Les difficultés d'écoulement des produits finis sur le marché, sont autant de contraintes auxquelles sont confrontés les artisans bijoutiers. Les difficultés d'écoulement des produits finis sur le marché, sont autant de contraintes auxquelles sont confrontés les artisans bijoutiers. La colline oubliée, de Dda l'Mulud nath Maamar, sera ressuscitée le temps d'un Festival du bijou. Ainsi, ce dernier est l'occasion tant attendue par le nombre important de visiteurs qui, à travers cette dixième édition, découvriront pour les uns et redécouvriront pour les autres ce legs culturel ancestral ayant traversé les siècles, tout en se préservant, et veillant à vulgariser les traditions et us, de tout la culture amazighe. «Promotion et formation», tel est le slogan véhiculé par cette manifestation, dont le coup d'envoi, a été donné par le directeur du tourisme et de l'artisanat de la wilaya, Rachid Ghedouchi, en présence, notamment des représentants du ministère de la Culture, du Haut-Commissariat à l'amazighité, des autorités locales ainsi que de nombreux citoyens venus des quatre coins du pays pour partager ces moments de convivialité avec les habitants d'Ath Yenni. Pas moins d'une soixantaine d'artisans bijoutiers prennent part à cette manifestation qui se tient au niveau du collège Larbi Mezani, où sont montés des stands d'exposition et de vente de bijoux. « C'est un devoir de mémoire envers nos aïeux qui ont su inculquer cet art à travers des siècles et ont fait du bijou d'Ath Yenni une référence qui a traversé nos frontières », a tenu à souligner dans son allocution, le président de l'Assemblée populaire communale des Ath Yenni, Smaïl Deghoul. De leur côté, les bijoutiers présents, n'ont pas omis de faire part de leur volonté d'honorer ce rendez-vous qui s'étalera jusqu'au 23 du mois en cous. Et ce, en faisant en sorte que cette fête du bijou, soit au service de l'art. Comme il n'est secret pour personne, selon nos interlocuteurs, il y a lieu de préciser que la persistance de la cherté du corail sur le marché parallèle, notamment depuis, l'interdiction de son exploitation au début des années 2000, ou encore, fait-on savoir, la continuelle valse des coûts de l'argent en fonction de ses cours en bourse, en plus de la concurrence déloyale incarnée par les produits contrefaits au détriment du bijou authentique d'Ath Yenni, attendent toujours sa labellisation pour sa protection. Les difficultés d'écoulement des produits finis sur le marché, sont autant de contraintes auxquelles sont confrontés les artisans bijoutiers. A ce sujet, Rachid Ghedouchi, a annoncé, dans sa réponse aux desideratas, qu'un certain nombre de mesures destinées à la promotion et à la sauvegarde de la fabrication artisanale du bijou. Et ce, à travers, l'ouverture prochaine à Ath Yenni, d'un centre d'approvisionnement en matières premières et de commercialisation de bijoux, en sus de la relance du Fonds national pour la promotion de l'artisanat traditionnelle (FNPAT), qui permettra d'octroyer des subventions aux artisans pour l'acquisition d'outillages nécessaires à l'exercice de leur métier. Ainsi, et c'est désormais officiel, la fête du bijou revient pour sa 10ème édition et s'invite, une fois de plus, à Béni Yenni. Une joie pour la population locale qui a eu peur de voir disparaître ce traditionnel événement, d'autant plus que l'année dernière, cette fête d'El fetta (argent) n'a pas eu lieu. Toute la région avait cru avoir perdu l'un des rares événements qui mettent en avant les richesses du patrimoine local. Un soulagement donc que celui de pouvoir, une fois de plus, admirer et découvrir les trésors de l'ornement kabyle. Pour l'embellir, les organisateurs, ont concocté un programme riche et varié, où plusieurs dizaines d'artistes se succèderont sur les différentes scènes installées à l'occasion, Outre Mohamed Allaoua, Guerbas. Côté art culinaire, les participants n'auront que l'embarras du choix entre saveurs kabyles. Pour vous donner un avant-goût le couscous