Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, au deuxième jour de sa visite officielle en Algérie, est l'hôte de la wilaya d'Oran, où il doit visiter, en compagnie de son homologue algérien, Abdelmalek Sellal, des infrastructures industrielles. Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, au deuxième jour de sa visite officielle en Algérie, est l'hôte de la wilaya d'Oran, où il doit visiter, en compagnie de son homologue algérien, Abdelmalek Sellal, des infrastructures industrielles. Les deux Premiers ministres et les délégations qui les accompagnent se sont rendus dans la daïra de Bethioua où ils doivent visiter deux complexes pétrochimiques relevant de la zone industrielle d'Arzew et la nouvelle aciérie, réalisée par la société turque de droit algérien « Tosyali Iron et Steel ». Un exemple de partenariat algéro-turc qui devait se renforcer avec la visite du Premier ministre turc. Dans ce contexte, Abdelmalek Sellal a estimé à l'ouverture du Forum d'affaires algéro-turc qui se tient à Alger que « le partenariat avec la Turquie est pour nous l'un des instruments d'accompagnement et de concrétisation » d'une transition économique « urgente et indispensable ». Pour le Premier ministre Turc, le développement des relations algéro-turques à un niveau supérieur est une « priorité » pour le gouvernement turc. Recep Tayyip Erdogan a appelé les opérateurs des deux pays, essentiellement du secteur privé, à exploiter les potentialités des deux économies, notamment via des investissements dans les infrastructures de base, l'industrie électrique et électroménager, l'immobilier, le textile et l'agroalimentaire. Ces secteurs sont, « éligibles à une coopération mutuellement bénéfique pour nos deux pays », a dit le Premier ministre, dans une allocution prononcée lors de ce forum. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, identifie d'autres comme l'énergie et les mines, l'industrie, l'agriculture et le tourisme qui peuvent constituer aussi des secteurs potentiels pouvant tirer vers le haut le partenariat entre les deux pays. Toujours est-il que l'Algérie et la Turquie ambitionnent de franchir le seuil des 10 milliards de dollars dans leurs échanges commerciaux. Un souhait exprimé par le Premier ministre turc qui assure que son pays souhaite développer ses échanges commerciaux avec l'Algérie, pour les porter à terme à 10 milliards de dollars, contre environ 5 mds USD en 2012. Ce souhait est exprimé aussi par Abdelmalek Sellal qui se dit satisfait de constater que les échanges commerciaux entre les deux pays, qui dépassent les 5 milliards de dollars actuellement, « ont enregistré une densité remarquable, puisqu'ils ont quasiment quintuplé durant la dernière décennie » et estime que « l'essor qu'ont connu nos relations économiques ces dernières années est appelé indéniablement à se consolider eu égard aux potentialités et complémentarités que recèlent les économies » des deux pays. Dans ce sens, le Premier ministre turc a annoncé, dans ce sens, que l'accord portant sur l'exportation du gaz algérien vers la Turquie, qui arrivera à terme en 2014, sera prolongé pour une période de dix ans. « L'accord d'achat de 4 milliards de m3 de gaz naturel par an de l'Algérie sera prolongé en 2014 pour une durée de 10 ans », a-t-il annoncé lors de ce forum. Les relations bilatérales se sont considérablement renforcées ces dernières années, notamment après la visite du Premier ministre turc en Algérie en 2006 qui avait été couronnée par la signature d'un accord de partenariat stratégique et de 51 accords d'investissement dans divers secteurs. S'inscrivant dans la ligne droite de son homologue algérien, Erdogan estime lui aussi que le développement des relations algéro-turques à un niveau supérieur est une « priorité » pour son gouvernement turc, se félicitant que la contribution des entreprises turques aux projets de développement en Algérie qui accueille plus de 160 entreprises qui ont réalisé ces dernières années, « 195 projets dans le domaine de la construction évalués à 6,9 milliards de dollars ». «Je renouvelle à la communauté d'affaires (turque) notre ferme volonté d'œuvrer à bâtir entre nos deux pays, un "partenariat exemplaire" au service des intérêts mutuels de nos deux peuples frères », a indiqué pour sa part Abdelmalek Sellal qui a