"Nous ne souhaitons pas d'élections présidentielles anticipées en Algérie», à déclaré, hier, le président du Front El Moustakbal (FM), Belaid Abdelaziz, lors d'un point de presse organisé en marge d'une activité organique dans la wilaya de Boumerdès. "Nous ne souhaitons pas d'élections présidentielles anticipées en Algérie», à déclaré, hier, le président du Front El Moustakbal (FM), Belaid Abdelaziz, lors d'un point de presse organisé en marge d'une activité organique dans la wilaya de Boumerdès. "Nous sommes, également, persuadés que l‘extrémisme de tout bord ne mène qu‘au chaos", a-t-il enchaîné avant d‘ajouter qu‘"il n‘est pas temps de se précipiter pour appeler à l‘application de l‘article 88 de la Constitution dans le cas de la maladie du président de la République". Et d‘enchaîner, «ce dernier est rentré en Algérie et nous lui souhaitons un prompt rétablissement afin qu‘il continue son mandat et à partir de là, des élections que nous souhaitons démocratiques seront organisées». Sur ce, le président du FM, un parti créé en 2012, n‘a pas décidé de soumettre sa candidature, mais pour lui, la question sera tranchée lors du congrès du parti qui se tiendra au mois d‘octobre prochain. "C‘est aux congressistes de décider de ma candidature ou non aux prochaines élections présidentielles de 2014», a-t-il affirmé avant de préciser que le FM à un rôle important à jouer dans ces joutes électorales. Abordant la scène politique nationale, M.Bélaid, estime que celle-ci "est caractérisée par un vide politique et tout tourne autour de la personne du président de la République ainsi que les prémices d‘un retour des islamistes aux commande du pays sont là". Ce retour "imminent" des islamistes "est appuyé par l‘ignorance des jeunes de ce qu‘avait fait la mouvance islamiste durant les années 90 dans le pays", a-t-il argué. Pour lui "des lobbys qui ont des ramifications partout, ne veulent pas de changement". "Nous avons appelé à l‘édification d‘un Etat de droit en privilégiant les jeunes". Evoquant la révision de la Constitution, le président du FM a indiqué que "la mouture finale du projet de la Constitution est finalisée mais son contenu n‘est pas encore révélé". "Nous sommes, également, persuadés que l‘extrémisme de tout bord ne mène qu‘au chaos", a-t-il enchaîné avant d‘ajouter qu‘"il n‘est pas temps de se précipiter pour appeler à l‘application de l‘article 88 de la Constitution dans le cas de la maladie du président de la République". Et d‘enchaîner, «ce dernier est rentré en Algérie et nous lui souhaitons un prompt rétablissement afin qu‘il continue son mandat et à partir de là, des élections que nous souhaitons démocratiques seront organisées». Sur ce, le président du FM, un parti créé en 2012, n‘a pas décidé de soumettre sa candidature, mais pour lui, la question sera tranchée lors du congrès du parti qui se tiendra au mois d‘octobre prochain. "C‘est aux congressistes de décider de ma candidature ou non aux prochaines élections présidentielles de 2014», a-t-il affirmé avant de préciser que le FM à un rôle important à jouer dans ces joutes électorales. Abordant la scène politique nationale, M.Bélaid, estime que celle-ci "est caractérisée par un vide politique et tout tourne autour de la personne du président de la République ainsi que les prémices d‘un retour des islamistes aux commande du pays sont là". Ce retour "imminent" des islamistes "est appuyé par l‘ignorance des jeunes de ce qu‘avait fait la mouvance islamiste durant les années 90 dans le pays", a-t-il argué. Pour lui "des lobbys qui ont des ramifications partout, ne veulent pas de changement". "Nous avons appelé à l‘édification d‘un Etat de droit en privilégiant les jeunes". Evoquant la révision de la Constitution, le président du FM a indiqué que "la mouture finale du projet de la Constitution est finalisée mais son contenu n‘est pas encore révélé".