquitter de cette redevance. Le texte du gouvernement, amendant la loi 05-07 modifiée en 2006 introduit un article, le ''97 bis'', qui considère, désormais, les partenaires de Sonatrach comme des sujets fiscaux et, donc, soumis au contrôle fiscal comme prévu à l'article 141 bis du code des impôts directs et taxes assimilées et les dispositions prises pour son application. Selon des fiscalistes de la Direction générale des impôts, avant, seule la Sonatrach était passible, au nom de la loi 86-14 de 1984, de redressement fiscal car elle a négocié un partage de production qui est irréversible qui ne permet pas la restitution des quantités de pétrole par le partenaire étranger en cas de redressement fiscal, précise-t-on encore. Cet article met, dorénavant, en conformité les contrats d'association conclus sous l'empire de la loi 05-07 modifiée en 2006, dont aucun n'est entré en production jusqu'à présent. En avril dernier, le directeur général des impôts, Abderrahmane Raouia, a déclaré à l'APS que son administration avait procédé à des ajustements de la fiscalité pétrolière sans en préciser le montant ou la période qu'ils couvraient. En outre, Il avait précisé qu'il ne s'agissait pas «de fausses déclarations» d'impôts mais plutôt «d'erreurs» de calcul que la DGI avait corrigées.