En deux jours seulement, les gendarmes ont récupéré pas moins de quatre sacs en plastique renfermant plusieurs dizaines de kilos de cannabis. En deux jours seulement, les gendarmes ont récupéré pas moins de quatre sacs en plastique renfermant plusieurs dizaines de kilos de cannabis. A Alger dans les plages de Zéralda, à Jijel, plus exactement à la plage Aftis et à Boumerdès, plus particulièrement à la plage Sahel Boubrak, des sacs bourrés de kif ont été découverts par les gendarmes. Cela nous amène à faire l'analyse de la situation : les narcotrafiquants ont changé leurs tactiques, après les frontières ils optent, actuellement, pour les voies maritimes suite au resserrement de l'étau sur les voies terrestres. Les services de sécurité sont en alerte suite à la découverte, en série, de sacs en plastique bourrés de drogue. Il semblerait que les réseaux de trafic de drogue, agissant au Maroc, ont changé leurs tactiques vu les coups sévères portés par les services de sécurité algériens aux narcotrafiquants. Désormais c'est la mer qui va intéresser les cartels de la drogue. Une voie devenue la seule issue pour les transporteurs de drogue, d'autant que les vannes sont "asséchées" du côté des frontières terrestres. Munis de leurs zodiaques, les trafiquants jettent à la mer, ces derniers jours, des sacs en plastique renfermant généralement entre 20 à 50 kg de drogue par sac, pour êtres transportés par les vagues jusqu'aux plages algériennes. Ainsi, lors d'une patrouille au complexe touristique de Mazafran, à Zéralda, les gendarmes de la brigade des Sables d'Or ont découvert et récupéré, avant-hier, un sac en plastique renfermant 31 kg de résine de cannabis. Selon les premiers éléments de l'enquête, ce sac aurait étét jeté par les vagues pour accoster à la plage des Sables d'Or. Cette nouvelle découverte de drogue intervient quelques jours après l'arrestation d'un ressortissant africain, sur les mêmes lieux, en possession de près de 10 grammes d'héroïne (drogue dure) destinée à être vendue au profit de ses "clients", des Algériens, qui s'adonnent régulièrement à ce type de drogue. Cela dit, les plages de Zéralda ont toujours été considérées, par les services de la Gendarmerie nationale, comme étant des lieux privilègiés pour les trafiquants de drogue, de cannabis et d'héroïne En attendant ce que l'enquête va dévoiler dans les prochains jours sur cette nouvelle découverte de drogue, les gendarmes ont multiplié leur surveillance aux alentours des complexes touristiques de Zéralda et ce, en vue de localiser d'éventuels mouvements de réseaux de trafic de stupéfiants. Un peu loin d'Alger, cette fois du côté des côtes de Boumerdès, plus exactement à la plage Sahel Boubrak, les gendarmes ont découvert également un sac renfermant de la drogue. En effet, selon un communiqué de la Gendarmerie nationale, le 8 février dernier, les gendarmes de la brigade de Sidi Daoud, à Boumerdès, ont récupéré, suite à des informations, un sac de plastique contenant 20 kg de cannabis, rejeté par les vagues à la plage de Sahel Boubrak. Deux sacs contenant 48 kg de drogue jetés par les vagues à la plage Les Aftis à Jijel A Jijel, les gendarmes de la brigade El Aouana ont récupéré, avant-hier, deux sacs en plastique contenant, en tout, 48, 700 kg de drogue, rejetés par les vagues sur la plage Les Aftis, commune d'El Aouana. Cette nouvelle prise après celles d'Alger et de Boumerdès indique, une nouvelle fois, que les narcotrafiquants optent ces derniers jours pour le jet de sacs renfermant de grosses quantités de drogue, après la fermeture des vannes sur les voies terrestres algériennes. Ce n'est pas un simple constat mais une réalité prouvée sur le terrain. Si on prend, par exemple, les saisies des drogues enregistrées, depuis le 1er janvier passé, sur les frontières Ouest et Sud-ouest, on remarque très vite que les coups portés par les services de sécurité aux réseaux de trafic de drogue sont en hausse. Grâce à ces coups sévères, les réseaux de drogue ont perdu beaucoup d'argent, suite à la récupération de tonnes de kif traités par les GGF, douaniers et Police des frontières (PAF). Face à ce resserrement de l'étau il ne restait plus, pour les narcotrafiquants, que de choisir la voie maritime pour faire écouler leurs