Dimanche 27 janvier, dans l'après-midi, la famille habitant le 13 rue Zoubir-Zemirli, ex-Gambetta à Kouba, a frôlé le pire et n'a dû son salut qu'au mur d'enceinte qui a réussi à bloquer la chute d'un poteau électrique menaçant le toit de la maisonnette. Heureusement, plus de peur que de mal puisque la vigilance des voisins, en l'occurence un épicier, et surtout la célérité dans l'intervention des éléments de la Protection civile — avec des moyens malheureusement dérisoires, il faut le dire —même si cela ne les a nullement empêché de réussir l'exploit d'éloigner la menace après des efforts titanesques. L'ERMA, pourtant informée tout de suite après l'incident et dont les techniciens auraient dû se trouver sur place pour éviter tout incident déplorable, n'a envoyé ses techniciens sur les lieux de l'accident que bien après que les agents de la Protection civile aient réussi à éloigner le poteau qui menacait de s'effonder sur le toit de la maison. Nonobstant cet incident qui se termine, fort heureusement, sans drame humain ni dégât matériel, mis à part un plant de jasmin fortement malmené, il faut néanmoins signaler que beaucoup de lampadaires et poteaux électriques, à travers la capitale, sont dans un état précaire et menacent de chuter à la moindre rafale de vent, et c'est pour cela qu'un contrôle régulier s'impose, car il ne s'agit pas d'attendre de voir ces poteaux s'effondrer pour venir les récupérer et passer à autre chose. Dimanche 27 janvier, dans l'après-midi, la famille habitant le 13 rue Zoubir-Zemirli, ex-Gambetta à Kouba, a frôlé le pire et n'a dû son salut qu'au mur d'enceinte qui a réussi à bloquer la chute d'un poteau électrique menaçant le toit de la maisonnette. Heureusement, plus de peur que de mal puisque la vigilance des voisins, en l'occurence un épicier, et surtout la célérité dans l'intervention des éléments de la Protection civile — avec des moyens malheureusement dérisoires, il faut le dire —même si cela ne les a nullement empêché de réussir l'exploit d'éloigner la menace après des efforts titanesques. L'ERMA, pourtant informée tout de suite après l'incident et dont les techniciens auraient dû se trouver sur place pour éviter tout incident déplorable, n'a envoyé ses techniciens sur les lieux de l'accident que bien après que les agents de la Protection civile aient réussi à éloigner le poteau qui menacait de s'effonder sur le toit de la maison. Nonobstant cet incident qui se termine, fort heureusement, sans drame humain ni dégât matériel, mis à part un plant de jasmin fortement malmené, il faut néanmoins signaler que beaucoup de lampadaires et poteaux électriques, à travers la capitale, sont dans un état précaire et menacent de chuter à la moindre rafale de vent, et c'est pour cela qu'un contrôle régulier s'impose, car il ne s'agit pas d'attendre de voir ces poteaux s'effondrer pour venir les récupérer et passer à autre chose.