La communauté internationale accorde davantage d'intérêt à la question des prisonniers palestiniens incarcérés dans les geôles israéliennes dans des conditions inhumaines, a affirmé jeudi à Alger le ministre palestinien des Détenus et des Libérés, Aïssa Qaraqaë. La communauté internationale accorde davantage d'intérêt à la question des prisonniers palestiniens incarcérés dans les geôles israéliennes dans des conditions inhumaines, a affirmé jeudi à Alger le ministre palestinien des Détenus et des Libérés, Aïssa Qaraqaë. "Il y a actuellement 5.000 détenus, hommes et femmes, qui croupissent dans les prisons israéliennes et qui souffrent de pratiques inhumaines comme la torture, la détention administrative, l'isolement et la non prise en charge médicale", a précisé M. Qaraqaë lors d'une conférence de presse. Le ministre palestinien, en visite depuis trois jours en Algérie, a également dénoncé "les arrestations arbitraires des femmes et des enfants, ainsi que la situation sanitaire dramatique dans les prisons" ou sont détenus les palestiniens. Il a ajouté que "dans le cadre des efforts palestiniens pour dévoiler les crimes de l'occupant, nous avons proposé aux responsables algériens la tenue d'une conférence régionale prochainement à Alger pour relancer le débat sur la question des prisonniers palestiniens", mettant l'accent sur la "nécessité de réhabiliter les prisonniers palestiniens libérés". Saluant les efforts déployés par l'Algérie en faveur de la cause palestinienne et du droit de son peuple à l'établissement de son Etat indépendant, M. Qaraqaë a appelé à la solidarité de la communauté internationale afin de "mettre un terme aux souffrances du peuple palestinien, de contraindre Israël à respecter les règles du droit international". Pour sa part, le président du Club des prisonniers palestiniens, Fares Qaddura a rappelé lors de cette même conférence de presse que des campagnes de solidarité avec les prisonniers palestiniens sont organisées à travers le monde pour faire pression sur Israel en vue d'obtenir leur libération. M. Qaddura a précisé que "23 détenus palestiniens sont actuellement en grève de la faim, dont cinq depuis deux mois". Interrogé sur les répercussions de la crise syrienne sur la question palestinienne, M. Qaddura a indiqué que "la crise en Syrie ou vivent plus d'un demi-million de Palestiniens a eu des retombées négatives sur la cause palestinienne en détournant les regards de la communauté internationale sur ce qui se passe dans les territoires palestiniens occupés". "Il y a actuellement 5.000 détenus, hommes et femmes, qui croupissent dans les prisons israéliennes et qui souffrent de pratiques inhumaines comme la torture, la détention administrative, l'isolement et la non prise en charge médicale", a précisé M. Qaraqaë lors d'une conférence de presse. Le ministre palestinien, en visite depuis trois jours en Algérie, a également dénoncé "les arrestations arbitraires des femmes et des enfants, ainsi que la situation sanitaire dramatique dans les prisons" ou sont détenus les palestiniens. Il a ajouté que "dans le cadre des efforts palestiniens pour dévoiler les crimes de l'occupant, nous avons proposé aux responsables algériens la tenue d'une conférence régionale prochainement à Alger pour relancer le débat sur la question des prisonniers palestiniens", mettant l'accent sur la "nécessité de réhabiliter les prisonniers palestiniens libérés". Saluant les efforts déployés par l'Algérie en faveur de la cause palestinienne et du droit de son peuple à l'établissement de son Etat indépendant, M. Qaraqaë a appelé à la solidarité de la communauté internationale afin de "mettre un terme aux souffrances du peuple palestinien, de contraindre Israël à respecter les règles du droit international". Pour sa part, le président du Club des prisonniers palestiniens, Fares Qaddura a rappelé lors de cette même conférence de presse que des campagnes de solidarité avec les prisonniers palestiniens sont organisées à travers le monde pour faire pression sur Israel en vue d'obtenir leur libération. M. Qaddura a précisé que "23 détenus palestiniens sont actuellement en grève de la faim, dont cinq depuis deux mois". Interrogé sur les répercussions de la crise syrienne sur la question palestinienne, M. Qaddura a indiqué que "la crise en Syrie ou vivent plus d'un demi-million de Palestiniens a eu des retombées négatives sur la cause palestinienne en détournant les regards de la communauté internationale sur ce qui se passe dans les territoires palestiniens occupés".