La célébration avant-hier, samedi à la maison de la culture de Tizi Ouzou, du cinquante-septième anniversaire de la naissance de Matoub Lounès, a été l'occasion pour sa sœur Malika également présidente de la fondation éponyme, d'exiger que toute la lumière soit faite au sujet de l'assassinat du chanteur-poète. Malika Matoub qui intervenait devant des dizaines de journalistes, lors d'une conférence de presse animée en marge du gala artistique organisé à cette occasion, a indiqué qu'elle a encore confiance en la justice algérienne. Malika Matoub a souligné que le procès qui s'est déroulé au tribunal criminel de Tizi Ouzou pendant l'été 2011 concernait des personnes citées pour participation au crime. «Il reste donc l'essentiel : les commanditaires et les auteurs directs», a ajouté Malika Matoub. Pour cette dernière, le procès de l'affaire de l'assassinat de son frère n'est pas encore clos. Ce n'est qu'une fois la vérité connue que le deuil de son frère pourra être fait par l'ensemble de ses fans et admirateurs, a-t-elle enchaîné. L'anniversaire de la naissance de Matoub Lounès a été célébré avant-hier jeudi dans une salle archicomble en présence de plusieurs personnalités du monde la culture et de la chanson, à l'instar du chercheur Abdennour Abdesselam, les universitaires Said Chemakh et Mhend Amarouche, les chanteurs Lounès Kheloui, Yasmina, Moh Oubelaid, Djilali Hamama, Karim Becha, Said Khazem... Des artistes se sont succédé sur scène pour rendre hommage au maître de la chanson algérienne d'expression kabyle, Matoub Lounès, assassiné dans des circonstances non-encore élucidées jusqu'à aujourd'hui et ce, le 25 juin 1998 sur la route menant vers son village natal Taourirt Moussa, plus exactement au lieu-dit Tala Bounane. Avant-hier également, le prix de la résistance Matoub Lounès (Edition 2013) a été décerné au groupe de chant targui, Tinariwin. Le prix sera remis aux membres de ce groupe lors d'une cérémonie qui se tiendra lors des prochaines semaines à Tizi Ouzou, ont précisé les responsables de la Fondation Matoub Lounès. La célébration avant-hier, samedi à la maison de la culture de Tizi Ouzou, du cinquante-septième anniversaire de la naissance de Matoub Lounès, a été l'occasion pour sa sœur Malika également présidente de la fondation éponyme, d'exiger que toute la lumière soit faite au sujet de l'assassinat du chanteur-poète. Malika Matoub qui intervenait devant des dizaines de journalistes, lors d'une conférence de presse animée en marge du gala artistique organisé à cette occasion, a indiqué qu'elle a encore confiance en la justice algérienne. Malika Matoub a souligné que le procès qui s'est déroulé au tribunal criminel de Tizi Ouzou pendant l'été 2011 concernait des personnes citées pour participation au crime. «Il reste donc l'essentiel : les commanditaires et les auteurs directs», a ajouté Malika Matoub. Pour cette dernière, le procès de l'affaire de l'assassinat de son frère n'est pas encore clos. Ce n'est qu'une fois la vérité connue que le deuil de son frère pourra être fait par l'ensemble de ses fans et admirateurs, a-t-elle enchaîné. L'anniversaire de la naissance de Matoub Lounès a été célébré avant-hier jeudi dans une salle archicomble en présence de plusieurs personnalités du monde la culture et de la chanson, à l'instar du chercheur Abdennour Abdesselam, les universitaires Said Chemakh et Mhend Amarouche, les chanteurs Lounès Kheloui, Yasmina, Moh Oubelaid, Djilali Hamama, Karim Becha, Said Khazem... Des artistes se sont succédé sur scène pour rendre hommage au maître de la chanson algérienne d'expression kabyle, Matoub Lounès, assassiné dans des circonstances non-encore élucidées jusqu'à aujourd'hui et ce, le 25 juin 1998 sur la route menant vers son village natal Taourirt Moussa, plus exactement au lieu-dit Tala Bounane. Avant-hier également, le prix de la résistance Matoub Lounès (Edition 2013) a été décerné au groupe de chant targui, Tinariwin. Le prix sera remis aux membres de ce groupe lors d'une cérémonie qui se tiendra lors des prochaines semaines à Tizi Ouzou, ont précisé les responsables de la Fondation Matoub Lounès.