Des pharmaciens participant à une journée de ''L'interne en pharmacie'', organisée par le CHU de Tizi-Ouzou, ont estimé ''nécessaire'' le renforcement du secteur de la chimie et des spécialités pharmaceutiques, en vue de concrétiser l'objectif de production assigné à l'industrie nationale de fabrication des médicaments. Des pharmaciens participant à une journée de ''L'interne en pharmacie'', organisée par le CHU de Tizi-Ouzou, ont estimé ''nécessaire'' le renforcement du secteur de la chimie et des spécialités pharmaceutiques, en vue de concrétiser l'objectif de production assigné à l'industrie nationale de fabrication des médicaments. "La contribution des entreprises nationales à la couverture des besoins du pays en médicaments est à peine de 30% actuellement'', a indiqué la pharmacienne résidente, Takhouaths Louisa, relevant que l'objectif visé à moyen terme est d'atteindre les 70%, ''pour peu que l'Etat accompagne les producteurs, notamment au plan d'approvisionnement en matières premières''. Dans une communication intitulée ''problématique et rupture de stocks'' qu'elle a présentée, la même intervenante a imputé les causes de la ''rareté cyclique'' des médicaments et des réactifs à un ensemble de facteurs, en citant, notamment, "l'insuffisance des prévisions des besoins en la matière, le manque de fiabilité dans la gestion du programme annuel d'importation et de gestion des stocks (des médicaments)''. Lenteur des procédures administratives et douanières, les complications des dispositions du code des marchés publics, notamment en ce qui concerne les soumissions, les exigences de médecins en matière de prescription des médicaments, ont été parmi d'autres contraintes mises en avant à cet égard. Dans ce contexte, cette pharmacienne a plaidé pour ''l'avènement de plus d'efficience'', le circuit de distribution des médicaments englobant les importateurs et les grossistes, en plus de la création d'unités spécialisées qui seront coiffées par les pharmacies centrales des CHU du pays, en leur conférant la mission de pourvoir en médicaments toutes les structures de santé publique implantées à travers le territoire national. Boehringer Ingelheim ouvre un nouveau bureau à Alger Boehringer Ingelheim, compagnie pharmaceutique phare dans le monde, a inauguré, hier, un bureau scientifique à Ouled Fayet dans la ville d'Alger. Après des années de représentation dans le pays via des agences de prestation, Boehringer Ingelheim s'étend en Afrique, le nouveau bureau constitue la première étape de cette expansion. Boehringer Ingelheim a également renforcé son équipe en Algérie sur le plan des d'affaires règlementaires et de l'information médicale. Le bureau scientifique de Boehringer Ingelheim mènera des activités de qualité dans les domaines thérapeutiques les plus courants en Algérie, telles que les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires, le diabète, ainsi que les maladies infectieuses. De plus, le bureau sera engagé dans la conception du produit et l'évaluation de sa qualité, à la lumière de standards établis et avec la mise en place de nouvelles normes de qualité. Sofiane Achi, directeur du bureau scientifique algérien de Boehringer Ingelheim MENA, a expliqué : ''Nous restons engagés à fournir des traitements innovants aux concitoyens algériens et de la région MENA. De plus, nous nous efforçons d'offrir des médicaments qui améliorent la qualité de vie de ceux qui souffrent notamment de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et respiratoires. Nous évoluons depuis nos débuts en Algérie en tant que compagnie pharmaceutique et visons à accomplir notre mission en tant que telle, bien au-delà de l'introduction de nos produits sur le marché. Notre objectif est de servir : nos patients en fournissant soins et expertise ; la communauté médicale en investissant dans la recherche et dans l'innovation ; et la société en général en mettant en place des programmes d'enseignement dans les domaines de la pharmacologie et des soins de santé. En inaugurant ce nouveau bureau, nous espérons souligner notre engagement à contribuer au développement de l'industrie pharmaceutique en Algérie.'' Karim El Alaoui, directeur exécutif de Boehringer Ingelheim Mena, a affirmé de son côté : ''L'Algérie est un important marché pour nous en raison de son emplacement stratégique et de son rang en tant que deuxième plus grand marché pharmaceutique en Afrique, faisant de lui le choix idéal pour l'établissement de notre plus récent bureau scientifique. Nous croyons que la région MENA n'est pas suffisamment sensibilisée aux maladies les plus répandues, résultant en un sous-diagnostic ou en un diagnostic erroné. Nous visons à informer la société, à améliorer la qualité de vie de nos patients et à faire une contribution plus importante pour des soins de santé durables dans la région.'' Le nouveau bureau a été inauguré en présence des cadres de Boehringer Ingelheim de la région MENA, des autorités algériennes, des leaders d'opinion de renom, des partenaires, ainsi que des représentants de l'ambassade allemande et de la Chambre algéro-allemande de commerce. Au total, plus de 100 personnes ont célébré l'ouverture de ce nouveau bureau scientifique. L'Algérie s'est imposée comme l'un des marchés pharmaceutiques les plus prometteurs de la région durant les dernières décennies, avec le début de libéralisation de l'économie par le