Parmi les grands rêves en Algérie, le logement se tient en tête de liste. Quoi de plus normal pour chacun d'entre nous d'avoir son chez-soi, rompre avec la promiscuité et ses tracas et surtout mettre un terme à la saignée que provoquent les locations dans le budget des personnes qui ont eu recours à cette formule d'habitation. Elle est connue comme un loup blanc pour être la plus des incertaines ; et pour cause les prix du loyer chez nous fluctuent plus qu'en bourse. En cause, l'absence de barème dans le secteur, l'augmentation de la demande du logement et la qualité des quartiers choisis. En bref, autant dire qu'en Algérie la location est le maillon faible de la chaîne habitation. Pour y pallier, ont été dégagées par la tutelle plusieurs formules en vue d'une appropriation de son logement. Selon les moyens du demandeur, sont proposés le logement social, le logement social participatif et la formule location-vente de l'AADL. Pour ce dernier type, autant il a donné de l'espoir pour beaucoup d'Algériens autant il en a désillusionné plusieurs. En cause, la longueur du traitement du dossier et le désordre qu'accuse l'Agence nationale de l'amélioration et du développement du logement (AADL) . Sinon comment expliquer l'attente à ce jour de souscripteurs à ce genre de logement depuis ...13 ans. Rien que pour la ville d'Alger ils sont 100.000 signataires au programme de l'AADL depuis 2001 et 2002 qui n'ont rien vu suivre et venir, même pas une convocation à payer la première tranche des 10 % du prix total du logement. Le plus frustrant pour ces souscripteurs de l' «espoir» était de voir aboutir et loger des personnes postulantes aux mêmes besoins et à la même boîte après eux. L'AADL serait-elle atteinte d'amnésie sélective ou s'agit-il d'un dysfonctionnement à l'instar du bidouillage ? Pour rectifier le tir, une première réaction de l'AADL a été de convoquer les anciens souscripteurs pour réactualiser leur dossier et le retour de flamme ne s'est pas fait attendre : regroupés en association dont la tête de liste, Nabil Belhadad, a enclenché un mouvement de protestation face à la direction générale de l'Agence. A l'issue de quoi, les protestataires ont arraché un accord du DG de l'AADL et l'assurance de réactualiser les dossiers sous le préalable d'être traités à part. Décodage : pour le nouveau programme de l'AADL, qui est lancé pour ce trimestre et qui compte 150.000 logements dont le tiers sera consacré à l'assiette foncière destinée à la construction à Alger, la priorité sera donnée aux vétérans de l'AADL sous préalable d'un filtrage . Selon le patron de l'agence, à ce jour ont été recensés rien que pour trois communes de la capitale, 5534 indus candidats. Et la question qui reste en suspens est de savoir comment est-on arrivé à ces dépassements. D'autant que les Tic ont fourni plusieurs services informatiques pour un bon usage dont le listing. Aujourd'hui, de l'eau à coulé sous les ponts et les besoins sont les mêmes, à savoir un toit pour tous. Pour y répondre, l'AADL a revu aussi les prix à la hausse. Désormais pour avoir un avoir un appartement made in AADL il faudra débourser autour de 4 millions de DA. Le bonus étant le F4. Parmi les grands rêves en Algérie, le logement se tient en tête de liste. Quoi de plus normal pour chacun d'entre nous d'avoir son chez-soi, rompre avec la promiscuité et ses tracas et surtout mettre un terme à la saignée que provoquent les locations dans le budget des personnes qui ont eu recours à cette formule d'habitation. Elle est connue comme un loup blanc pour être la plus des incertaines ; et pour cause les prix du loyer chez nous fluctuent plus qu'en bourse. En cause, l'absence de barème dans le secteur, l'augmentation de la demande du logement et la qualité des quartiers choisis. En bref, autant dire qu'en Algérie la location est le maillon faible de la chaîne habitation. Pour y pallier, ont été dégagées par la tutelle plusieurs formules en vue d'une appropriation de son logement. Selon les moyens du demandeur, sont proposés le logement social, le logement social participatif et la formule location-vente de l'AADL. Pour ce dernier type, autant il a donné de l'espoir pour beaucoup d'Algériens autant il en a désillusionné plusieurs. En cause, la longueur du traitement du dossier et le désordre qu'accuse l'Agence nationale de l'amélioration et du développement du logement (AADL) . Sinon comment expliquer l'attente à ce jour de souscripteurs à ce genre de logement depuis ...13 ans. Rien que pour la ville d'Alger ils sont 100.000 signataires au programme de l'AADL depuis 2001 et 2002 qui n'ont rien vu suivre et venir, même pas une convocation à payer la première tranche des 10 % du prix total du logement. Le plus frustrant pour ces souscripteurs de l' «espoir» était de voir aboutir et loger des personnes postulantes aux mêmes besoins et à la même boîte après eux. L'AADL serait-elle atteinte d'amnésie sélective ou s'agit-il d'un dysfonctionnement à l'instar du bidouillage ? Pour rectifier le tir, une première réaction de l'AADL a été de convoquer les anciens souscripteurs pour réactualiser leur dossier et le retour de flamme ne s'est pas fait attendre : regroupés en association dont la tête de liste, Nabil Belhadad, a enclenché un mouvement de protestation face à la direction générale de l'Agence. A l'issue de quoi, les protestataires ont arraché un accord du DG de l'AADL et l'assurance de réactualiser les dossiers sous le préalable d'être traités à part. Décodage : pour le nouveau programme de l'AADL, qui est lancé pour ce trimestre et qui compte 150.000 logements dont le tiers sera consacré à l'assiette foncière destinée à la construction à Alger, la priorité sera donnée aux vétérans de l'AADL sous préalable d'un filtrage . Selon le patron de l'agence, à ce jour ont été recensés rien que pour trois communes de la capitale, 5534 indus candidats. Et la question qui reste en suspens est de savoir comment est-on arrivé à ces dépassements. D'autant que les Tic ont fourni plusieurs services informatiques pour un bon usage dont le listing. Aujourd'hui, de l'eau à coulé sous les ponts et les besoins sont les mêmes, à savoir un toit pour tous. Pour y répondre, l'AADL a revu aussi les prix à la hausse. Désormais pour avoir un avoir un appartement made in AADL il faudra débourser autour de 4 millions de DA. Le bonus étant le F4.