Le groupe Ival, représentant du constructeur italien Iveco en Algérie, a écoulé pas moins de 2200 unités depuis le début de l'année 2013. C'est ce qu'a déclaré, Mohamed Bairi, P.-dg du groupe Ival, lors d'une soirée organisée à l'hôtel El Aurassi. Le groupe Ival, représentant du constructeur italien Iveco en Algérie, a écoulé pas moins de 2200 unités depuis le début de l'année 2013. C'est ce qu'a déclaré, Mohamed Bairi, P.-dg du groupe Ival, lors d'une soirée organisée à l'hôtel El Aurassi. Un chiffre qui place la marque en deuxième position des constructeurs de marques européennes de poids lourds juste derrière le leader du marché, Renault Trucks. "Ces bonnes performances sont dues à la disponibilité et à la diversité des produits avec une gamme de tracteurs, porteurs en différentes déclinaisons", dira Mohamed Baïri, P.-dg du groupe Ival. Dans le détail, Ival a commercialisé 600 fourgons Daily, 400 poids lourds et 1.200 camions Leoncino. Ce dernier est en train de gagner des parts de marché et de concurrencer sérieusement les produits chinois et asiatiques. "Pas moins de 1.200 unités de ce modèle ont été écoulées sur un marché estimé à 20 000 unités», précise M. Bairi. Lors de cette soirée, il a été procédé officiellement au lancement du nouveau camion de la marque Iveco fabriqué en Chine. Il s'agit du 682. Inspiré de l'ancienne légende Fiat 682. Ce nouveau modèle intervient, selon le communiqué de presse du groupe Ival, dans le but de "toucher une nouvelle clientèle et de concurrencer les produits non européens, notamment coréens et chinois". "La gamme 682 est un produit conçu avec des performances fiables et un prix très compétitif, pour donner lieu à un produit pouvant satisfaire une demande d'une clientèle ayant un budget ne pouvant pas se permettre les produits hauts de gamme", peut-on lire sur cette même missive.Doté d'un moteur Cursor 9 Common Rail d'une puissance de 340 CV, ce nouveau camion est équipé d'une boîte de vitesses Fuller à 12 rapports et d'une suspension parabolique. La cabine spacieuse du 682 est équipée de climatisation, lève-vitre électrique, un tableau de bord "soft touch", radio CD, sièges chauffeur pneumatiques, bonne visibilité active et passive assurée par des rétroviseurs extérieurs, d'accostage et frontal selon les normes européennes. Le 682 est proposé selon plusieurs versions : tracteur 4x2 et 6x4, benne 16 m3 sur porteur 6x4 et malaxeurs 9m3 sur porteur 6x4.Déjà 1.000 unités sont disponibles en stock avec des prix très concurrentiels et une possibilité de crédit fournisseur sur une période de 18 mois. Ival devra également, dans les prochaines semaines, scinder la gestion commerciale d'Iveco en deux branches : Iveco Europe pour les "heavy trucks" fabriqués en Europe et Iveco Chine pour les modèles fabriqués en Chine. "Il y aura un management séparé, des commerciaux dédiés à chaque division. Seule la partie service après-vente sera gérée dans la même structure avec un atelier commun", affirme le P.-dg.Dans un autre registre, Mohamed Baïri a fait part de sa volonté d'investir dans un projet de carrosserie avec des partenaires étrangers, italiens et turcs. "Ce projet permettra de diminuer considérablement le coût de revient d'un camion et donc le prix de vente de ce dernier", reconnaît-il. Enfin, Mohamed Baïri a qualifié le partenariat avec le groupe Mazouz de "très intéressant" et "très important". "Cela nous permet d'utiliser le réseau de distribution du groupe Mazouz et bénéficier de son portefeuille clients et de sa grande expérience dans l'exploitation et la gestion du crédit fournisseur". Un chiffre qui place la marque en deuxième position des constructeurs de marques européennes de poids lourds juste derrière le leader du marché, Renault Trucks. "Ces bonnes performances sont dues à la disponibilité et à la diversité des produits avec une gamme de tracteurs, porteurs en différentes déclinaisons", dira Mohamed Baïri, P.-dg du groupe Ival. Dans le détail, Ival a commercialisé 600 fourgons Daily, 400 poids lourds et 1.200 camions Leoncino. Ce dernier est en train de gagner des parts de marché et de concurrencer sérieusement les produits chinois et asiatiques. "Pas moins de 1.200 unités de ce modèle ont été écoulées sur un marché estimé à 20 000 unités», précise M. Bairi. Lors de cette soirée, il a été procédé officiellement au lancement du nouveau camion de la marque Iveco fabriqué en Chine. Il s'agit du 682. Inspiré de l'ancienne légende Fiat 682. Ce nouveau modèle intervient, selon le communiqué de presse du groupe Ival, dans le but de "toucher une nouvelle clientèle et de concurrencer les produits non européens, notamment coréens et chinois". "La gamme 682 est un produit conçu avec des performances fiables et un prix très compétitif, pour donner lieu à un produit pouvant satisfaire une demande d'une clientèle ayant un budget ne pouvant pas se permettre les produits hauts de gamme", peut-on lire sur cette même missive.Doté d'un moteur Cursor 9 Common Rail d'une puissance de 340 CV, ce nouveau camion est équipé d'une boîte de vitesses Fuller à 12 rapports et d'une suspension parabolique. La cabine spacieuse du 682 est équipée de climatisation, lève-vitre électrique, un tableau de bord "soft touch", radio CD, sièges chauffeur pneumatiques, bonne visibilité active et passive assurée par des rétroviseurs extérieurs, d'accostage et frontal selon les normes européennes. Le 682 est proposé selon plusieurs versions : tracteur 4x2 et 6x4, benne 16 m3 sur porteur 6x4 et malaxeurs 9m3 sur porteur 6x4.Déjà 1.000 unités sont disponibles en stock avec des prix très concurrentiels et une possibilité de crédit fournisseur sur une période de 18 mois. Ival devra également, dans les prochaines semaines, scinder la gestion commerciale d'Iveco en deux branches : Iveco Europe pour les "heavy trucks" fabriqués en Europe et Iveco Chine pour les modèles fabriqués en Chine. "Il y aura un management séparé, des commerciaux dédiés à chaque division. Seule la partie service après-vente sera gérée dans la même structure avec un atelier commun", affirme le P.-dg.Dans un autre registre, Mohamed Baïri a fait part de sa volonté d'investir dans un projet de carrosserie avec des partenaires étrangers, italiens et turcs. "Ce projet permettra de diminuer considérablement le coût de revient d'un camion et donc le prix de vente de ce dernier", reconnaît-il. Enfin, Mohamed Baïri a qualifié le partenariat avec le groupe Mazouz de "très intéressant" et "très important". "Cela nous permet d'utiliser le réseau de distribution du groupe Mazouz et bénéficier de son portefeuille clients et de sa grande expérience dans l'exploitation et la gestion du crédit fournisseur".