gouvernement. Même si les dépenses par habitant des soins de santé et des médicaments restent modestes par rapport à d'autres pays de la région MENA, la place de l'Algérie comme principal exportateur de pétrole et de gaz jouera un rôle déterminant dans la modernisation du système des soins de santé sur les années à venir. "La contribution des entreprises nationales à la couverture des besoins du pays en médicaments est à peine de 30% actuellement'', a indiqué la pharmacienne résidente, Takhouaths Louisa, relevant que l'objectif visé à moyen terme est d'atteindre les 70%, ''pour peu que l'Etat accompagne les producteurs, notamment au plan d'approvisionnement en matières premières''. Dans une communication intitulée ''problématique et rupture de stocks'' qu'elle a présentée, la même intervenante a imputé les causes de la ''rareté cyclique'' des médicaments et des réactifs à un ensemble de facteurs, en citant, notamment, "l'insuffisance des prévisions des besoins en la matière, le manque de fiabilité dans la gestion du programme annuel d'importation et de gestion des stocks (des médicaments)''. Lenteur des procédures administratives et douanières, les complications des dispositions du code des marchés publics, notamment en ce qui concerne les soumissions, les exigences de médecins en matière de prescription des médicaments, ont été parmi d'autres contraintes mises en avant à cet égard. Dans ce contexte, cette pharmacienne a plaidé pour ''l'avènement de plus d'efficience'', le circuit de distribution des médicaments englobant les importateurs et les grossistes, en plus de la création d'unités spécialisées qui seront coiffées par les pharmacies centrales des CHU du pays, en leur conférant la mission de pourvoir en médicaments toutes les structures de santé publique implantées à travers le territoire national. Boehringer Ingelheim ouvre un nouveau bureau à Alger Boehringer Ingelheim, compagnie pharmaceutique phare dans le monde, a inauguré, hier, un bureau scientifique à Ouled Fayet dans la ville d'Alger. Après des années de représentation dans le pays via des agences de prestation, Boehringer Ingelheim s'étend en Afrique, le nouveau bureau constitue la première étape de cette expansion. Boehringer Ingelheim a également renforcé son équipe en Algérie sur le plan des d'affaires règlementaires et de l'information médicale. Le bureau scientifique de Boehringer Ingelheim mènera des activités de qualité dans les domaines thérapeutiques les plus courants en Algérie, telles que les maladies cardiovasculaires, les maladies respiratoires, le diabète, ainsi que les maladies infectieuses. De plus, le bureau sera engagé dans la conception du produit et l'évaluation de sa qualité, à la lumière de standards établis et avec la mise en place de nouvelles normes de qualité. Sofiane Achi, directeur du bureau scientifique algérien de Boehringer Ingelheim MENA, a expliqué : ''Nous restons engagés à fournir des traitements innovants aux concitoyens algériens et de la région MENA. De plus, nous nous efforçons d'offrir des médicaments qui améliorent la qualité de vie de ceux qui souffrent notamment de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et respiratoires. Nous évoluons depuis nos débuts en Algérie en tant que compagnie pharmaceutique et visons à accomplir notre mission en tant que telle, bien au-delà de l'introduction de nos produits sur le marché. Notre objectif est de servir : nos patients en fournissant soins et expertise ; la communauté médicale en investissant dans la recherche et dans l'innovation ; et la société en général en mettant en place des programmes d'enseignement dans les domaines de la pharmacologie et des soins de santé. En inaugurant ce nouveau bureau, nous espérons souligner notre engagement à contribuer au développement de l'industrie pharmaceutique en Algérie.'' Karim El Alaoui, directeur exécutif de Boehringer Ingelheim Mena, a affirmé de son côté : ''L'Algérie est un important marché pour nous en raison de son emplacement stratégique et de son rang en tant que deuxième plus grand marché pharmaceutique en Afrique, faisant de lui le choix idéal pour l'établissement de notre plus récent bureau scientifique. Nous croyons que la région MENA n'est pas suffisamment sensibilisée aux maladies les plus répandues, résultant en un sous-diagnostic ou en un diagnostic erroné. Nous visons à informer la société, à améliorer la qualité de vie de nos patients et à faire une contribution plus importante pour des soins de santé durables dans la région.'' Le nouveau bureau a été inauguré en présence des cadres de Boehringer Ingelheim de la région MENA, des autorités algériennes, des leaders d'opinion de renom, des partenaires, ainsi que des représentants de l'ambassade allemande et de la Chambre algéro-allemande de commerce. Au total, plus de 100 personnes ont célébré l'ouverture de ce nouveau bureau scientifique. L'Algérie s'est imposée comme l'un des marchés pharmaceutiques les plus prometteurs de la région durant les dernières décennies, avec le début de libéralisation de l'économie par le gouvernement. Même si les dépenses par habitant des soins de santé et des médicaments restent modestes par rapport à d'autres pays de la région MENA, la place de l'Algérie comme principal exportateur de pétrole et de gaz jouera un rôle déterminant dans la modernisation du système des soins de santé sur les années à venir.