Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a révélé hier au terme de sa visite la signature d'un mémorandum d'entente sur l'énergie qui couvrira tous les aspects dans ce domaine en le qualifiant de stratégique. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a révélé hier au terme de sa visite la signature d'un mémorandum d'entente sur l'énergie qui couvrira tous les aspects dans ce domaine en le qualifiant de stratégique. José Barroso a également affirmé que les sujets politiques et économiques et d'intérêt régional ont été abordés en toute clarté avec le Premier ministre Sellal et les présidents des deux Chambres ainsi que le ministre des Affaires étrangères. Le président de la Commission européenne a abordé dans une conférence de presse à Alger le contenu des discussions avec les hauts responsables algériens. D'abord, le sujet crucial de l'énergie a bénéficié d'un traitement spécial où «l'Union européenne veut renforcer son partenariat avec l'Algérie». Il ressort selon les propos du président de la Commission de l'U.E que «l'accord revêt un caractère stratégique vu que l'Algérie reste un fournisseur majeur en gaz naturel à la région». Et c'est à ce niveau que «le mémorandum traite des aspects concernant les hydrocarbures, les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, la réforme du cadre législatif et réglementaire et l'intégration progressive de nos marchés de l'énergie». A ce propos, le président de la Commission de l'U.E a indiqué «qu'un groupe de coordination de gaz va se réunir en décembre 2013 à Bruxelles pour examiner les axes de coopération et partenariat avec les pays méditerranéens». De même que l'Union européenne va soutenir le plan solaire algérien dans un cadre de renforcement du partenariat. Hormis les questions énergétiques, José Barroso a soutenu que «des sujets autour des questions politiques et sécuritaires ainsi que des questions d'ordre régional ont été abordés avec le Premier ministre algérien». Aussi, mentionne-t-il : «Il y a l'importance du dialogue politique qu'il faut poursuivre sur l'approfondissement des réformes politiques et des droits de l'homme que l'Algérie est entrain de le réaliser depuis 2011». Plus concrètement, le premier responsable européen a déclaré que «la question de la gestion de mobilité des personnes dans l'espace européen, la politique des visas et la sécurité des frontières ont constitué des axes d'importance dans les discussions». Selon lui, «la gestion de la mobilité des personnes pose problème et nous devons évoluer vers un cadre de renforcement et d'ouverture avec un contact permanent entre les deux parties». Sur le plan économique, le président de l'U.E n'a pas soufflé mot sur l'accord d'association entre l'U.E et l'Algérie entré en vigueur en 2005, se contentant de façon expéditive d'affirmer «des relations commerciales appelant à être diversifiées». Tout comme, il a indiqué que «l'Union européenne soutient le processus d'adhésion de l'Algérie à l'OMC». L'enjeu pour ce haut responsable européen est «de soutenir les réformes économiques afin de la rendre plus diversifiée». José Barroso a également affirmé que les sujets politiques et économiques et d'intérêt régional ont été abordés en toute clarté avec le Premier ministre Sellal et les présidents des deux Chambres ainsi que le ministre des Affaires étrangères. Le président de la Commission européenne a abordé dans une conférence de presse à Alger le contenu des discussions avec les hauts responsables algériens. D'abord, le sujet crucial de l'énergie a bénéficié d'un traitement spécial où «l'Union européenne veut renforcer son partenariat avec l'Algérie». Il ressort selon les propos du président de la Commission de l'U.E que «l'accord revêt un caractère stratégique vu que l'Algérie reste un fournisseur majeur en gaz naturel à la région». Et c'est à ce niveau que «le mémorandum traite des aspects concernant les hydrocarbures, les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, la réforme du cadre législatif et réglementaire et l'intégration progressive de nos marchés de l'énergie». A ce propos, le président de la Commission de l'U.E a indiqué «qu'un groupe de coordination de gaz va se réunir en décembre 2013 à Bruxelles pour examiner les axes de coopération et partenariat avec les pays méditerranéens». De même que l'Union européenne va soutenir le plan solaire algérien dans un cadre de renforcement du partenariat. Hormis les questions énergétiques, José Barroso a soutenu que «des sujets autour des questions politiques et sécuritaires ainsi que des questions d'ordre régional ont été abordés avec le Premier ministre algérien». Aussi, mentionne-t-il : «Il y a l'importance du dialogue politique qu'il faut poursuivre sur l'approfondissement des réformes politiques et des droits de l'homme que l'Algérie est entrain de le réaliser depuis 2011». Plus concrètement, le premier responsable européen a déclaré que «la question de la gestion de mobilité des personnes dans l'espace européen, la politique des visas et la sécurité des frontières ont constitué des axes d'importance dans les discussions». Selon lui, «la gestion de la mobilité des personnes pose problème et nous devons évoluer vers un cadre de renforcement et d'ouverture avec un contact permanent entre les deux parties». Sur le plan économique, le président de l'U.E n'a pas soufflé mot sur l'accord d'association entre l'U.E et l'Algérie entré en vigueur en 2005, se contentant de façon expéditive d'affirmer «des relations commerciales appelant à être diversifiées». Tout comme, il a indiqué que «l'Union européenne soutient le processus d'adhésion de l'Algérie à l'OMC». L'enjeu pour ce haut responsable européen est «de soutenir les réformes économiques afin de la rendre plus diversifiée».