souligné que les hommes d'affaires turcs «trouveront en Algérie de grandes opportunités d'affaires et des facilitations pour fructifier leurs investissements et contribuer à l'entreprise de diversification» de la coopération économique entre les deux pays. Les deux Premiers ministres et les délégations qui les accompagnent se sont rendus dans la daïra de Bethioua où ils doivent visiter deux complexes pétrochimiques relevant de la zone industrielle d'Arzew et la nouvelle aciérie, réalisée par la société turque de droit algérien « Tosyali Iron et Steel ». Un exemple de partenariat algéro-turc qui devait se renforcer avec la visite du Premier ministre turc. Dans ce contexte, Abdelmalek Sellal a estimé à l'ouverture du Forum d'affaires algéro-turc qui se tient à Alger que « le partenariat avec la Turquie est pour nous l'un des instruments d'accompagnement et de concrétisation » d'une transition économique « urgente et indispensable ». Pour le Premier ministre Turc, le développement des relations algéro-turques à un niveau supérieur est une « priorité » pour le gouvernement turc. Recep Tayyip Erdogan a appelé les opérateurs des deux pays, essentiellement du secteur privé, à exploiter les potentialités des deux économies, notamment via des investissements dans les infrastructures de base, l'industrie électrique et électroménager, l'immobilier, le textile et l'agroalimentaire. Ces secteurs sont, « éligibles à une coopération mutuellement bénéfique pour nos deux pays », a dit le Premier ministre, dans une allocution prononcée lors de ce forum. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, identifie d'autres comme l'énergie et les mines, l'industrie, l'agriculture et le tourisme qui peuvent constituer aussi des secteurs potentiels pouvant tirer vers le haut le partenariat entre les deux pays. Toujours est-il que l'Algérie et la Turquie ambitionnent de franchir le seuil des 10 milliards de dollars dans leurs échanges commerciaux. Un souhait exprimé par le Premier ministre turc qui assure que son pays souhaite développer ses échanges commerciaux avec l'Algérie, pour les porter à terme à 10 milliards de dollars, contre environ 5 mds USD en 2012. Ce souhait est exprimé aussi par Abdelmalek Sellal qui se dit satisfait de constater que les échanges commerciaux entre les deux pays, qui dépassent les 5 milliards de dollars actuellement, « ont enregistré une densité remarquable, puisqu'ils ont quasiment quintuplé durant la dernière décennie » et estime que « l'essor qu'ont connu nos relations économiques ces dernières années est appelé indéniablement à se consolider eu égard aux potentialités et complémentarités que recèlent les économies » des deux pays. Dans ce sens, le Premier ministre turc a annoncé, dans ce sens, que l'accord portant sur l'exportation du gaz algérien vers la Turquie, qui arrivera à terme en 2014, sera prolongé pour une période de dix ans. « L'accord d'achat de 4 milliards de m3 de gaz naturel par an de l'Algérie sera prolongé en 2014 pour une durée de 10 ans », a-t-il annoncé lors de ce forum. Les relations bilatérales se sont considérablement renforcées ces dernières années, notamment après la visite du Premier ministre turc en Algérie en 2006 qui avait été couronnée par la signature d'un accord de partenariat stratégique et de 51 accords d'investissement dans divers secteurs. S'inscrivant dans la ligne droite de son homologue algérien, Erdogan estime lui aussi que le développement des relations algéro-turques à un niveau supérieur est une « priorité » pour son gouvernement turc, se félicitant que la contribution des entreprises turques aux projets de développement en Algérie qui accueille plus de 160 entreprises qui ont réalisé ces dernières années, « 195 projets dans le domaine de la construction évalués à 6,9 milliards de dollars ». «Je renouvelle à la communauté d'affaires (turque) notre ferme volonté d'œuvrer à bâtir entre nos deux pays, un "partenariat exemplaire" au service des intérêts mutuels de nos deux peuples frères », a indiqué pour sa part Abdelmalek Sellal qui a souligné que les hommes d'affaires turcs «trouveront en Algérie de grandes opportunités d'affaires et des facilitations pour fructifier leurs investissements et contribuer à l'entreprise de diversification» de la coopération économique entre les deux pays.