L'attaque a été revendiquée par le Hezb-e-islami, un groupe d'insurgés. C'était bien le convoi de la coalition qui était visé, confirme le communiqué du Hezb-e-islami. L'attaque a été revendiquée par le Hezb-e-islami, un groupe d'insurgés. C'était bien le convoi de la coalition qui était visé, confirme le communiqué du Hezb-e-islami. Un attentat-suicide a causé la mort de quatorze personnes — dont quatre militaires étrangers et deux civils employés par l'Otan — et blessé trente-sept autres, jeudi 16 mai, lorsqu'une voiture piégée a explosé au passage d'un convoi de la coalition internationale. L'attaque a été revendiquée par le Hezb-e-islami, un groupe d'insurgés. L'attentat a eu lieu dans un quartier périphérique de la capitale afghane. Toutes les vitres aux alentours ont explosé. C'était bien le convoi de la coalition qui était visé, a revendiqué dans un communiqué un responsable du Hezb-e-islami, un groupe islamiste dont une partie combat la présence internationale en Afghanistan. « Nous voulons vous toucher dans votre corps ». La partie combattante du Hezb-e-islami, dirigée par Gulbuddin Hekmatyar, avait déjà revendiqué un attentat en septembre dernier qui avait causé la mort de douze personnes, dont huit pilotes d'avion sud-africains. Le gouvernement de Kaboul est en négociation avec ce groupe d'insurgés, mais ces négociations peinent à aboutir. Cet attentat-suicide pourrait être l'illustration de la puissance de frappe de cette organisation, à un peu plus d'un an du retrait des troupes étrangères d'Afghanistan. Le Hezb-e-Islami est un parti dont l'origine remonte à la lutte anti-soviétique dans les années 70. Même si ses membres sont pachtounes, le Hezb-e-islami se fait l'avocat d'un état islamique unifié par-delà les considérations tribales, ce qui le distingue des groupes insurgés talibans, pourtant pachtounes également. Il s'en approche, néanmoins, sur le plan de la pratique religieuse et politique, en prônant un islam radical, et surtout dans son rejet de la présence étrangère sur le sol afghan. D'où les alliances de circonstance passées avec les talibans depuis la chute du régime en 2001 et le déploiement des forces de la coalition en Afghanistan. A mesure que se profile le retrait des troupes de l'Otan, le Hezb-e-Islami tente de jouer sa propre carte, pour ne pas se trouver écarté du pouvoir à l'issue de négociations entre l'actuel pouvoir, les Etats-Unis et les talibans. Le Hezb-e-islami dirigé par Gulbuddin Hekmatyar est considéré comme un groupe terroriste par la coalition. Un attentat-suicide a causé la mort de quatorze personnes — dont quatre militaires étrangers et deux civils employés par l'Otan — et blessé trente-sept autres, jeudi 16 mai, lorsqu'une voiture piégée a explosé au passage d'un convoi de la coalition internationale. L'attaque a été revendiquée par le Hezb-e-islami, un groupe d'insurgés. L'attentat a eu lieu dans un quartier périphérique de la capitale afghane. Toutes les vitres aux alentours ont explosé. C'était bien le convoi de la coalition qui était visé, a revendiqué dans un communiqué un responsable du Hezb-e-islami, un groupe islamiste dont une partie combat la présence internationale en Afghanistan. « Nous voulons vous toucher dans votre corps ». La partie combattante du Hezb-e-islami, dirigée par Gulbuddin Hekmatyar, avait déjà revendiqué un attentat en septembre dernier qui avait causé la mort de douze personnes, dont huit pilotes d'avion sud-africains. Le gouvernement de Kaboul est en négociation avec ce groupe d'insurgés, mais ces négociations peinent à aboutir. Cet attentat-suicide pourrait être l'illustration de la puissance de frappe de cette organisation, à un peu plus d'un an du retrait des troupes étrangères d'Afghanistan. Le Hezb-e-Islami est un parti dont l'origine remonte à la lutte anti-soviétique dans les années 70. Même si ses membres sont pachtounes, le Hezb-e-islami se fait l'avocat d'un état islamique unifié par-delà les considérations tribales, ce qui le distingue des groupes insurgés talibans, pourtant pachtounes également. Il s'en approche, néanmoins, sur le plan de la pratique religieuse et politique, en prônant un islam radical, et surtout dans son rejet de la présence étrangère sur le sol afghan. D'où les alliances de circonstance passées avec les talibans depuis la chute du régime en 2001 et le déploiement des forces de la coalition en Afghanistan. A mesure que se profile le retrait des troupes de l'Otan, le Hezb-e-Islami tente de jouer sa propre carte, pour ne pas se trouver écarté du pouvoir à l'issue de négociations entre l'actuel pouvoir, les Etats-Unis et les talibans. Le Hezb-e-islami dirigé par Gulbuddin Hekmatyar est considéré comme un groupe terroriste par la coalition.