La 9e édition du Festival international des danses populaires a pris fin lundi à une heure tardive de la soirée, avec une ultime soirée haute en couleurs et en mouvements donnée au théâtre de verdure de la ville de Sidi Bel-Abbès. Une cérémonie de remise de diplômes et de présents aux treize troupes étrangères participantes a été organisée à cette occasion en présence du wali Mohamed Hattab. La 9e édition du Festival international des danses populaires a pris fin lundi à une heure tardive de la soirée, avec une ultime soirée haute en couleurs et en mouvements donnée au théâtre de verdure de la ville de Sidi Bel-Abbès. Une cérémonie de remise de diplômes et de présents aux treize troupes étrangères participantes a été organisée à cette occasion en présence du wali Mohamed Hattab. La céremonie de clôture de ce festival s'est déroulée en présence d'un public nombreux et connaisseur qui n'a pas cédé à la tentation de se rendre au stade des trois frères Amarouche, où se déroulait la première soirée du festival de la chanson raï. Ouvert jeudi dernier, cette 9e édition a donné lieu à des spectacles riches en couleurs et en mouvements synchronisés, où élégance et beauté des gestes étaient maîtres. Les 13 troupes étrangères, venues de différentes contrées du monde, étaient porteuses de messages de paix, de fraternité et de solidarité. Le public abassi a fortement ovationné des troupes de Colombie, de Turquie, de France, de Béliorussie, du Liban, de Palestine et de bien d'autres contrées. Comme il a eu à découvrir et à appaludir une expérience réussie d'une Algérienne installée en Espagne qui a présenté, par le biais de sa troupe El Djazaïr, constituée de danseuses espagnoles, un mariage réussi entre le Flamenco, la danse algérienne et la musique raï. La commissaire du festival, Mme Halima Hankour, a souligné à l'APS que le fait de réunir en une seule édition, 13 troupes étrangères est en soi un challenge et un signe de réussite de cette nouvelle édition du festival. Elle a souligné la nécessité de passer à une autre étape, celle de l'initiation de travaux de recherche et d'études relatives aux danses populaires en tant qu'éléments de l'identité nationale et de manifestations culturelle, artistique, anthropologique, psychologique et sociale d'une région ou d'un pays. La commissaire du festival ambitionne de créer un musée dédié aux danses populaires, à ses instrumentations et ses accessoires afin de conserver cet héritage ancestral plus que jamais menacé de disparition, du fait de la modernisation et la mondialisation. La céremonie de clôture de ce festival s'est déroulée en présence d'un public nombreux et connaisseur qui n'a pas cédé à la tentation de se rendre au stade des trois frères Amarouche, où se déroulait la première soirée du festival de la chanson raï. Ouvert jeudi dernier, cette 9e édition a donné lieu à des spectacles riches en couleurs et en mouvements synchronisés, où élégance et beauté des gestes étaient maîtres. Les 13 troupes étrangères, venues de différentes contrées du monde, étaient porteuses de messages de paix, de fraternité et de solidarité. Le public abassi a fortement ovationné des troupes de Colombie, de Turquie, de France, de Béliorussie, du Liban, de Palestine et de bien d'autres contrées. Comme il a eu à découvrir et à appaludir une expérience réussie d'une Algérienne installée en Espagne qui a présenté, par le biais de sa troupe El Djazaïr, constituée de danseuses espagnoles, un mariage réussi entre le Flamenco, la danse algérienne et la musique raï. La commissaire du festival, Mme Halima Hankour, a souligné à l'APS que le fait de réunir en une seule édition, 13 troupes étrangères est en soi un challenge et un signe de réussite de cette nouvelle édition du festival. Elle a souligné la nécessité de passer à une autre étape, celle de l'initiation de travaux de recherche et d'études relatives aux danses populaires en tant qu'éléments de l'identité nationale et de manifestations culturelle, artistique, anthropologique, psychologique et sociale d'une région ou d'un pays. La commissaire du festival ambitionne de créer un musée dédié aux danses populaires, à ses instrumentations et ses accessoires afin de conserver cet héritage ancestral plus que jamais menacé de disparition, du fait de la modernisation et la mondialisation.