La wilaya de Souk Ahras affiche ses projets de capitale agricole à la faveur de la visite de travail et d'inspection effectuée hier par le Premier ministre Abdelmalek Sellal. La wilaya vient du reste de se doter d'un institut des sciences agricoles et vétérinaires de 1.000 places pédagogiques. La wilaya de Souk Ahras affiche ses projets de capitale agricole à la faveur de la visite de travail et d'inspection effectuée hier par le Premier ministre Abdelmalek Sellal. La wilaya vient du reste de se doter d'un institut des sciences agricoles et vétérinaires de 1.000 places pédagogiques. Implanté dans la commune de Taoura, cet institut qui a coûté la bagatelle de 1,4 milliard de dinars, confirme ainsi, si besoin est, cette wilaya dans sa prétention à servir de wilaya pilote pour le développement de la production laitière dans le pays. Une autre infrastructure vient renforcer ce potentiel agricole, il s'agit de l'exploitation Tidjani- Laïd, du nom de son propriétaire privé. Visitée par le Premier ministre, cette ferme qui s'étend sur 302 hectares, comporte 3 bâtiments d'élevage, et un hangar de stockage. Elle peut abriter des cultures céréalières et fourragères dont l'avoine et l'orge en vert, la luzerne et le maïs. Sellal a inspecté également un barrage sur l'oued Ouldjet Mellegue, (en voie de réalisation). D'un coût de 18,2 milliards de dinarss, cet ouvrage hydraulique est appelé à approvisionner en eau potable les communes de Ouenza et d'Ouinet. Dans la commune de Sedrata, le Premier ministre a inspecté le projet de réalisation de 3 marchés couverts doté de 40 box. A ce niveau il a décerné des décisions d'attribution à des chômeurs de la région. Comme à son habitude Abdelmalek Sellal a échangé quelques propos avec ces jeunes qui ont estimé que l'équipe de football de Sedrata manquait de « moyens ». A quoi Sellal a répondu sur le ton de la plaisanterie par un « vous ne cherchez que le matériel » avant de faire observer que jadis l'équipe de Sedrata était « plus forte ». Mais Souk Ahras ne veut pas négliger pour autant la culture. La wilaya est en train de réaliser une grande maison de la culture (4.578 m2) d'un coût de 4,5 milliards de dinars. La réception de cet établissement culturel est prévue en fin de l'année en cours. Le directeur de la culture, M. Manaa veut du reste relancer le festival de Khemissa, localité d'après lui qui renferme un théâtre berbère. Le dossier pour l'officialisation de ce festival est entre les mains du département de Khalida Toumi, nous attendons toujours, dira-t-il, « l'aval de la tutelle car l'événement est d'une importance capitale si on veut impulser une nouvelle dynamique à la culture locale. » Implanté dans la commune de Taoura, cet institut qui a coûté la bagatelle de 1,4 milliard de dinars, confirme ainsi, si besoin est, cette wilaya dans sa prétention à servir de wilaya pilote pour le développement de la production laitière dans le pays. Une autre infrastructure vient renforcer ce potentiel agricole, il s'agit de l'exploitation Tidjani- Laïd, du nom de son propriétaire privé. Visitée par le Premier ministre, cette ferme qui s'étend sur 302 hectares, comporte 3 bâtiments d'élevage, et un hangar de stockage. Elle peut abriter des cultures céréalières et fourragères dont l'avoine et l'orge en vert, la luzerne et le maïs. Sellal a inspecté également un barrage sur l'oued Ouldjet Mellegue, (en voie de réalisation). D'un coût de 18,2 milliards de dinarss, cet ouvrage hydraulique est appelé à approvisionner en eau potable les communes de Ouenza et d'Ouinet. Dans la commune de Sedrata, le Premier ministre a inspecté le projet de réalisation de 3 marchés couverts doté de 40 box. A ce niveau il a décerné des décisions d'attribution à des chômeurs de la région. Comme à son habitude Abdelmalek Sellal a échangé quelques propos avec ces jeunes qui ont estimé que l'équipe de football de Sedrata manquait de « moyens ». A quoi Sellal a répondu sur le ton de la plaisanterie par un « vous ne cherchez que le matériel » avant de faire observer que jadis l'équipe de Sedrata était « plus forte ». Mais Souk Ahras ne veut pas négliger pour autant la culture. La wilaya est en train de réaliser une grande maison de la culture (4.578 m2) d'un coût de 4,5 milliards de dinars. La réception de cet établissement culturel est prévue en fin de l'année en cours. Le directeur de la culture, M. Manaa veut du reste relancer le festival de Khemissa, localité d'après lui qui renferme un théâtre berbère. Le dossier pour l'officialisation de ce festival est entre les mains du département de Khalida Toumi, nous attendons toujours, dira-t-il, « l'aval de la tutelle car l'événement est d'une importance capitale si on veut impulser une nouvelle dynamique à la culture locale. »