Le projet de réalisation d'une ferme aquacole à Cap Blanc, relevant de la commune de Aïn El-Kerma (Boutlélis) à l'ouest d'Oran, vient de connaître un nouveau départ, après un arrêt des travaux de plusieurs années, a-t-on appris auprès du directeur de la pêche et des ressources halieutiques. Le projet de réalisation d'une ferme aquacole à Cap Blanc, relevant de la commune de Aïn El-Kerma (Boutlélis) à l'ouest d'Oran, vient de connaître un nouveau départ, après un arrêt des travaux de plusieurs années, a-t-on appris auprès du directeur de la pêche et des ressources halieutiques. Les travaux de cette ferme aquacole dénommée Delphine pêche reprendront dans les toutes prochaines semaines, a annoncé Mohamed Bengrina, se réjouissant que les choses aient évolué en faveur de la reprise des travaux de cet investissement. La relance de l'activité aquacole cet été est d'autant plus importante "que la wilaya d'Oran a été pionnière en la matière", a souligné le même responsable, faisant observer qu'il ne reste que 20% des travaux pour l'achèvement de ce complexe aquacole pour une production prévisionnelle de 1.000 tonnes/an de loup et de daurade avec un démarrage de 50 tonnes/an. Il s'agit de mise à niveau des installations dont des cages flottantes, des écloseries pour l'élevage d'alevins, ainsi que des aménagements des bassins de pré-grossissement et de grossissement. Un projet estimé à 700 millions DA demeurant en suspens pour manque de financement, selon le même responsable qui espère le voir aboutir au grand bonheur des jeunes de la localité de Cap Blanc, une agglomération cotière du littoral oranais relevant de la commune de Aïn El-Kerma. Cet investissement devrait générer une centaine d'emplois et contribuer au développement local. "Cet état de faits a pénalisé surtout les techniciens aquaculteurs formés ces dernières années au niveau de notre établissement", s'est défendu le sous-directeur des études à l'Institut de technologie de pêche et aquaculture (ITPA) d'Oran. Alem Bettahar estime également nécessaire la réactivation de la convention entre les ministères de l'Agriculture et de la Pêche pour permettre aux diplomés sortant d'exercer au niveau des exploitations agricoles. "Mon souhait est de voir démarrer le plus vite possible ce projet", a souligné Mehdi, un technicien supérieur en aquaculture qui attend depuis trois ans sa mise en service. "L'autre investissement non moins attendu qui a eu le feu vert des autorités est le projet aquacole qui sera réalisé à Kristel, à l'est d'Oran, pour le développement des moules et huîtres". Les travaux de ce projet, qui prévoit une production de 50 tonnes/an, seront lancés au plus tard dans trois mois, a assuré Mohamed Bengrina qui a indiqué que ces réalisations peuvent être un moteur de développement de cette filière au niveau de la wilaya. Connue pour sa production halieutique non négligeable avec ces trois ports à Oran, Arzew et Kristel (6.700 tonnes de poissons en 2012), ses établissements d'exportation de produits halieutiques (crustacés) vers des pays de l'Union européenne, ses deux chantiers navals, notamment pour la fabrication et réparation de bateaux de plaisance et de pêche (Hassi Ameur et Arzew), ses deux unités de conserveries à Hassi Ameur, la wilaya d'Oran, avec ses deux futures fermes aquacoles fonctionnant à l'eau de mer, peut devenir l'une des plus importantes régions pour la production de loups, daurade et mollusques. Elle peut constituer un solide pôle d'attraction pour le développement de l'aquaculture, soutient le directeur de la pêche de la wilaya déclarant : "Nous escomptons accueillir deux autres projets aquacoles dans les prochaines années pour combler le déficit." Des investissements sont attendus pour booster le secteur de la pêche avec la création d'un tissu de petites et moyennes entreprises autour de cette filière dans cette zone du littoral, a-t-on souhaité. Les travaux de cette ferme aquacole dénommée Delphine pêche reprendront dans les toutes prochaines semaines, a annoncé Mohamed Bengrina, se réjouissant que les choses aient évolué en faveur de la reprise des travaux de cet investissement. La relance de l'activité aquacole cet été est d'autant plus importante "que la wilaya d'Oran a été pionnière en la matière", a souligné le même responsable, faisant observer qu'il ne reste que 20% des travaux pour l'achèvement de ce complexe aquacole pour une production prévisionnelle de 1.000 tonnes/an de loup et de daurade avec un démarrage de 50 tonnes/an. Il s'agit de mise à niveau des installations dont des cages flottantes, des écloseries pour l'élevage d'alevins, ainsi que des aménagements des bassins de pré-grossissement et de grossissement. Un projet estimé à 700 millions DA demeurant en suspens pour manque de financement, selon le même responsable qui espère le voir aboutir au grand bonheur des jeunes de la localité de Cap Blanc, une agglomération cotière du littoral oranais relevant de la commune de Aïn El-Kerma. Cet investissement devrait générer une centaine d'emplois et contribuer au développement local. "Cet état de faits a pénalisé surtout les techniciens aquaculteurs formés ces dernières années au niveau de notre établissement", s'est défendu le sous-directeur des études à l'Institut de technologie de pêche et aquaculture (ITPA) d'Oran. Alem Bettahar estime également nécessaire la réactivation de la convention entre les ministères de l'Agriculture et de la Pêche pour permettre aux diplomés sortant d'exercer au niveau des exploitations agricoles. "Mon souhait est de voir démarrer le plus vite possible ce projet", a souligné Mehdi, un technicien supérieur en aquaculture qui attend depuis trois ans sa mise en service. "L'autre investissement non moins attendu qui a eu le feu vert des autorités est le projet aquacole qui sera réalisé à Kristel, à l'est d'Oran, pour le développement des moules et huîtres". Les travaux de ce projet, qui prévoit une production de 50 tonnes/an, seront lancés au plus tard dans trois mois, a assuré Mohamed Bengrina qui a indiqué que ces réalisations peuvent être un moteur de développement de cette filière au niveau de la wilaya. Connue pour sa production halieutique non négligeable avec ces trois ports à Oran, Arzew et Kristel (6.700 tonnes de poissons en 2012), ses établissements d'exportation de produits halieutiques (crustacés) vers des pays de l'Union européenne, ses deux chantiers navals, notamment pour la fabrication et réparation de bateaux de plaisance et de pêche (Hassi Ameur et Arzew), ses deux unités de conserveries à Hassi Ameur, la wilaya d'Oran, avec ses deux futures fermes aquacoles fonctionnant à l'eau de mer, peut devenir l'une des plus importantes régions pour la production de loups, daurade et mollusques. Elle peut constituer un solide pôle d'attraction pour le développement de l'aquaculture, soutient le directeur de la pêche de la wilaya déclarant : "Nous escomptons accueillir deux autres projets aquacoles dans les prochaines années pour combler le déficit." Des investissements sont attendus pour booster le secteur de la pêche avec la création d'un tissu de petites et moyennes entreprises autour de cette filière dans cette zone du littoral, a-t-on souhaité.