Un plan visant à doter les organismes nationaux de normalisation de moyens humains et matériels nécessaires pour leur permettre d'élaborer des normes techniques pour contrôler la conformité des produits est en préparation au ministère de l'Industrie, a annoncé le ministre du Commerce, Mustapha Benbada. Un plan visant à doter les organismes nationaux de normalisation de moyens humains et matériels nécessaires pour leur permettre d'élaborer des normes techniques pour contrôler la conformité des produits est en préparation au ministère de l'Industrie, a annoncé le ministre du Commerce, Mustapha Benbada. "Un plan est en préparation au ministère de l'Industrie pour doter les structures nationales de normalisation de moyens humains et matériels nécessaires à leur bon fonctionnement afin qu'elles puissent assurer leur activité de normalisation à travers l'élaboration des normes techniques", a-t-il déclaré à la presse en marge d'une visite à la Foire internationale d'Alger. L'infrastructure mise sur pied par l'Algérie dans le domaine de la normalisation a permis la création de nombreuses structures, l'Ianor pour les normes, l'Inapi pour la protection industrielle, l'Onml pour la métrologie légale et Algerac pour l'accréditation. Toutefois, "l'Algérie accuse un grand retard dans le domaine", a estimé Benbada, soulignant la nécessité d'"investir dans la normalisation" pour établir les normes qui fournissent des règles, des lignes directrices, des caractéristiques ou des méthodes de production données à respecter. Il a plaidé également pour la multiplication des laboratoires d'essai afin de pouvoir "protéger efficacement la production nationale, respecter les normes de l'environnement et disposer de produits de qualité conformes aux standards internationaux". Le ministre a relevé avec "satisfaction" les progrès réalisés dans l'amélioration de la qualité du produit national, mettant l'accent sur les bienfaits de la concurrence. "L'ouverture commerciale n'a pas que des méfaits. Au contraire, la concurrence a permis aux producteurs nationaux de chercher l'amélioration continue", a-t-il souligné. Selon Benbada, la concurrence a des retombées bénéfiques sur l'entreprise algérienne qui, depuis la libéralisation économique, est contrainte d'imaginer de meilleurs produits et méthodes de production, ce qui a permis d'améliorer l'offre et les choix du consommateur. Il a rappelé le rôle de l'Etat dans l'établissement d'un code de conduite qui favorise une concurrence saine et loyale sur le marché national. Le ministre a affirmé, par ailleurs, que les pouvoirs publics "n'ont nullement l'intention de réviser" la règle sur l'investissement étranger, dite des 51-49%. "Un plan est en préparation au ministère de l'Industrie pour doter les structures nationales de normalisation de moyens humains et matériels nécessaires à leur bon fonctionnement afin qu'elles puissent assurer leur activité de normalisation à travers l'élaboration des normes techniques", a-t-il déclaré à la presse en marge d'une visite à la Foire internationale d'Alger. L'infrastructure mise sur pied par l'Algérie dans le domaine de la normalisation a permis la création de nombreuses structures, l'Ianor pour les normes, l'Inapi pour la protection industrielle, l'Onml pour la métrologie légale et Algerac pour l'accréditation. Toutefois, "l'Algérie accuse un grand retard dans le domaine", a estimé Benbada, soulignant la nécessité d'"investir dans la normalisation" pour établir les normes qui fournissent des règles, des lignes directrices, des caractéristiques ou des méthodes de production données à respecter. Il a plaidé également pour la multiplication des laboratoires d'essai afin de pouvoir "protéger efficacement la production nationale, respecter les normes de l'environnement et disposer de produits de qualité conformes aux standards internationaux". Le ministre a relevé avec "satisfaction" les progrès réalisés dans l'amélioration de la qualité du produit national, mettant l'accent sur les bienfaits de la concurrence. "L'ouverture commerciale n'a pas que des méfaits. Au contraire, la concurrence a permis aux producteurs nationaux de chercher l'amélioration continue", a-t-il souligné. Selon Benbada, la concurrence a des retombées bénéfiques sur l'entreprise algérienne qui, depuis la libéralisation économique, est contrainte d'imaginer de meilleurs produits et méthodes de production, ce qui a permis d'améliorer l'offre et les choix du consommateur. Il a rappelé le rôle de l'Etat dans l'établissement d'un code de conduite qui favorise une concurrence saine et loyale sur le marché national. Le ministre a affirmé, par ailleurs, que les pouvoirs publics "n'ont nullement l'intention de réviser" la règle sur l'investissement étranger, dite des 51-49%.