L'envoyé spécial du Premier ministre britannique, Lord Richard Risby, a indiqué, samedi à Alger, que son pays voulait devenir le partenaire européen de prédilection de l'Algérie, minimisant l'impact de l'attaque terroriste de Tiguentourine sur la présence économique britannique dans le pays. L'envoyé spécial du Premier ministre britannique, Lord Richard Risby, a indiqué, samedi à Alger, que son pays voulait devenir le partenaire européen de prédilection de l'Algérie, minimisant l'impact de l'attaque terroriste de Tiguentourine sur la présence économique britannique dans le pays. "Notre objectif est que l'Algérie puisse nous regarder comme son partenaire européen de choix", a déclaré M. Risby au cours d'un point de presse, animé au siège de l'ambassade britannique.Selon lui, les relations économiques algero-britanniques ne sont pas au niveau souhaité même si la Grande-Bretagne est présente en Algérie à travers des groupes de taille mondiale à l'instar du géant énergétique BP, du groupe bancaire HSBC et de l'entreprise de l'agroalimentaire Unilever. Lord Risby a tenu, dans l'exposé des perspectives de partenariat qu'il a présenté à la presse, à minimiser l'impact de l'attaque terroriste de Tiguentourine (Illizi) sur la présence économique britannique en Algérie. "Absolument non, la Grande-Bretagne n'a pas changé de vision sur l'Algérie" après cet acte terroriste, a-t-il répondu à une question sur d'éventuels reports ou gels de projets d'investissement britanniques en Algérie, après cette attaque perpétrée janvier dernier sur le site gazier et qui a coûté la vie à cinq employés de BP (British Petroleum). "L'Algérie est un pays stable et sécurisé. Ce n'est pas un acte isolé qui va changer notre vision de l'Algérie, les opportunités d'affaires pour les Britanniques restent intéressantes en Algérie", a-t-il dit à ce propos. "Tous ces articles (de presse) ne reflètent pas la réalité. BP reste très engagé en Algérie", affirme de son côté l'ambassadeur britannique Martyn Roper qui a animé le point de presse conjointement avec Lord Risby. L'envoyé spécial de David Cameron, qui effectue sa cinquième visite en Algérie pour promouvoir les relations économiques entre les deux pays, a souligné les efforts considérables entrepris durant les 12 derniers mois pour hisser cette coopération au niveau d'un partenariat stratégique. Il a indiqué que sa future visite en Algérie, prévue septembre prochain, pourrait être sanctionnée par la signature de contrats de partenariat dans les secteurs de la formation et de l'industrie pharmaceutique. Les discussions vont bon train pour qu'une entreprise britannique intervienne dans le programme de mise à niveau du secteur de la santé en Algérie et également dans la gestion de ses hôpitaux. Lord Risby a refusé de parler de blocages des investissements britanniques en Algérie, dû à un climat d'affaires défavorable. Selon lui, ces blocages existent de par le monde et même dans les pays les plus libéraux comme la Grande-Bretagne, où des entreprises se plaignent également d'entraves à l'investissement. "Nous avons créé des mécanismes avec mon homologue algérien,Youcef Yousfi, pour surmonter ces difficultés et nous allons travailler ensemble pour y parvenir", a-t-il dit. Dans le domaine de la formation, il est prévu de créer en Algérie un institut britannique de management et de rouvrir l'institut d'apprentissage de la langue anglaise, le British council. "Notre objectif est que l'Algérie puisse nous regarder comme son partenaire européen de choix", a déclaré M. Risby au cours d'un point de presse, animé au siège de l'ambassade britannique.Selon lui, les relations économiques algero-britanniques ne sont pas au niveau souhaité même si la Grande-Bretagne est présente en Algérie à travers des groupes de taille mondiale à l'instar du géant énergétique BP, du groupe bancaire HSBC et de l'entreprise de l'agroalimentaire Unilever. Lord Risby a tenu, dans l'exposé des perspectives de partenariat qu'il a présenté à la presse, à minimiser l'impact de l'attaque terroriste de Tiguentourine (Illizi) sur la présence économique britannique en Algérie. "Absolument non, la Grande-Bretagne n'a pas changé de vision sur l'Algérie" après cet acte terroriste, a-t-il répondu à une question sur d'éventuels reports ou gels de projets d'investissement britanniques en Algérie, après cette attaque perpétrée janvier dernier sur le site gazier et qui a coûté la vie à cinq employés de BP (British Petroleum). "L'Algérie est un pays stable et sécurisé. Ce n'est pas un acte isolé qui va changer notre vision de l'Algérie, les opportunités d'affaires pour les Britanniques restent intéressantes en Algérie", a-t-il dit à ce propos. "Tous ces articles (de presse) ne reflètent pas la réalité. BP reste très engagé en Algérie", affirme de son côté l'ambassadeur britannique Martyn Roper qui a animé le point de presse conjointement avec Lord Risby. L'envoyé spécial de David Cameron, qui effectue sa cinquième visite en Algérie pour promouvoir les relations économiques entre les deux pays, a souligné les efforts considérables entrepris durant les 12 derniers mois pour hisser cette coopération au niveau d'un partenariat stratégique. Il a indiqué que sa future visite en Algérie, prévue septembre prochain, pourrait être sanctionnée par la signature de contrats de partenariat dans les secteurs de la formation et de l'industrie pharmaceutique. Les discussions vont bon train pour qu'une entreprise britannique intervienne dans le programme de mise à niveau du secteur de la santé en Algérie et également dans la gestion de ses hôpitaux. Lord Risby a refusé de parler de blocages des investissements britanniques en Algérie, dû à un climat d'affaires défavorable. Selon lui, ces blocages existent de par le monde et même dans les pays les plus libéraux comme la Grande-Bretagne, où des entreprises se plaignent également d'entraves à l'investissement. "Nous avons créé des mécanismes avec mon homologue algérien,Youcef Yousfi, pour surmonter ces difficultés et nous allons travailler ensemble pour y parvenir", a-t-il dit. Dans le domaine de la formation, il est prévu de créer en Algérie un institut britannique de management et de rouvrir l'institut d'apprentissage de la langue anglaise, le British council.