L'Office central de répression de la corruption (OCRC), dont le siège a été inauguré, hier, par le ministre des Finances, est régi par le décret présidentiel du 8 décembre 2011 ainsi que par la loi de lutte contre la corruption de 2006. En vertu des dispositions de cette loi (20 février 2006) et du décret présidentiel portant composition, organisation et modalités de fonctionnement de l'Office, cet organisme est chargé de : - La collecte, la centralisation et l'exploitation de toute information relevant de son champ de compétence - La conduite des enquêtes et la recherche des preuves sur les faits des "grandes affaires" de corruption et la présentation de leurs auteurs devant le parquet - Le développement de la coopération avec les organismes similaires - L'Office vise à assurer une action "coordonnée et complémentaire" en matière de sécurité financière à travers une coordination renforcée avec les autres organes de contrôle, tels que la Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF), l'Inspection générale des finances (IGF) et les Commissions nationales des marchés - Il effectue ses missions en coordination avec les différents services de police judiciaire du pays - Il peut recourir à l'auto-saisine en exploitant les informations rapportées par la presse ou par d'autres sources comme il peut être saisi par l'IGF, la CTRF, les services de police ou les simples citoyens - L'Office est composé d'officiers de police judiciaire dont la compétence s'étend à tout le territoire national, de magistrats, de greffiers et de représentants de plusieurs autres administrations - L'Office est administrativement rattaché au ministère des Finances - Il représente l'outil opérationnel de "l'instance nationale de lutte contre la corruption", devenue opérationnelle en 2011 - L'Office est dirigé par Abdelmalek Sayah, nommé le 28 décembre 2011 comme directeur général de cette structure. Ce magistrat occupait auparavant le poste de DG de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLDT) - La création de l'OCRC a été décidée dans le cadre de l'application de la directive présidentielle de décembre 2009 relative à la dynamisation de la lutte contre la corruption. L'Office central de répression de la corruption (OCRC), dont le siège a été inauguré, hier, par le ministre des Finances, est régi par le décret présidentiel du 8 décembre 2011 ainsi que par la loi de lutte contre la corruption de 2006. En vertu des dispositions de cette loi (20 février 2006) et du décret présidentiel portant composition, organisation et modalités de fonctionnement de l'Office, cet organisme est chargé de : - La collecte, la centralisation et l'exploitation de toute information relevant de son champ de compétence - La conduite des enquêtes et la recherche des preuves sur les faits des "grandes affaires" de corruption et la présentation de leurs auteurs devant le parquet - Le développement de la coopération avec les organismes similaires - L'Office vise à assurer une action "coordonnée et complémentaire" en matière de sécurité financière à travers une coordination renforcée avec les autres organes de contrôle, tels que la Cellule de traitement du renseignement financier (CTRF), l'Inspection générale des finances (IGF) et les Commissions nationales des marchés - Il effectue ses missions en coordination avec les différents services de police judiciaire du pays - Il peut recourir à l'auto-saisine en exploitant les informations rapportées par la presse ou par d'autres sources comme il peut être saisi par l'IGF, la CTRF, les services de police ou les simples citoyens - L'Office est composé d'officiers de police judiciaire dont la compétence s'étend à tout le territoire national, de magistrats, de greffiers et de représentants de plusieurs autres administrations - L'Office est administrativement rattaché au ministère des Finances - Il représente l'outil opérationnel de "l'instance nationale de lutte contre la corruption", devenue opérationnelle en 2011 - L'Office est dirigé par Abdelmalek Sayah, nommé le 28 décembre 2011 comme directeur général de cette structure. Ce magistrat occupait auparavant le poste de DG de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLDT) - La création de l'OCRC a été décidée dans le cadre de l'application de la directive présidentielle de décembre 2009 relative à la dynamisation de la lutte contre la corruption.