Le taux de croissance en Algérie qui était de 2,5 % en 2012 est passé à 3,3 % en 2013 alors qu'il atteindra 3,4 % en 2014, selon les statistiques prévisionnelles de l'Observatoire économique méditerranéen situé à Marseille (France) qui s'est basé sur les données chiffrées du Fonds monétaire international. Le taux de croissance en Algérie qui était de 2,5 % en 2012 est passé à 3,3 % en 2013 alors qu'il atteindra 3,4 % en 2014, selon les statistiques prévisionnelles de l'Observatoire économique méditerranéen situé à Marseille (France) qui s'est basé sur les données chiffrées du Fonds monétaire international. Ce site souligne que le "World Economic Outlook" publié en avril 2013 par le FMI prévoit une croissance mondiale de 3,15% pour l'année 2013 et 4% pour l'année 2014. La situation dans les pays MED est assez contrastée. Il estime "qu`au niveau mondial, la situation diverge pour les pays industrialisés et les pays émergents. Ces derniers bénéficient en effet d'une accélération plus rapide de la croissance, après avoir connu des périodes de ralentissement au cours de l'année 2012. Ce fléchissement de la croissance était dû à la baisse de la demande des produits manufacturés". Cet observatoire indique également que dans les pays de la région MENA (Afrique du Nord et Moyen-Orient), les perspectives de croissance restent principalement fondées sur la production et l'exportation d'hydrocarbures, mais elles sont également dépendantes de la conjoncture économique des pays industrialisés et des transitions politiques actuelles. Après une croissance d'environ 4,75% pour l'année 2012, la région MENA devrait connaître un ralentissement de la croissance : la hausse moyenne des PIB atteindra 3% seulement en 2013. Les chiffres sont très variables d'un pays MED à l'autre, précise t-il ajoutant que l`Egypte aura un taux de croissance de 3,3 % en 2014 tandis que la Tunisie et le Maroc auront des taux respectifs en 2014 de 4,5 % et 4,8 %. En fait, le FMI préconise la mise en place de réformes visant à accélérer la diversification des économies MED, encore trop tributaires des variations du prix du pétrole, ainsi que la création d'emplois dans les différents secteurs d'activité, selon le site économique. Le FMI annonce donc des perspectives économiques médianes et non alarmistes pour les pays du Maghreb arabe sachant que la Tunisie secouée par des troubles et des contestations sociales avaient des difficultés financières graves, ce qui a nécessité des prêts de la part de l`Union européenne pour relever l`économie délabrée de ce pays, notamment après le printemps du Jasmin. Ce site souligne que le "World Economic Outlook" publié en avril 2013 par le FMI prévoit une croissance mondiale de 3,15% pour l'année 2013 et 4% pour l'année 2014. La situation dans les pays MED est assez contrastée. Il estime "qu`au niveau mondial, la situation diverge pour les pays industrialisés et les pays émergents. Ces derniers bénéficient en effet d'une accélération plus rapide de la croissance, après avoir connu des périodes de ralentissement au cours de l'année 2012. Ce fléchissement de la croissance était dû à la baisse de la demande des produits manufacturés". Cet observatoire indique également que dans les pays de la région MENA (Afrique du Nord et Moyen-Orient), les perspectives de croissance restent principalement fondées sur la production et l'exportation d'hydrocarbures, mais elles sont également dépendantes de la conjoncture économique des pays industrialisés et des transitions politiques actuelles. Après une croissance d'environ 4,75% pour l'année 2012, la région MENA devrait connaître un ralentissement de la croissance : la hausse moyenne des PIB atteindra 3% seulement en 2013. Les chiffres sont très variables d'un pays MED à l'autre, précise t-il ajoutant que l`Egypte aura un taux de croissance de 3,3 % en 2014 tandis que la Tunisie et le Maroc auront des taux respectifs en 2014 de 4,5 % et 4,8 %. En fait, le FMI préconise la mise en place de réformes visant à accélérer la diversification des économies MED, encore trop tributaires des variations du prix du pétrole, ainsi que la création d'emplois dans les différents secteurs d'activité, selon le site économique. Le FMI annonce donc des perspectives économiques médianes et non alarmistes pour les pays du Maghreb arabe sachant que la Tunisie secouée par des troubles et des contestations sociales avaient des difficultés financières graves, ce qui a nécessité des prêts de la part de l`Union européenne pour relever l`économie délabrée de ce pays, notamment après le printemps du Jasmin.