et bien d'autres petits plaisirs seront proposés. Pour le plaisir des yeux, une sélection d'artistes exposera leurs différentes peintures. La colline oubliée, de Dda l'Mulud nath Maamar, sera ressuscitée le temps d'un Festival du bijou. Ainsi, ce dernier est l'occasion tant attendue par le nombre important de visiteurs qui, à travers cette dixième édition, découvriront pour les uns et redécouvriront pour les autres ce legs culturel ancestral ayant traversé les siècles, tout en se préservant, et veillant à vulgariser les traditions et us, de tout la culture amazighe. «Promotion et formation», tel est le slogan véhiculé par cette manifestation, dont le coup d'envoi, a été donné par le directeur du tourisme et de l'artisanat de la wilaya, Rachid Ghedouchi, en présence, notamment des représentants du ministère de la Culture, du Haut-Commissariat à l'amazighité, des autorités locales ainsi que de nombreux citoyens venus des quatre coins du pays pour partager ces moments de convivialité avec les habitants d'Ath Yenni. Pas moins d'une soixantaine d'artisans bijoutiers prennent part à cette manifestation qui se tient au niveau du collège Larbi Mezani, où sont montés des stands d'exposition et de vente de bijoux. « C'est un devoir de mémoire envers nos aïeux qui ont su inculquer cet art à travers des siècles et ont fait du bijou d'Ath Yenni une référence qui a traversé nos frontières », a tenu à souligner dans son allocution, le président de l'Assemblée populaire communale des Ath Yenni, Smaïl Deghoul. De leur côté, les bijoutiers présents, n'ont pas omis de faire part de leur volonté d'honorer ce rendez-vous qui s'étalera jusqu'au 23 du mois en cous. Et ce, en faisant en sorte que cette fête du bijou, soit au service de l'art. Comme il n'est secret pour personne, selon nos interlocuteurs, il y a lieu de préciser que la persistance de la cherté du corail sur le marché parallèle, notamment depuis, l'interdiction de son exploitation au début des années 2000, ou encore, fait-on savoir, la continuelle valse des coûts de l'argent en fonction de ses cours en bourse, en plus de la concurrence déloyale incarnée par les produits contrefaits au détriment du bijou authentique d'Ath Yenni, attendent toujours sa labellisation pour sa protection. Les difficultés d'écoulement des produits finis sur le marché, sont autant de contraintes auxquelles sont confrontés les artisans bijoutiers. A ce sujet, Rachid Ghedouchi, a annoncé, dans sa réponse aux desideratas, qu'un certain nombre de mesures destinées à la promotion et à la sauvegarde de la fabrication artisanale du bijou. Et ce, à travers, l'ouverture prochaine à Ath Yenni, d'un centre d'approvisionnement en matières premières et de commercialisation de bijoux, en sus de la relance du Fonds national pour la promotion de l'artisanat traditionnelle (FNPAT), qui permettra d'octroyer des subventions aux artisans pour l'acquisition d'outillages nécessaires à l'exercice de leur métier. Ainsi, et c'est désormais officiel, la fête du bijou revient pour sa 10ème édition et s'invite, une fois de plus, à Béni Yenni. Une joie pour la population locale qui a eu peur de voir disparaître ce traditionnel événement, d'autant plus que l'année dernière, cette fête d'El fetta (argent) n'a pas eu lieu. Toute la région avait cru avoir perdu l'un des rares événements qui mettent en avant les richesses du patrimoine local. Un soulagement donc que celui de pouvoir, une fois de plus, admirer et découvrir les trésors de l'ornement kabyle. Pour l'embellir, les organisateurs, ont concocté un programme riche et varié, où plusieurs dizaines d'artistes se succèderont sur les différentes scènes installées à l'occasion, Outre Mohamed Allaoua, Guerbas. Côté art culinaire, les participants n'auront que l'embarras du choix entre saveurs kabyles. Pour vous donner un avant-goût le couscous et bien d'autres petits plaisirs seront proposés. Pour le plaisir des yeux, une sélection d'artistes exposera leurs différentes peintures.