Le pétrole poursuivait sa baisse lundi matin en Asie, dans un marché toujours soucieux du ralentissement éventuel du programme de soutien de la Réserve fédérale américaine à l'économie des Etats-Unis, premier consommateur de brut au monde. Le pétrole poursuivait sa baisse lundi matin en Asie, dans un marché toujours soucieux du ralentissement éventuel du programme de soutien de la Réserve fédérale américaine à l'économie des Etats-Unis, premier consommateur de brut au monde. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en août cédait 9 cents à 93,60 dollars US et le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en août également, perdait 24 cents à 100,67 USD. Lorsque le dollar monte, le pétrole, libellé en dollars, devient moins attractif pour les investisseurs détenant d'autres devises. Un renforcement du billet vert se traduit donc souvent par un repli des prix du brut. Les cours se sont nettement repliés en deuxième partie de semaine dernière (baisse de plus de 4,50 USD pour le WTI en deux séances) après l'avertissement du président de la Réserve fédérale américaine Ben Bernanke d'une réduction potentielle de l'énorme soutien financier apporté par la Fed à l'économie américaine, en cas d'amélioration de la conjoncture. Or, ces injections de liquidités dans le circuit financier, à hauteur de 85 milliards de dollars chaque mois, ont largement participé à l'embellie observée sur les marchés ces derniers mois, et à l'attractivité des actifs jugés risqués, comme les matières premières et le brut. Vendredi, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en août avait lâché de 1,45 dollar à 93,69 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août avait reculé de 1,24 USD à 100,91 dollars sur l'Intercontinental Exchange. Le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en août cédait 9 cents à 93,60 dollars US et le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en août également, perdait 24 cents à 100,67 USD. Lorsque le dollar monte, le pétrole, libellé en dollars, devient moins attractif pour les investisseurs détenant d'autres devises. Un renforcement du billet vert se traduit donc souvent par un repli des prix du brut. Les cours se sont nettement repliés en deuxième partie de semaine dernière (baisse de plus de 4,50 USD pour le WTI en deux séances) après l'avertissement du président de la Réserve fédérale américaine Ben Bernanke d'une réduction potentielle de l'énorme soutien financier apporté par la Fed à l'économie américaine, en cas d'amélioration de la conjoncture. Or, ces injections de liquidités dans le circuit financier, à hauteur de 85 milliards de dollars chaque mois, ont largement participé à l'embellie observée sur les marchés ces derniers mois, et à l'attractivité des actifs jugés risqués, comme les matières premières et le brut. Vendredi, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en août avait lâché de 1,45 dollar à 93,69 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en août avait reculé de 1,24 USD à 100,91 dollars sur l'Intercontinental Exchange.