drogues. Chose qui s'est retournée, aussi, contre eux, puisque les saisies de sacs renfermant du cannabis se sont accélérées ces derniers jours. A Alger dans les plages de Zéralda, à Jijel, plus exactement à la plage Aftis et à Boumerdès, plus particulièrement à la plage Sahel Boubrak, des sacs bourrés de kif ont été découverts par les gendarmes. Cela nous amène à faire l'analyse de la situation : les narcotrafiquants ont changé leurs tactiques, après les frontières ils optent, actuellement, pour les voies maritimes suite au resserrement de l'étau sur les voies terrestres. Les services de sécurité sont en alerte suite à la découverte, en série, de sacs en plastique bourrés de drogue. Il semblerait que les réseaux de trafic de drogue, agissant au Maroc, ont changé leurs tactiques vu les coups sévères portés par les services de sécurité algériens aux narcotrafiquants. Désormais c'est la mer qui va intéresser les cartels de la drogue. Une voie devenue la seule issue pour les transporteurs de drogue, d'autant que les vannes sont "asséchées" du côté des frontières terrestres. Munis de leurs zodiaques, les trafiquants jettent à la mer, ces derniers jours, des sacs en plastique renfermant généralement entre 20 à 50 kg de drogue par sac, pour êtres transportés par les vagues jusqu'aux plages algériennes. Ainsi, lors d'une patrouille au complexe touristique de Mazafran, à Zéralda, les gendarmes de la brigade des Sables d'Or ont découvert et récupéré, avant-hier, un sac en plastique renfermant 31 kg de résine de cannabis. Selon les premiers éléments de l'enquête, ce sac aurait étét jeté par les vagues pour accoster à la plage des Sables d'Or. Cette nouvelle découverte de drogue intervient quelques jours après l'arrestation d'un ressortissant africain, sur les mêmes lieux, en possession de près de 10 grammes d'héroïne (drogue dure) destinée à être vendue au profit de ses "clients", des Algériens, qui s'adonnent régulièrement à ce type de drogue. Cela dit, les plages de Zéralda ont toujours été considérées, par les services de la Gendarmerie nationale, comme étant des lieux privilègiés pour les trafiquants de drogue, de cannabis et d'héroïne En attendant ce que l'enquête va dévoiler dans les prochains jours sur cette nouvelle découverte de drogue, les gendarmes ont multiplié leur surveillance aux alentours des complexes touristiques de Zéralda et ce, en vue de localiser d'éventuels mouvements de réseaux de trafic de stupéfiants. Un peu loin d'Alger, cette fois du côté des côtes de Boumerdès, plus exactement à la plage Sahel Boubrak, les gendarmes ont découvert également un sac renfermant de la drogue. En effet, selon un communiqué de la Gendarmerie nationale, le 8 février dernier, les gendarmes de la brigade de Sidi Daoud, à Boumerdès, ont récupéré, suite à des informations, un sac de plastique contenant 20 kg de cannabis, rejeté par les vagues à la plage de Sahel Boubrak. Deux sacs contenant 48 kg de drogue jetés par les vagues à la plage Les Aftis à Jijel A Jijel, les gendarmes de la brigade El Aouana ont récupéré, avant-hier, deux sacs en plastique contenant, en tout, 48, 700 kg de drogue, rejetés par les vagues sur la plage Les Aftis, commune d'El Aouana. Cette nouvelle prise après celles d'Alger et de Boumerdès indique, une nouvelle fois, que les narcotrafiquants optent ces derniers jours pour le jet de sacs renfermant de grosses quantités de drogue, après la fermeture des vannes sur les voies terrestres algériennes. Ce n'est pas un simple constat mais une réalité prouvée sur le terrain. Si on prend, par exemple, les saisies des drogues enregistrées, depuis le 1er janvier passé, sur les frontières Ouest et Sud-ouest, on remarque très vite que les coups portés par les services de sécurité aux réseaux de trafic de drogue sont en hausse. Grâce à ces coups sévères, les réseaux de drogue ont perdu beaucoup d'argent, suite à la récupération de tonnes de kif traités par les GGF, douaniers et Police des frontières (PAF). Face à ce resserrement de l'étau il ne restait plus, pour les narcotrafiquants, que de choisir la voie maritime pour faire écouler leurs drogues. Chose qui s'est retournée, aussi, contre eux, puisque les saisies de sacs renfermant du cannabis se sont accélérées ces derniers jours.