Le directeur de l'Office national des examens et concours (Onec), Ali Salhi, a affirmé hier que le dossier concernant les incidents survenus dans certains centres d'examen lors des épreuves du baccalauréat-session juin 2013 est "en cours d'examen au niveau de l'Onec". Le directeur de l'Office national des examens et concours (Onec), Ali Salhi, a affirmé hier que le dossier concernant les incidents survenus dans certains centres d'examen lors des épreuves du baccalauréat-session juin 2013 est "en cours d'examen au niveau de l'Onec". "L'étude du dossier en question passe par un examen minutieux de tous les rapports adressés à l'Onec par les chefs de centres d'examen, les surveillants et les observateurs", a souligné M. Salhi dans une déclaration à l'APS. Il a précisé, dans ce contexte, que les résultats de l'enquête et de l'étude du dossier seront transmis aux commissions spécialisées pour trancher "de manière légale les quelques dépassements" enregistrés au niveau de certains centres d'examen, précisant que l'Onec "prendra, alors, les mesures qui s'imposeront et veillera à l'application des lois en vigueur". M. Salhi a, par ailleurs, déploré les informations "amplifiées par la presse qui a donné à ce dossier une importance plus grande que celle qu'il revêt". Certains centres d'examen ont connu des incidents qui se sont produits lorsque des élèves ont commencé à casser des chaises et des tables et sont même allés jusqu'à agresser les surveillants -d'où l'intervention des éléments des services de sécurité - dès qu'ils ont pris connaissance des sujets de philosophie, et ce au motif que ces sujets n'ont pas figuré dans leur programme scolaire. L'Onec avait affirmé que les trois sujets facultatifs de l'examen de philosophie des branches lettres et sciences humaines et lettres-philosophie n'"ont pas dérogé au programme officiel". L'Onec avait décidé d'ouvrir une enquête sur les incidents ayant entaché le déroulement des épreuves au 3e jour de l'examen du baccalauréat. "L'étude du dossier en question passe par un examen minutieux de tous les rapports adressés à l'Onec par les chefs de centres d'examen, les surveillants et les observateurs", a souligné M. Salhi dans une déclaration à l'APS. Il a précisé, dans ce contexte, que les résultats de l'enquête et de l'étude du dossier seront transmis aux commissions spécialisées pour trancher "de manière légale les quelques dépassements" enregistrés au niveau de certains centres d'examen, précisant que l'Onec "prendra, alors, les mesures qui s'imposeront et veillera à l'application des lois en vigueur". M. Salhi a, par ailleurs, déploré les informations "amplifiées par la presse qui a donné à ce dossier une importance plus grande que celle qu'il revêt". Certains centres d'examen ont connu des incidents qui se sont produits lorsque des élèves ont commencé à casser des chaises et des tables et sont même allés jusqu'à agresser les surveillants -d'où l'intervention des éléments des services de sécurité - dès qu'ils ont pris connaissance des sujets de philosophie, et ce au motif que ces sujets n'ont pas figuré dans leur programme scolaire. L'Onec avait affirmé que les trois sujets facultatifs de l'examen de philosophie des branches lettres et sciences humaines et lettres-philosophie n'"ont pas dérogé au programme officiel". L'Onec avait décidé d'ouvrir une enquête sur les incidents ayant entaché le déroulement des épreuves au 3e jour de l'examen du baccalauréat.