Le film Loubia Hamra (Haricots rouges) de la réalisatrice algérienne Narimane Mari a reçu trois prix au 24e Festival international de cinéma-Marseille, tenu du 2 au 8 juillet dans cette ville du sud de la France, annonce-t-on sur le site Internet du festival. Le film Loubia Hamra (Haricots rouges) de la réalisatrice algérienne Narimane Mari a reçu trois prix au 24e Festival international de cinéma-Marseille, tenu du 2 au 8 juillet dans cette ville du sud de la France, annonce-t-on sur le site Internet du festival. Réalisée en 2013 et projeté en première mondiale lors du festival, cette coproduction algéro-française a reçu le "Grand prix de la compétition française" ainsi que les prix "Marseille Espérance" doté par la ville organisatrice et le "Prix Renaud-Victor", une distinction parallèle décernée par des détenus, dans le cadre d'un programme de projections dans un établissement pénitencier. Dans ce premier long métrage de 77 minutes, Narimane Mari s'inspire de la guerre d'indépendance en mettant en scène une histoire d'enfants sur une plage algérienne, filmée à la manière d'un "fantastique théâtre", lit-on dans la présentation du film. Trente-six pays étaient représentés au 24e Festival international de cinéma-Marseille avec 124 films projetés dans différentes sélections. Le jury de l'édition 2012 du Festival international de cinéma-Marseille avait distingué les deux réalisateurs algériens, Lamine Ammar-Khodja pour le documentaire Demande à ton ombre (Prix du premier film) et Nazim Djemaï qui avait obtenu le Prix Georges de Beauregard international pour A peine ombre. Réalisée en 2013 et projeté en première mondiale lors du festival, cette coproduction algéro-française a reçu le "Grand prix de la compétition française" ainsi que les prix "Marseille Espérance" doté par la ville organisatrice et le "Prix Renaud-Victor", une distinction parallèle décernée par des détenus, dans le cadre d'un programme de projections dans un établissement pénitencier. Dans ce premier long métrage de 77 minutes, Narimane Mari s'inspire de la guerre d'indépendance en mettant en scène une histoire d'enfants sur une plage algérienne, filmée à la manière d'un "fantastique théâtre", lit-on dans la présentation du film. Trente-six pays étaient représentés au 24e Festival international de cinéma-Marseille avec 124 films projetés dans différentes sélections. Le jury de l'édition 2012 du Festival international de cinéma-Marseille avait distingué les deux réalisateurs algériens, Lamine Ammar-Khodja pour le documentaire Demande à ton ombre (Prix du premier film) et Nazim Djemaï qui avait obtenu le Prix Georges de Beauregard international pour A peine ombre.