Deux enfants, Haroun, 10 ans et Brahim, 9 ans, ont été assassinés et affreusement mutilés à Constantine il y a quelques jours. Une autre petite fille de 6 ans a été retrouvée morte durant la même période à Tlemcen. A la lumière de ces tragiques évènements et des crimes crapuleux qui les caractérisent, Me Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale de promotion et de protection des droits de l'homme (CNPPDH), a plaidé lors d'une émission "Nikach El Ousboue" (Débat de la semaine) de la Chaîne I de la Radio nationale pour unecondamnation à la "peine capitale" de façon "exceptionnelle" à l'encontre des kidnappeurs et tueurs d'enfants "Je suis pour l'abolition de la peine de mort sauf dans certains crimes tels que les enlèvements d'enfants suivis d'assassinats. Elle doit être prononcée à leurs encontre de façon exceptionnelle". Il a expliqué, dans le même cadre, que le juge est la seule personne habilitée à décider d'infliger cette sanction capitale, tout en insistant sur la nécessité de respecter la présomption d'innocence des suspects jusqu'à leur condamnation définitive. Deux enfants, Haroun, 10 ans et Brahim, 9 ans, ont été assassinés et affreusement mutilés à Constantine il y a quelques jours. Une autre petite fille de 6 ans a été retrouvée morte durant la même période à Tlemcen. A la lumière de ces tragiques évènements et des crimes crapuleux qui les caractérisent, Me Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale de promotion et de protection des droits de l'homme (CNPPDH), a plaidé lors d'une émission "Nikach El Ousboue" (Débat de la semaine) de la Chaîne I de la Radio nationale pour unecondamnation à la "peine capitale" de façon "exceptionnelle" à l'encontre des kidnappeurs et tueurs d'enfants "Je suis pour l'abolition de la peine de mort sauf dans certains crimes tels que les enlèvements d'enfants suivis d'assassinats. Elle doit être prononcée à leurs encontre de façon exceptionnelle". Il a expliqué, dans le même cadre, que le juge est la seule personne habilitée à décider d'infliger cette sanction capitale, tout en insistant sur la nécessité de respecter la présomption d'innocence des suspects jusqu'à leur condamnation définitive.