Le chef de la division internationale des migrations à l'organisation de coopération et de developpement économique (OCDE), Jean-Christophe Dumont, a indiqué lundi qu'il y avait 241 millions de migrants internationaux de par le monde, soit près de 140 millions de plus qu'il y a 50 ans, parmi eux, plus de 100 millions vivent dans les pays de l'organisation. Le chef de la division internationale des migrations à l'organisation de coopération et de developpement économique (OCDE), Jean-Christophe Dumont, a indiqué lundi qu'il y avait 241 millions de migrants internationaux de par le monde, soit près de 140 millions de plus qu'il y a 50 ans, parmi eux, plus de 100 millions vivent dans les pays de l'organisation. "Ces migrants apportent avec eux un large éventail de compétences formelles et informelles, constituant un atout majeur pour nos économies et nos sociétés", a-t-il affirmé lors du débat instauré à la Conférence ministérielle sur les communautés établies à l'étranger réunie à Paris. Il a reconnu aussi que ces migrants constituent "un potentiel humain considérable parfois sous-évalué et souvent sous- utilisé". "Près d'un tiers des émigrés récents installés dans les pays de l'OCDE ont un diplôme universitaire contre moins de 6 % en moyenne dans la population des pays d'origine", a-t-il indiqué, soulignant que si ce constat peut faire craindre un exode des cerveaux, il illustre également le "potentiel considérable" que représentent les compétences des émigrés dans leur pays d'origine. Pour Christophe Dumont, la contribution de la diaspora au développement économique et social des pays d'origine, "quels qu'ils soient", dépend de nombreux facteurs. Il a ainsi cité sa taille, son niveau de qualification, ses ressources, ses caractéristiques démographiques, ou l'ancienneté des vagues migratoires, relevant que cette contribution dépend aussi de la dynamique des communautés et de la nature des liens que la diaspora entretient avec le pays d'origine. Il a cependant noté que les conditions économiques, sociales et politiques qui prévalent dans le pays d'origine et l'appui institutionnel dont peut bénéficier la diaspora "doivent être prises en compte". La Conférence ministérielle sur les communautés nationales à l'étrangers'est déroulée en présence d'une trentaine de pays dont l'Algérie, représentée par son secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli qui a pris part à cette rencontre, à l'invitation de son homologue française, Helene Conway-Mouret, ainsi que de nombreux experts et représentants d'organisations internationales . "Ces migrants apportent avec eux un large éventail de compétences formelles et informelles, constituant un atout majeur pour nos économies et nos sociétés", a-t-il affirmé lors du débat instauré à la Conférence ministérielle sur les communautés établies à l'étranger réunie à Paris. Il a reconnu aussi que ces migrants constituent "un potentiel humain considérable parfois sous-évalué et souvent sous- utilisé". "Près d'un tiers des émigrés récents installés dans les pays de l'OCDE ont un diplôme universitaire contre moins de 6 % en moyenne dans la population des pays d'origine", a-t-il indiqué, soulignant que si ce constat peut faire craindre un exode des cerveaux, il illustre également le "potentiel considérable" que représentent les compétences des émigrés dans leur pays d'origine. Pour Christophe Dumont, la contribution de la diaspora au développement économique et social des pays d'origine, "quels qu'ils soient", dépend de nombreux facteurs. Il a ainsi cité sa taille, son niveau de qualification, ses ressources, ses caractéristiques démographiques, ou l'ancienneté des vagues migratoires, relevant que cette contribution dépend aussi de la dynamique des communautés et de la nature des liens que la diaspora entretient avec le pays d'origine. Il a cependant noté que les conditions économiques, sociales et politiques qui prévalent dans le pays d'origine et l'appui institutionnel dont peut bénéficier la diaspora "doivent être prises en compte". La Conférence ministérielle sur les communautés nationales à l'étrangers'est déroulée en présence d'une trentaine de pays dont l'Algérie, représentée par son secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli qui a pris part à cette rencontre, à l'invitation de son homologue française, Helene Conway-Mouret, ainsi que de nombreux experts et représentants d'organisations internationales .