Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa, a joint sa voix à celle de l'ensemble des officiels algériens en condamnant, à son tour, l'attaque terroriste du site gazier de Tiguentourine (In –Amenas , dans la wilaya d'Illizi) . Cet acte terroriste, d'une ampleur jamais égalée contre une installation industrielle du pays, a été même classé au même niveau que l'attaque terroriste du 11 septembre 2001, contre les Etats-Unis d'Amérique. «Ce qui s'est passé en Algérie ressemble à l'attaque terroriste du 11 septembre en Amérique» a en effet, indiqué hier matin le président de l'APN. Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui s'exprimait lors d'une rencontre avec les journalistes organisée par l'Assemblée, «est une hydre à sept têtes» ajoutant que «l'Algérie est particulièrement ciblée». Revenant sur les années quatre vingt dix, particulièrement pénibles pour les Algériens qui faisaient face aux hordes sanguinaires, Ould Khelifa dira que «l'Algérie luttait toute seule contre le terrorisme». «Notre problème n'est pas ave l'islam, mais avec l'extrémisme sous toutes ses formes qu'il soit d'ici ou d'ailleurs». Et au président de la Chambre basse, qui s'apprêtait à aller accueillir le Premier ministre, David Cameron qui a entamé hier une visite officielle en Algérie, d'enchaîner en évoquant la situation qui prévaut au Mali. "Ce qui se passe au Mali est la preuve que la question est d'une grande importance", a-t-il précisé. Par ailleurs Ould Khelifa, qui a promis de renforcer à l'avenir la relation entre l'APN est la presse, a défendu l'institution qu'il préside estimant que «l'Assemblée ne se réduit pas à lever les mains pour avaliser les projets de loi, mais il y a des débats libres car rien n'interdit à aucun parti de s'exprimer librement». Cela dit, lors de cette rencontre avec la presse , animée par la vice- présidente de l'APN, Dalila Forar, et en présence des membres du bureau de l'Assemblée et des présidents des 12 commissions permanentes, il a surtout été question de la relation entre les deux parties, notamment en matière de l'accès à l'information. "On sent que ça ne se passe pas bien, on sait qu'il y a des lacunes" a indiqué Dalila Forar avant d'ajouter que «nous voulons bâtir une relation forte et cordiale avec la presse». Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa, a joint sa voix à celle de l'ensemble des officiels algériens en condamnant, à son tour, l'attaque terroriste du site gazier de Tiguentourine (In –Amenas , dans la wilaya d'Illizi) . Cet acte terroriste, d'une ampleur jamais égalée contre une installation industrielle du pays, a été même classé au même niveau que l'attaque terroriste du 11 septembre 2001, contre les Etats-Unis d'Amérique. «Ce qui s'est passé en Algérie ressemble à l'attaque terroriste du 11 septembre en Amérique» a en effet, indiqué hier matin le président de l'APN. Mohamed Larbi Ould Khelifa, qui s'exprimait lors d'une rencontre avec les journalistes organisée par l'Assemblée, «est une hydre à sept têtes» ajoutant que «l'Algérie est particulièrement ciblée». Revenant sur les années quatre vingt dix, particulièrement pénibles pour les Algériens qui faisaient face aux hordes sanguinaires, Ould Khelifa dira que «l'Algérie luttait toute seule contre le terrorisme». «Notre problème n'est pas ave l'islam, mais avec l'extrémisme sous toutes ses formes qu'il soit d'ici ou d'ailleurs». Et au président de la Chambre basse, qui s'apprêtait à aller accueillir le Premier ministre, David Cameron qui a entamé hier une visite officielle en Algérie, d'enchaîner en évoquant la situation qui prévaut au Mali. "Ce qui se passe au Mali est la preuve que la question est d'une grande importance", a-t-il précisé. Par ailleurs Ould Khelifa, qui a promis de renforcer à l'avenir la relation entre l'APN est la presse, a défendu l'institution qu'il préside estimant que «l'Assemblée ne se réduit pas à lever les mains pour avaliser les projets de loi, mais il y a des débats libres car rien n'interdit à aucun parti de s'exprimer librement». Cela dit, lors de cette rencontre avec la presse , animée par la vice- présidente de l'APN, Dalila Forar, et en présence des membres du bureau de l'Assemblée et des présidents des 12 commissions permanentes, il a surtout été question de la relation entre les deux parties, notamment en matière de l'accès à l'information. "On sent que ça ne se passe pas bien, on sait qu'il y a des lacunes" a indiqué Dalila Forar avant d'ajouter que «nous voulons bâtir une relation forte et cordiale avec la presse».