L'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, est à Alger pour une visite officielle. Selon El Mouradia sa visite fait suite à l'invitation du chef de l'état pour apprécier l'état de la coopération entre les deux parties et, par là même se concerter pour la renforcer via des projets de développement. L'émir du Qatar, Cheikh Hamad Ben Khalifa Al Thani, est à Alger pour une visite officielle. Selon El Mouradia sa visite fait suite à l'invitation du chef de l'état pour apprécier l'état de la coopération entre les deux parties et, par là même se concerter pour la renforcer via des projets de développement. D'après la même source il sera question aussi de revenir sur les questions régionales et internationales d'intérêt commun. Explicitement cette visite portera sur deux volets, économique et politique. S'agissant du volet économique cette visite sera conclue par le parachèvement de huit accords. Le projet phare porte sur le futur complexe de sidérurgie à Bellara dans la wilaya de Jijel à l'est du pays. Même si sa vocation est autre il substitue l'usine d'automobile du constructeur français Renauld qui avait refusé de s'y implanter préférant l'ouest du pays. Le futur complexe sera fonctionnel dès 2017. Avec une capacité de 2 millions de tonnes d'acier par an, elle évoluera pour atteindre définitivement les 5 millions de tonnes à charge d'une société mixte de faire sortir de terre le projet dont la finalité étant de réduire le volume de nos importations en matière d'acier que l'APS a avancé son cours d'achat sur l'international à 10 MDS USD, l'équivalent de 20 % du volume total de nos importations. Le complexe de Bellara sera soumis à la règle des 51/49%, la partie algérienne est représentée par l'entreprise Sider et le Fonds national de l'investissement (FNI). Les 49% sont détenues par Qatar international, une co-entreprise entre Qatar Steel et Qatar Mining. En chiffres d'investissement le projet coûte 2 MDS USD et pourvoira 2.000 postes d'emplois directs. Au menu de cette visite est prévu aussi la signature d'un contrat portant sur la réalisation d'un complexe d'engrais phosphatés au niveau de Oued Keberit, dans la wilaya de Souk Ahras à l'est du pays. Le troisième projet a trait à la pétrochimie. A ce sujet une signature d'accords aura lieu avec le groupe Sonatrach. Il est attendu l'ouverture d'une ligne maritime entre les deux capitales pour fluidifier les relations commerciales. Pour information en amont en novembre 2010 les deux pays ont ratifié un accords, lequel supprime la double imposition et l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu signé à Doha en juillet 2008. L'on parle aussi de la mise en place d'un fonds d'investissement commun pour créer des projets mixtes à l'étranger. Enfin l'autre projet de partenariat juteux entre les deux parties portera sur l'exploitation des mines dont les aurifères et celles du phosphates. Pour concrétiser ce partenariat, des accords seront signés avec respectivement les entreprises nationales Enor et Ferphos. Outre les relations économiques, seront également passées en revue les questions internationales dont les mouvements de révoltes et printemps arabes. Même si les deux pays revendiquent leur fraternité et appartenance à la Ouma, il n'empêche que sur ces sujets les optiques sont divergentes, voire diamétralement opposées. Pour l'Algérie les revendications sont invariables, à savoir le respect de l'intégrité territoriale, tandis que du côté qatari l'approche est plus partisane ; voire même interventionniste. De la sorte de quelle réponse ou message l'émir est-il porteur ? Rien ne filtre la-dessus pas plus d'ailleurs sur les questions énergétiques. D'après la même source il sera question aussi de revenir sur les questions régionales et internationales d'intérêt commun. Explicitement cette visite portera sur deux volets, économique et politique. S'agissant du volet économique cette visite sera conclue par le parachèvement de huit accords. Le projet phare porte sur le futur complexe de sidérurgie à Bellara dans la wilaya de Jijel à l'est du pays. Même si sa vocation est autre il substitue l'usine d'automobile du constructeur français Renauld qui avait refusé de s'y implanter préférant l'ouest du pays. Le futur complexe sera fonctionnel dès 2017. Avec une capacité de 2 millions de tonnes d'acier par an, elle évoluera pour atteindre définitivement les 5 millions de tonnes à charge d'une société mixte de faire sortir de terre le projet dont la finalité étant de réduire le volume de nos importations en matière d'acier que l'APS a avancé son cours d'achat sur l'international à 10 MDS USD, l'équivalent de 20 % du volume total de nos importations. Le complexe de Bellara sera soumis à la règle des 51/49%, la partie algérienne est représentée par l'entreprise Sider et le Fonds national de l'investissement (FNI). Les 49% sont détenues par Qatar international, une co-entreprise entre Qatar Steel et Qatar Mining. En chiffres d'investissement le projet coûte 2 MDS USD et pourvoira 2.000 postes d'emplois directs. Au menu de cette visite est prévu aussi la signature d'un contrat portant sur la réalisation d'un complexe d'engrais phosphatés au niveau de Oued Keberit, dans la wilaya de Souk Ahras à l'est du pays. Le troisième projet a trait à la pétrochimie. A ce sujet une signature d'accords aura lieu avec le groupe Sonatrach. Il est attendu l'ouverture d'une ligne maritime entre les deux capitales pour fluidifier les relations commerciales. Pour information en amont en novembre 2010 les deux pays ont ratifié un accords, lequel supprime la double imposition et l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu signé à Doha en juillet 2008. L'on parle aussi de la mise en place d'un fonds d'investissement commun pour créer des projets mixtes à l'étranger. Enfin l'autre projet de partenariat juteux entre les deux parties portera sur l'exploitation des mines dont les aurifères et celles du phosphates. Pour concrétiser ce partenariat, des accords seront signés avec respectivement les entreprises nationales Enor et Ferphos. Outre les relations économiques, seront également passées en revue les questions internationales dont les mouvements de révoltes et printemps arabes. Même si les deux pays revendiquent leur fraternité et appartenance à la Ouma, il n'empêche que sur ces sujets les optiques sont divergentes, voire diamétralement opposées. Pour l'Algérie les revendications sont invariables, à savoir le respect de l'intégrité territoriale, tandis que du côté qatari l'approche est plus partisane ; voire même interventionniste. De la sorte de quelle réponse ou message l'émir est-il porteur ? Rien ne filtre la-dessus pas plus d'ailleurs sur les questions énergétiques.