La commission ministérielle chargée d'étudier les demandes de réexamen de la décision d'exclusion de l'examen du baccalauréat, session juin 2013, a décidé d'alléger la durée d'exclusion à une année ferme à l'encontre des candidats concernés par la participation à la fraude collective. La commission ministérielle chargée d'étudier les demandes de réexamen de la décision d'exclusion de l'examen du baccalauréat, session juin 2013, a décidé d'alléger la durée d'exclusion à une année ferme à l'encontre des candidats concernés par la participation à la fraude collective. Une décision, rappelons-le, qui a déjà bénéficié de l'aval du Premier ministre Sellal qui avait soutenu une sanction d'une année contre 5 années prévues dans le dispositif de sanctions à l'encontre des tricheurs au bac. Dans un communiqué rendu public jeudi dernier, l'Office national des examens et concours précise « l'échec de tous les candidats concernés par la participation à la fraude ». Dans le même communiqué « l'Office national des examens et concours doit prendre en charge l'envoi des relevés de notes à tous les candidats concernés ». De même que la dite commission a souligné « l'application de sanctions à l'encontre des personnels d'encadrement qui ont manifesté une défaillance professionnelle ». Une instruction a été donnée aux « directeurs de l'Education concernés et l'Office des examens et concours prendront les mesures nécessaires liées à ce sujet ». Des mesures qui ont été allégées finalement là où d'autres s'attendaient à une sévère sanction. Il faut rappeler que les incidents provoqués lors de la session du baccalauréat de juin 2013 ont été émaillés d'incidents qui ont touché 11 centres d'examen au niveau d'Alger Constantine, Oran, Ain Temouchent et Tlemcen. Des candidats ont perturbé le déroulement des examens estimant que l'épreuve de philosophie comportait des sujets n'ayant aucune relation avec le programme scolaire. Mais fait gravissime, c'estque d'autres candidats ont été épinglés pour tricherie dans certains centres et à recourir comme le constate la commission « à la participation à la fraude par toutes sortes de moyens ». « Certains responsables au niveau des centres concernés ont été dans l'incapacité de maîtriser la situation, ce qui a permis aux candidats de communiquer entre eux, sous une forme ou sous une autre et de participer aux actes de fraude, et certains surveillants se sont montrés conciliants voir laxistes avec les candidats fraudeurs de peur de représailles », rappelle la commission. On se rappelle la réaction de certains candidats et les parents d'élèves qui ont manifesté par des sit-in en face de l'Académie d'Alger protestant contre la décision du ministre de l'Education qui avait rendu public la décision de sanctionner fermement les « tricheurs ». Le même ministre avait été désavoué publiquement par Sellal qui voulait alléger les sanctions pour des considérations politiques. Face à cette situation, le ministère de l'Education nationale a demandé aux candidats concernés de présenter des demandes individuelles de réexamen de la décision d'exclusion. Une commission ministérielle a été constituée à cet effet. Une décision, rappelons-le, qui a déjà bénéficié de l'aval du Premier ministre Sellal qui avait soutenu une sanction d'une année contre 5 années prévues dans le dispositif de sanctions à l'encontre des tricheurs au bac. Dans un communiqué rendu public jeudi dernier, l'Office national des examens et concours précise « l'échec de tous les candidats concernés par la participation à la fraude ». Dans le même communiqué « l'Office national des examens et concours doit prendre en charge l'envoi des relevés de notes à tous les candidats concernés ». De même que la dite commission a souligné « l'application de sanctions à l'encontre des personnels d'encadrement qui ont manifesté une défaillance professionnelle ». Une instruction a été donnée aux « directeurs de l'Education concernés et l'Office des examens et concours prendront les mesures nécessaires liées à ce sujet ». Des mesures qui ont été allégées finalement là où d'autres s'attendaient à une sévère sanction. Il faut rappeler que les incidents provoqués lors de la session du baccalauréat de juin 2013 ont été émaillés d'incidents qui ont touché 11 centres d'examen au niveau d'Alger Constantine, Oran, Ain Temouchent et Tlemcen. Des candidats ont perturbé le déroulement des examens estimant que l'épreuve de philosophie comportait des sujets n'ayant aucune relation avec le programme scolaire. Mais fait gravissime, c'estque d'autres candidats ont été épinglés pour tricherie dans certains centres et à recourir comme le constate la commission « à la participation à la fraude par toutes sortes de moyens ». « Certains responsables au niveau des centres concernés ont été dans l'incapacité de maîtriser la situation, ce qui a permis aux candidats de communiquer entre eux, sous une forme ou sous une autre et de participer aux actes de fraude, et certains surveillants se sont montrés conciliants voir laxistes avec les candidats fraudeurs de peur de représailles », rappelle la commission. On se rappelle la réaction de certains candidats et les parents d'élèves qui ont manifesté par des sit-in en face de l'Académie d'Alger protestant contre la décision du ministre de l'Education qui avait rendu public la décision de sanctionner fermement les « tricheurs ». Le même ministre avait été désavoué publiquement par Sellal qui voulait alléger les sanctions pour des considérations politiques. Face à cette situation, le ministère de l'Education nationale a demandé aux candidats concernés de présenter des demandes individuelles de réexamen de la décision d'exclusion. Une commission ministérielle a été constituée à cet effet.