La Banque mondiale (BM) est prête à mobiliser l'expertise internationale nécessaire pour appuyer les programmes de réformes que l'Algérie souhaite développer, a déclaré la vice-présidente de la Banque mondiale pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena), Inger Andersen. La Banque mondiale (BM) est prête à mobiliser l'expertise internationale nécessaire pour appuyer les programmes de réformes que l'Algérie souhaite développer, a déclaré la vice-présidente de la Banque mondiale pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena), Inger Andersen. "La BM est à l'écoute des priorités du gouvernement algérien", a indiqué Mme Andersen, qui effectue une visite de travail de trois jours en Algérie, à l'issue des discussions avec des hauts responsables algériens. L'institution financière internationale "est prête à mobiliser l'expertise internationale nécessaire, notamment pour appuyer les programmes de modernisation et de réformes dans les domaines où le gouvernement algérien souhaite coopérer avec l'institution", a indiqué Mme Andersen, citée par un communiqué du ministère des Finances. La vice-présidente de la BM a eu, mardi, des entretiens avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le ministre des Finances, Karim Djoudi, également gouverneur de l'Algérie auprès de la BM, et le ministre de l'Energie et les Mines, Youcef Yousfi. Mme Andersen a été également reçue par le ministre de l'Agriculture et du Développement Rural, Rachid Benaïssa, la ministre de la Solidarité nationale et de la Famille, Souad Bendjabellah, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, et le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohammed Laksaci. L'Algérie et la BM sont liées par un cadre de partenariat stratégique sur la période 2011-2014, qui couvre des activités d'assistance technique en appui à certaines actions du gouvernement algérien notamment dans les domaines de l'agriculture, des finances, de l'environnement, de la prospective et de la statistique et de l'évaluation des politiques publiques. Les rencontres entre la représentante de la BM et les responsables algériens ont permis également de "procéder à un échange de vues sur les priorités de développement en Algérie et les moyens de les accompagner à travers des appuis techniques et de transfert de savoir-faire", souligne le communiqué. "Cet accompagnement doit faire bénéficier l'Algérie de l'expertise de la BM et des expériences internationales dans certains domaines", ajoute la même source.L'objet de cette collaboration est d'appuyer la mise en oeuvre d'actions spécifiques du gouvernement qui oeuvrent au renforcement de la croissance et à la diversification économique au bénéfice de la population algérienne. Mme Andersen a aussi rencontré, lors de cette visite, les membres du Comité national "Doing Business", présidé par le ministère de l'Industrie. La rencontre "a permis de mieux appréhender les perspectives pour améliorer le climat des affaires en Algérie, un des enjeux de développement auxquels fait face le pays", selon la même source. L'Algérie a été classée 152e dans le rapport Doing business 2013 de la Banque mondiale (150e en 2012), mesurant le climat des affaires dans 185 économies mondiales. "La BM est à l'écoute des priorités du gouvernement algérien", a indiqué Mme Andersen, qui effectue une visite de travail de trois jours en Algérie, à l'issue des discussions avec des hauts responsables algériens. L'institution financière internationale "est prête à mobiliser l'expertise internationale nécessaire, notamment pour appuyer les programmes de modernisation et de réformes dans les domaines où le gouvernement algérien souhaite coopérer avec l'institution", a indiqué Mme Andersen, citée par un communiqué du ministère des Finances. La vice-présidente de la BM a eu, mardi, des entretiens avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le ministre des Finances, Karim Djoudi, également gouverneur de l'Algérie auprès de la BM, et le ministre de l'Energie et les Mines, Youcef Yousfi. Mme Andersen a été également reçue par le ministre de l'Agriculture et du Développement Rural, Rachid Benaïssa, la ministre de la Solidarité nationale et de la Famille, Souad Bendjabellah, le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, et le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohammed Laksaci. L'Algérie et la BM sont liées par un cadre de partenariat stratégique sur la période 2011-2014, qui couvre des activités d'assistance technique en appui à certaines actions du gouvernement algérien notamment dans les domaines de l'agriculture, des finances, de l'environnement, de la prospective et de la statistique et de l'évaluation des politiques publiques. Les rencontres entre la représentante de la BM et les responsables algériens ont permis également de "procéder à un échange de vues sur les priorités de développement en Algérie et les moyens de les accompagner à travers des appuis techniques et de transfert de savoir-faire", souligne le communiqué. "Cet accompagnement doit faire bénéficier l'Algérie de l'expertise de la BM et des expériences internationales dans certains domaines", ajoute la même source.L'objet de cette collaboration est d'appuyer la mise en oeuvre d'actions spécifiques du gouvernement qui oeuvrent au renforcement de la croissance et à la diversification économique au bénéfice de la population algérienne. Mme Andersen a aussi rencontré, lors de cette visite, les membres du Comité national "Doing Business", présidé par le ministère de l'Industrie. La rencontre "a permis de mieux appréhender les perspectives pour améliorer le climat des affaires en Algérie, un des enjeux de développement auxquels fait face le pays", selon la même source. L'Algérie a été classée 152e dans le rapport Doing business 2013 de la Banque mondiale (150e en 2012), mesurant le climat des affaires dans 185 économies mondiales.